Recherche

L'atelier du roman N° 86 : Dickens : quand les romanciers méritaient le peuple

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Quand les mots dansent au son des mélodies

Que serait notre monde sans la musique qui fait vibrer nos âmes et la littérature qui nourrit notre imagination ? Tels deux instruments de l'orchestre de l'expression artistique, résonnent chacun avec leur timbre propre. Dans cette liste d'ouvrages soigneusement sélectionnés, nous plongerons dans une symphonie littéraire où les mots dansent au son des mélodies.

ActuaLitté

Dossier

Les livres de Françoise Bourdin : la romancière aux millions de lecteurs

Née à Paris en 1952, Françoise Bourdin est, en 2012, au 4e rang des écrivains français les plus vendus avec 15 millions d'exemplaires. Celle qui voulait « Plaire au plus grand nombre » est décédée le 25 décembre 2022. Symbole de ces auteurs hyper-prolifiques, elle publiait un à deux romans par an et nous laisse près de cinquante livres.

ActuaLitté

Dossier

Images, dessins, peintures : quand le regard raconte

Le regard humain est un outil puissant. Il capte, analyse et interprète le monde qui nous entoure. Mais que se passe-t-il lorsque ce regard se pose sur une image, un croquis, une toile ou un texte ? Une véritable alchimie s'opère, tissant des liens profonds entre l'observateur et l'œuvre.

ActuaLitté

Dossier

Quand ranger ses livres n'est plus un casse-tête

Agencer ses livres, les organiser, les mettre en valeur dans un intérieur, et par conséquent habiller, voire décorer ce dernier... Ce dossier soumet des propositions de rangement avec une ambition : rehausser un espace bibliothèque. Dans toutes les pièces de la maison, apporter une coloration culturelle à son chez-soi, et ce, à travers des étagères originales.

ActuaLitté

Dossier

Chroniques anti-isolement à travers L’Âme des peuples

« Parce que pour connaître les peuples, il faut d’abord les comprendre. » Cette présentation de la collection l’Âme des peuples, montée en 2013 par les éditions Nevicata, résume à elle seule toute la situation mondiale.

ActuaLitté

Dossier

Découvrir les 16 romans du prix Goncourt 2023

La sélection du prix Goncourt 2023 a été annoncée, marquant une nouvelle étape dans le calendrier littéraire français. Ce prix, créé en 1903 par le testament d'Edmond de Goncourt, demeure l'une des récompenses littéraires les plus convoitées en France.

Extraits

ActuaLitté

Critique littéraire

L'atelier du roman N° 86 : Dickens : quand les romanciers méritaient le peuple

La réalité pour Dickens n'est pas une utopie fabriquée mais une fête, de préférence fête de Noël, une combinaison heureuse de rites chrétiens et païens, à laquelle participent riches et pauvres, saints et pécheurs, crédules et libertins, débonnaires et méchants, généreux et mesquins, l'humanité entière. Lambros Kampéridis. Une des questions que pose Dickens est de savoir ce qu'il appartient à un adulte de faire lorsque la charge d'un enfant lui est dévolue. Cet enfant n'est pas le sien et souvent l'absence de liens de sang demeure secrète. Thomas Pavel. Ce qui fait la singularité du Mystère d'Edwin Drood réside, à mes yeux, dans l'examen proposé de sa carrière par l'assassin lui-même à la fin, quand il découvrirait la superfluité du meurtre pour réaliser son but. Julian Evans. A vrai dire, aucun personnage de David Copperfield n'est vraiment ordinaire, aucun groupe, aucune famille. Que leur singularité soit attachante ou inquiétante, elle met un voile d'obscurité sur les êtres et rend difficile pour David la tâche de comprendre le monde qu'il découvre. Reynald Lahanque. Dans Le Village évanoui, Bernard Quiriny dévoile l'anatomie d'un échec, celui d'une société qui peine à se faire une image d'elle-même ou qui refuse de la regarder. Myrto Petsota. Chez Nodier, c'est précisément l'observation des fous qui permet de saisir la face cachée de cette philanthropie, associée au culte de la perfectibilité et du progrès ainsi qu'à une conception rigide, pour ne pas dire rigoriste du bien. Emilie Richard. Alors qu'en khâgne on cherchait à nous imposer une lecture purement formelle des oeuvres romanesques, desquelles pas le plus petit soupçon de vérité ne devait émaner [...], René Girard me sortait de ce caveau où l'on se cognait avec désespoir. Jean-Marc Bastière. Pourquoi Charles, l'esprit du temps de La Fête de l'insignifiance de Milan Kundera, envisage-t-il de mettre en scène (sur la scène du jardin de Luxembourg) une farce sur Staline pour le théâtre de marionnettes ? Sylvie Richterova.

06/2016

ActuaLitté

Critique littéraire

L'atelier du roman N° 38 Juin 2004 : Ateliers québécois

Les revues littéraires sont désormais remplacées par les revues de music-hall, ces soirées mondaines où l'on invite en musique les poètes à la mode et les romanciers de l'année, devant des salles plus attirées par la notoriété des auteurs que par le plaisir du texte (Jacques Godbout). Que les médias soient les témoins paresseux et brouillons de la vie littéraire, mettons que cela se comprenne. Mais j'attends des rédacteurs d'une revue qu'ils prennent des risques, qu'ils soient à la fois les explorateurs et les acteurs de la littérature qui se fait (André Major). Les revues, et c'est là leur premier mérite, favorisent l'apparition de la communauté au sein même de la solitude de l'écrivain (Yvon Rivard). Y a-t-il encore un ordre commun du langage (qu'il soit imposé ou spontanément adopté) entre un immigré malien de Montreuil-sous-Bois, un spécialiste du marketing des assurances, un marin-pêcheur breton catholique à la retraite et l'habitant moyen des " lofts ", " fermes " et autres " académies " des nouveaux divertissements télévisuels ? (François Taillandier). Il fait doux à Athènes et la flamme olympique reste toujours allumée. J'espère que je pourrai continuer à vivre dans cette ville après le déluge de cet été (Takis Théodoropoulos).

06/2004

ActuaLitté

Littérature étrangère

Dickens ou Le roman-théâtre

Cette étude se propose d'analyser l'écriture de Dickens, conçue comme un acte théâtral et la singularité d'une théâtralité paradoxalement injouable : discours indirects, non-dit des textes...

02/1992

ActuaLitté

Critique littéraire

L'atelier du roman N° 36 Décembre 2003 : De la romanophobie

" Peut-on enfin imaginer une " histoire du roman français " en continuant d'ignorer que le roman est une affaire européenne, un combat européen auquel participent dans des conditions différentes, des époques différentes et des pays différents, Mme de La Fayette et Gogol, Cervantès et Balzac ? " François Taillandier.

11/2003

ActuaLitté

Revues

L'atelier du roman N° 115 : Léo Perutz. L'Europe du roman

Contemporain et collègue de Kafka, admiré par Musil, Greene, Hitchcock, Borges, Caillois et Calvino, le romancier tchèque Leo Perutz (1882–1957) est l'un des représentants typiques de la grande famille des romanciers centre-européens. Mobilisé à la Première Guerre mondiale, il est gravement blessé. Durant sa convalescence, il écrit son premier roman, La Troisième Balle (1915). L'histoire se déroule au Mexique au temps des conquistadors européens. Le succès fut immédiat. Et il a été répété à la sortie de tous ses autres romans (tous traduits en français). Chaque roman de Perutz est différent. Tant en ce qui concerne la composition et l'époque que le genre. Mais tous sont le fruit du même génie romanesque. Personne mieux que Perutz n'a su marier l'humour avec le scepticisme le plus profond. Issu d'une famille juive, il décide, en 1938, l'année de l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne, de s'exiler en Palestine. Il ne revient à Vienne qu'en 1953 ; une ville où aucune des valeurs qui avait nourri son art n'avait survécu au désastre. Dans le reste de la matière, à part nos chroniques venues du Québec, de l'Italie et de la France, à part aussi nos articles critiques des romans d'aujourd'hui et d'hier, nous revenons sur Mikhaïl Boulgakov, le grand romancier du Maître et Marguerite à qui L'Atelier du roman a consacré son 52e numéro en décembre 2007.

12/2023

ActuaLitté

Littérature française

Roman comme atelier. La scène de l'écriture dans les romans francophones contemporains

Les écrivains francophones ont en commun de se situer "à la croisée des langues", dans un contexte de relations conflictuelles – ou tout au moins concurrentielles – entre le français et d'autres langues de proximité. Ce qui engendre chez eux une sensibilité plus grande à la problématique des langues, soit une surconscience linguistique qui fait de la langue un lieu de réflexion privilégié, un espace de fiction voire de friction. Si cette surconscience linguistique se traduit dans plusieurs récits par une interrogation sur la fonction du langage, une autre forme d'autoréflexivité traverse également l'ensemble de la production romanesque. Il s'agit alors de représenter, à travers un personnage d'écrivain, le "pourquoi écrire" et d'inscrire dans la texture même du récit la problématique de l'écriture. Ces "romanciers fictifs", doubles plus ou moins avoués de leurs auteurs, jalonnent les récits à la manière d'une figure récurrente dont les modalités renvoient à autant de variations autour du personnage de l'écrivain et de l'image publique qui lui est attachée. Quels sont leurs attributs et quelles fonctions leurs sont dévolues ? Quelles représentations de l'écriture sont ainsi projetées ? "Un roman pour moi, [confie Chamoiseau] c'est quelque chose qui se situe dans ma confrontation avec la grande question qui vaille, la seule question qui vaille : Qu'est-ce que la littérature ?". Cette question fondamentale, chacun des romanciers francophones contemporains que nous présentons dans cet ouvrage l'a réfléchie selon des modalités qui lui sont propres. Un entretien inédit de Patrick Chamoiseau clôt cet ouvrage.

03/2019

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté