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Limonov

Extraits

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Littérature française

Limonov

« Limonov n’est pas un personnage de fiction. Il existe. Je le connais. Il a été voyou en Ukraine ; idole de l’underground soviétique sous Brejnev ; clochard, puis valet de chambre d’un milliardaire à Manhattan ; écrivain branché à Paris ; soldat perdu dans les guerres des Balkans ; et maintenant, dans l’immense bordel de l’après-communisme en Russie, vieux chef charismatique d’un parti de jeunes desperados. Lui-même se voit comme un héros, on peut le considérer comme un salaud : je suspends pour ma part mon jugement. C’est une vie dangereuse, ambiguë : un vrai roman d’aventures. C’est aussi, je crois, une vie qui raconte quelque chose. Pas seulement sur lui, Limonov, pas seulement sur la Russie, mais sur notre histoire à tous depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale ».

09/2011

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Critique littéraire

Limonov & Paris

"En France, Edouard végète agréablement, car tout est agréable au talent. C'est dans ce flou mondain que je le rencontre. La colère montait déjà sur son grand front", extrait de la préface de Patrick Besson. Du petit bandit de Karkhov au fondateur du parti national-bolchévique dans l'ex-URSS et candidat à la présidentielle russe de 2012, Edouard Limonov s'essaie à la poésie à Moscou, ce qui lui vaut un exil à New York. Il y vit de manière assez misérable mais produit son premier roman autobiographique qui lui offre une petite reconnaissance, notamment en France où il s'installe et demande sa naturalisation. A Paris, il fréquente le cercle de Jean-Edern Hallier et contribue largement au journal L'idiot international. C'est dans ce milieu contestataire des années 1980 que Gérard Gastaud le rencontre et participe à créer sa légende photographique. Ce livre est une immersion, à travers les images et le texte de Gastaud, dans la vie parisienne de ce personnage multiple : poète politique, émigré russe, journaliste, écrivain prolifique, dissident politique, etc.

03/2018

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Littérature étrangère

Le poête russe préfère les grands nègres

Arrivé à New York pétri d'ambition, Editchka déchante vite: sa femme Elena le quitte pour un Américain et notre grand poète russe, qui n'est plus rien ni personne aux Etats-Unis, comprend rapidement qu'il a troqué un pays gouverné par l'idéologie pour le monde de l'argent-roi. Il se lance alors dans un genre particulier de road trip, délimité par l'infinité de la ville. Il écume les bas-fonds, se jette dans toutes les aventures possibles et découvre l'homosexualité sur un terrain vague en plein milieu de Manhattan. Avec Le poète russe préfère les grands nègres, Edouard Limonov signe, en 1980, son premier livre et fait une entrée fracassante en littérature. L'auteur a su faire de sa vie un roman et de sa personne un inoubliable personnage, aussi rageur que sentimental, aussi insolent que sensible.

09/2012

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Histoire internationale

Kiev kaput

Edouard Véniaminovitch Savenko alias "Limonov", écrivain, publiciste, poète, romancier et homme politique de la "Nouvelle Russie" a grandi et fait ses premières armes en Ukraine, à Kharkov, où il travailla au début des années 1960 avant de "monter à Moscou", dans ce qui était encore l'URSS. Il se souvient de son enfance et de son adolescence en Ukraine comme d'une période "extraordinaire". Après avoir été un écrivain bohème, un apatride ballotté de New York à Paris, un temps idole de la gauche, puis réprouvé comme "rouge-brun" pour ses positions lors de la guerre en Yougoslavie, Limonov est devenu leader anarcho-nationaliste dans la Russie post-soviet. Avec Kiev Kaputt, son journal des événements d'Ukraine, il nous offre une vision diamétralement opposée à celle proposée en Occident.

11/2017

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Critique littéraire

L'excité dans le monde des fous tranquilles. Chroniques 1989-1994

De 1989 à 1994, alors que le monde connaissait une série de bouleversements politiques considérables, Edward Limonov a multiplié les interventions dans la presse, où il se distinguait par l'originalité de ses points de vue. Pour la première fois, le présent volume rassemble l'intégralité des articles qu'il a donnés au sulfureux journal L'Idiot international. Limonov réagit à chaud face à des événements aussi importants que la chute du Mur de Berlin, la première guerre du Golfe, la disparition de l'URSS, l'éclatement de la Yougoslavie... À chaque fois, l'auteur du Poète russe préfère les grands nègres monte au créneau et n'hésite pas à bousculer les consciences occidentales fatiguées. Dans sa critique radicale, il n'épargne aucune puissance. A ses yeux, il s'agit d'une question d'intégrité intellectuelle. L'écrivain russe rattache ses engagements à une vision historique où coexistent fidélité et provocation. Depuis la redécouverte de son oeuvre, Limonov ne manque pas de surprendre par la vigueur de son style et de ses combats pour la liberté. Par son caractère inédit, ce recueil dévoile un visage méconnu de cet incroyable personnage et complète le puissant portrait qu'en a fait Emmanuel Carrère. Limonov lui-même nous aura prévenus : "Je suis l'excité. Nous sommes les excités dans le monde des fous tranquilles. Une société sans conflits est une société morte".

03/2012

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Littérature étrangère

Le livre de l'eau

Cette autobiographie est considérée par beaucoup comme le meilleur livre d'Edward Limonov, à commencer par Emmanuel Carrère. A partir de souvenirs géographiques organisés autour du thème de l'eau, Limonov raconte en détail ses rencontres, ses aventures, ses engagements à travers la Russie, l'Ukraine, l'Europe, l'Amérique. Chaque partie est organisée selon un thème : les mers (Océan Atlantique, Pacifique, Méditerranée, Mer Noire), les fleuves (Don, Volga, Danube, Tibre, Seine, Hudson), les lacs, lagunes, étangs, (Gueorguievsk, Transnistrie), les fontaines (Rome, jardin du Luxembourg), les saunas et bains publics. Le livre s'achève sur une tempête à Moscou. La chronologie est brouillée : Limonov circule librement dans les méandres de ses souvenirs. Il s'y livre comme dans aucune autre oeuvre. On comprend mieux le sens de ses engagements et l'orientation qu'il a voulu donner à sa vie en empruntant des chemins héroïques. A sa manière, rebelle et fougueuse, Limonov est un Russe citoyen du monde qui a connu deux grandes passions : la guerre et les femmes. Ce livre complète le portrait qu'en a fait Emmanuel Carrère, en présentant le regard de l'auteur sur lui-même. Une grande leçon de vie.

08/2014

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Littérature française

316, V, épitaphe à l'idiot

En 2007, une brève guerre nucléaire entre les Etats-Unis et la Russie a tué cinquante-six millions de personnes, rasé Moscou et Washington, bouleversé le climat. Des pluies toxiques ont stérilisé les sols, la nourriture a commencé à manquer, un strict contrôle de la démographie est devenu nécessaire. L'après-guerre a donc vu émerger des Etats totalitaires. En Amérique, en vertu de la loi 316. V, quiconque atteint l'âge de soixante-cinq ans est discrètement éliminé afin de ne pas devenir une charge pour la société. La population semble s'y résigner. Pourtant, lorsque l'écrivain Hippolyte Lookianov tombe à son tour sous le coup de cette loi, lui décide de ne pas se laisser supprimer... Avec ce roman, Edouard Limonov prolonge les grandes dystopies du XXe siècle : Nous autres de Zamiatine, Le Meilleur des mondes d'Huxley et 1984 d'Orwell. Mais il subvertit aussi cette tradition par un humour caustique et de nombreuses références au genre du roman noir, faisant de 316. V un livre original et inclassable

06/2023

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Littérature étrangère

Histoire de son serviteur

Par un étonnant coup du sort, Edouard, poète russe et fauché exilé à New York, est engagé comme majordome auprès de Steven Grey. Steven, qu'il surnomme Gatsby le Magnifique, est un milliardaire ombrageux qui se pique d'être un intellectuel libéral et le "meilleur ami du petit personnel, des bêtes et des enfants". Edouard, devenu fée du logis pour l'occasion, n'en demeure pas moins profondément "lui-même" et dépeint avec une verve mordante sa vie de domestique de luxe. Il restera plusieurs mois au service de son maître, jusqu'au jour où il comprendra qu'il n'y a "rien de plus proche qu'un milliardaire américain et un écrivain soviétique dans la ligne du Parti". Dans ce récit, Limonov décline toute la gamme des relations maître-esclave, passant de l'amour à la haine la plus féroce, sans jamais se départir de son humour ni de sa sensibilité rageuse.

09/2012

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Littérature étrangère

Le vieux. Un roman de notre temps

Inédit en France. Paru en Russie en sept 2014. L'histoire d'un opposant à Poutine entre 2007 et 2013. Actualité autour de la Russie. Dts cinéma livre E. Carrère vendus à Cannes.

08/2015

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Littérature étrangère

Et ses démons

Le 15 mars 2016, Edward Limonov subit en urgence une opération au cerveau. Convalescent et assailli de visions et d'interrogations qui traversent son esprit, il se regarde commencer à mourir... Grand roman autobiographique dans lequel Limonov donne le meilleur de lui-même, Et ses démons explore les sujets majeurs de l'existence : l'engagement politique, la guerre, la mémoire et l'amour et, bien sûr, l'hôpital et le corps défaillant. Les souvenirs se bousculent. Sont évoqués sous l'angle du chaos qu'il vient de traverser nombre de grands épisodes de sa vie, leur conférant avec lucidité et humour parfois, une valeur transcendée par l'épreuve de la maladie. Edward Limonov est l'un des plus importants écrivains russes. Sa vie est une épopée vivante et littéraire, toujours recommencée.

08/2018

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Poches Littérature internation

Les ongles

Bakatov et Gloucester grandissent dans un orphelinat pour enfants handicapés. Moqueries, insultes, humiliations sont leur lot quotidien. On leur permet un jour d'entrer dans la vie active. L'un devient plombier; l'autre pianiste, il a la bosse de la musique, un vrai Mozart ! Bakatov, lui, se laisse pousser les ongles, les ronge et, avec force incantations, manifeste d'étranges pouvoirs... Dans la lignée de Limonov ou de Sorokine, Elizarov offre une évocation picaresque et hallucinée du monde né de la désoviétisation. Les vingt-quatre étapes de ce truculent parcours initiatique lâchent les deux gamins dans les soubassements d'une mégalopole livrée au règne de la grande débrouille. Une des poétisations les plus originales, captivantes et sombres de la Russie de la " transition " entre périodes soviétique et actuelle.

08/2014

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Littérature étrangère

Livre sans photographies

"Voici un bon livre, étonnamment généreux de Sergueï Chargounov, mon jeune camarade, écrit Edouard Limonov. Son Livre sans photographies procède d'un principe de composition très réussi. Les flashs de souvenirs qui éclairent des moments choisis de la vie correspondent à la véritable structure de la mémoire." Une imprimerie clandestine en URSS, la folie destructrice de la fin de l'époque communiste, la manifestation tragique de l'automne 93 à Moscou... Au gré de ses souvenirs, Sergueï Chargounov évoque l'histoire récente et mouvementée de la Russie et des anciennes républiques de l'Union soviétique. II dépeint, dans une prose fluide et imagée, une Russie méconnue de l'Occident et fait entendre la voix de son peuple, oublié dans des provinces reculées, abîmé par les dérives capitalistes et nostalgique à sa manière de l'époque soviétique.

09/2015

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Littérature française

Oligarque

Voici le grand roman que l'on attendait sur la transformation du socialisme soviétique en capitalisme oligarchique. Au carrefour de la grande fresque balzacienne, du roman d'apprentissage et du thriller politico-financier, Oligarque raconte l'ascension prodigieuse d'un jeune orphelin dans la Russie soviétique en pleine décomposition jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir financier international. Une histoire haletante en trois actes : Première partie : La défense Ragozine (Russie, 1975-1993) En 1975, à Perm, le père de GrigoriYurdine, ouvrier d'une usine de câbles, la Permski Kabel Zavod (PKZ), meurt d'un accident. La mère de Yurdine est folle. L'enfant est adopté par la famille Makarov. Ils ont déjà une fille, Lena, qui devient la soeur adoptive de coeur de Grigori. On retrouve Yurdine en 92, un an après la chute du communisme. Il est étudiant du ponte Smirnov, professeur à l'institut polytechnique de Perm et ingénieur en chef de PKZ. Lena de son côté étudie à Moscou. C'est l'époque où le système s'effondre, et où les gros appétits locaux et la finance internationale se partagent les dépouilles. On assiste à l'ascension de Yurdine, joueur d'échec, esprit froid et cynique. Avec la complicité de Smirnov, il va s'emparer de PKZ, puis de bien d'autres usines. En chemin, une bavure : l'intimidation par deux hommes de main de Yurdine du comptable Alexei Lemonov tourne mal : Aléxei est tué par accident. Lena est amoureuse d'un jeune haut fonctionnaire français, Charles de Tretz, qui lui promet de l'emmener à Londres. L'homme est en fait marié et père de famille et l'abandonne après avoir profité d'elle... Deuxième partie : Le mat de Reti (Londres, 2008) Nous voilà en 2008. Yurdine est devenu un oligarque à la tête d'un conglomérat. Il vit à Londres et son mariage avec la fille d'un pilier du régime, dont il a deux fils, bat de l'aile. Au moment où la crise des subprimes s'annonce, il ambitionne de prendre le contrôle d'une banque anglaise, la Riverside, rendue fragile par la crise. Il retrouve face à lui Charles Tretz, l'amant de Lena à Moscou, désormais patron d'une grande compagnie d'assurance. La bataille boursière pour prendre le contrôle de Riverside en pleine crise des subprimes nous plonge dans une atmosphère au carrefour de Wall Street et de The Big short... Troisième partie : Le sacrifice de la Reine (Moscou, New York, Londres, Genève, Perm, 2020) Gagnant sur tous les tableaux, Yurdine est rattrapé par le passé : les mâchoires de la tenaille se referment sur lui. D'un côté, le régime poutinien veut régler son compte à l'oligarque occidentalisé. Il s'attaque à lui sur deux fronts : son conglomérat fragilisé par la crise du Covid, à l'assaut duquel se lance sur ordre un autre oligarque fidèle au Parti ; sa soeur adoptive Léna, devenue opposante au régime, que le FSB épaulé par un groupuscule paramilitaire d'extrême-droite tient dans sa ligne de mire. De l'autre, Charles de Tretz remonte la piste de l'assassinat d'Alexeï Lemonov trente ans plus tôt pour armer la vengeance de la soeur de Lemonov...

10/2022

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Littérature étrangère

Nostalgia. La mélancolie du futur

Dix-huit écrivains russes sont réunis dans ce livre de nouvelles inédites. Parmi ces grandes plumes, des grandes gueules, des provocateurs, des poètes. Sorokine, Limonov, Prilepine, Chichkine... Quelque chose dans l'air nous fait croire que c'est la dernière fois qu'ils peuvent être réunis. En Russie, être écrivain, c'est un destin. Un long chemin de croix. Tolstoï a été excommunié, Dostoïevski condamné à mort et gracié juste après le roulement du tambour, Gogol enterré vivant. Soljenitsyne, Pasternak, Boulgakov... ils sont légion, ces diables des belles lettres. Le dégel, qui permet de temps à autre de publier officiellement ces dissidents, ne dure jamais trop longtemps. Il ne faut pas être prophète pour deviner que ce rideau de fer qu'on croyait disparu à jamais est en train d'être restauré. Dans peu de temps, certains de ces excel- lents écrivains russes deviendront les porte-parole de la grande Russie impériale, d'autres seront priés de quitter le territoire, d'autres encore crèveront la dalle en écrivant des chefs-d'œuvre qu'on ne lira qu'après leur mort. Être écrivain en Russie, c'est vendre son âme ou mourir sur le bûcher de ses livres.  D'après une idée originale de Sergueï Nicolaïevitch et Natalia Turine

04/2015

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Littérature française

Photos passées

" J'ai reçu la première et unique photo de mon véritable père, qui restera un inconnu à jamais, le 22 février 2022. L'envoi était accompagné d'un mot bref de la soeur de ma mère, dont le laconisme est la marque de fabrique : Voici les photos que j'ai trouvées dans les archives de ta mère... " Pendant des décennies, Thierry Marignac ne parlera quasiment jamais de sa bâtardise, par crainte du ridicule. Dès l'âge de 20 ans, ayant quitté école et famille dans l'adolescence, le futur auteur et traducteur est fort occupé à se construire une identité à travers journalisme, écriture de romans, traduction de l'anglais et du russe, voyages à New York, Moscou, Kiev, Londres, Berlin... Il se constitue un père intérieur grâce à ses activités et à des rencontres : le grand auteur russe Edouard Limonov, l'écrivain Hervé Prudon, le poète noir américain John Farris, la romancière Kathy Acker, l'autrice et traductrice russe Kira Sapguir... En février 2022, il entame une quête de ce père inconnu, homme mûr adultère qui ne vint le voir que quelques mois et dont la désertion lui donna une passion de l'indépendance. Cette investigation fut pour lui liée aux péripéties d'une vie de saltimbanque et à l'ouverture au monde...

11/2023

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Littérature française

Soliloques de l'exil

Aux premiers jours de l'automne, le narrateur se replie dans une pension d'un bourg du Léman pour relire le manuscrit d'un voyage en Italie et, dans ses carnets et feuillets épars, découvre la trame d'un récit laissé en suspens. Au fil des jours, le livre retrouve son ordre naturel, l'idée originelle qu'il portait en lui. Les épisodes appellent des souvenirs, les souvenirs prennent la forme de conversations et toujours les rencontres imprévues écrivent le prologue et l'épilogue d'une histoire restée en suspens. Ces pages sont le théâtre de vingt apparitions : dans les confessions de Fellini, l'auteur reconnaît son enfance nomade. Edward Gibbon répond en écho à l'esprit soviétique d'un financier des temps modernes et Eric Rohmer s'épanche sur la beauté, entre deux pots de confiture dans une cuisine genevoise. Le romancier russe Edichka Limonov s'échappe du roman de son hagiographe parisien et le comique Stéphane Hessel est canonisé avec les honneurs militaires. Enfin une fable de Sholem Aleykhem envoie Darwin au diable. Et, comme au théâtre, les décors changent avec les scènes : on traverse le quartier de Golders Green à Londres, on respire l'air frais du Gornergrat à Zermatt, on converse sur révolution en compagnie du chat Tchorny à Paris et, dans une chambre d'hôtel du Zurichberg, on assiste au cri d'un paon en émoi que s'exerce à pousser à la fenêtre une écrivaine zurichoise.

03/2014