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Aristote

Extraits

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Littérature française

Arc-en-ciel d'amour

Dans son recueil de poèmes, Grévy-Aristote Angoubolo parvient à susciter l'étonnement et à créer un effet de surprise chez le lecteur en juxtaposant des termes qui n'ont à priori rien à voir les uns avec les autres. Il émerge de ces associations inédites un lyrisme mystérieux qui intrigue pour mieux faire réfléchir sur le sens des mots. Des vers énigmatiques tels que "soleil de lèvres de ton tronc", "vanité ovule égale yaourt" ou encore "rareté de caractère nuisible du radical" ouvrent de nouvelles perspectives à l'imaginaire. L'obscurité apparente du sens force à prêter davantage attention à la beauté des sonorités des vers rimés. Ces élucubrations poétiques laissent aussi place à d'autres poèmes, plus limpides, qui traitent de sujets aussi divers que l'importance des liens familiaux, la jeunesse, le rôle de la femme dans la société, la pauvreté et la richesse.

05/2016

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Aristote

Œuvres complètes

Il n'est pas une branche du savoir de son temps qu'Aristote n'ait étudiée : de la logique à la rhétorique en passant par la dialectique, de la physique et la chimie à la cosmologie, de la métaphysique et la théologie aux mathématiques, de la politique et l'éthique à la psychologie, sans oublier le très important corpus biologique et le recueil des différentes constitutions qu'il avait compilées avec ses élèves. On redécouvre aujourd'hui l'importance du "maître de ceux qui savent" tant pour l'Occident chrétien que pour l'Orient islamique, et l'on trouve un fondement aristotélicien à presque toutes nos sciences dites "humaines" . Cette édition comprend la totalité des oeuvres authentiques d'Aristote, ainsi que la traduction inédite en français des Fragments. Elle comporte en outre une introduction générale, des notices de présentation pour chaque groupe de traités, un index des notions et un index des philosophes, qui permettent à tous, néophytes ou familiers, de redécouvrir Aristote.

05/2022

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Philosophie

Le bonheur. Analyse de la notion ; Etude de textes : Aristote, Sénèque, Spinoza, Bentham, Nietzsche

Savoir ce qu'est le bonheur autoriserait à en fournir la recette, l'ignorer n'a jamais empêché d'en parler et de prodiguer les conseils : bon témoignage de la force de cet idéal et de la constance mise à tenter de l'atteindre. C'est à cette recherche et à son interaction avec les diverses figures possibles du bonheur que l'on s'intéressera ici en priorité. Analyse de la notion. En rupture avec l'optimisme des Sagesses antiques et d'une partie de la philosophie moderne (de Spinoza à Bentham) pour qui le bonheur, identifié ou non au plaisir, correspondrait à un " genre de vie " offert à l'emprise de l'éthique et de la politique, l'intelligence moderne s'est largement engagée dans des voies " pessimistes ". Rien de plus improbable que l'accord du bonheur avec la morale et la vertu, Kant nous en a convaincus. Pire : rien de plus fade et de plus faux, jugeront Leopardi ou Schopenhauer, que les bonheurs rêvés, comparés à la fascinante " positivité " du malheur. Au moins choisira-t-on pour bonheur, avec Nietzsche, le tragique assumé d'une " vie qui supporte la lutte avec et contre la mort "... Mais alors ? Est-ce le bonheur, justement relégué au magasin des grandes illusions de l'humanité, qui s'est évanoui ? Ou bien est-ce sa recherche même qui nous a éloignés de l'aptitude à saisir la vie comme don heureux ? Etude de textes. Ont été choisis comme jalons Aristote (Ethique à Nicomaque), qui analyse le rapport que le bonheur entretient avec l'amitié ; Sénèque (La Vie Heureuse), pour qui n'est heureux que celui qui, dans la conformité à la vertu, est devenu l'artisan de sa propre vie ; Spinoza (l'Ethique), qui assimile le bonheur à la réalisation de notre puissance même d'exister, de désirer et de connaître ; Bentham (la Déontologie), qui réduit l'éthique à la recherche du plus grand bonheur pour le plus grand nombre, et enfin Nietzsche, qui prône la nécessité vitale de l'oubli et la puissance heureuse d'une vie ordonnée au Gai Savoir.

07/2005

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Aristote

L'invention de la philosophie politique. La cité-philosophe dans les "Politiques" d'Aristote

Alors qu'il n'était pas vraiment apparu chez Platon, le "philosophe-roi" disparaît complètement dans Les politiques d'Aristote. En revanche apparaît pour la première fois celui de "philosophie politique" , en un sens bien éloigné de celui d'aujourd'hui, la théorisation abstraite, détachée de la pratique, réservée aux cabinets de philosophes, voire de consultants. La philosophie politique est entendue non pas comme la théorisation que l'on peut faire de la cité, mais l'étude - theoria - que la cité fait d'elle-même, comme une forme d'autoconnaissance, c'est-à-dire une contemplation de la cité par elle-même. Or cela implique que règne dans la cité non pas un personnage aux capacités extraordinaires, le "philosophe-roi" , mais une certaine pratique théorique, celle par laquelle les citoyens s'assemblent pour se connaître eux-mêmes directement. Ainsi, même si les critiques qu'il formule de la démocratie ne sont pas négligeables, Aristote fournit avec son Peri politeia, une définition fortement citoyenne de la philosophie politique.

11/2022

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Sciences de la terre et de la

Systématique animale. D'Aristote aux phylogénies moléculaires : histoire, concepts et méthodes de la classification

La systématique (ou science de la classification) a pendant longtemps produit des clés de détermination, avant de chercher à regrouper les espèces selon "l'ordre naturel". Une première révolution intellectuelle survint au XIXe siècle, quand il fut montré que cet ordre naturel a pour origine l'histoire évolutive du vivant. La systématique devint alors une science historique, qui constitue désormais le cadre dans lequel sont intégrées les données de la morpho-anatomie, de l'embryologie, de la physiologie et de la paléontologie. Depuis le dernier quart du XXe siècle une autre révolution est en cours, celle-ci tout autant opérationnelle que conceptuelle. Les méthodes par lesquelles la classification est établie ont radicalement changé, et leurs résultats bouleversent des schémas de pensée solidement ancrés dans les esprits. Des notions aussi fondamentales que la hiérarchie du vivant, le progrès, la complexification croissante ou le plan d'organisation sont ainsi à oublier. L'histoire complexe de la systématique et les renversements tant méthodologiques que conceptuels qui l'ont accompagnée la rendent difficile à maîtriser. Cette difficulté est accentuée parla révolution intellectuelle en cours et la complexité des méthodes modernes mises en oeuvre. Sous l'angle de la zoologie, ce livre raconte cette histoire en détail et explique clairement ce que la systématique actuelle doit au passé, mais aussi comment elle doit désormais se couper d'une partie de son passé. L'ouvrage s'adresse aux étudiants en biologie, aux enseignants et futurs enseignants de SVT, ainsi qu'aux enseignants du supérieur.

09/2020

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Philosophie

Aristote et l'âme humaine. Lectures de De Anima III offertes à Michel Crubellier

Le volume Aristote et l'âme humaine. Lectures de De Anima III offertes à Michel Crubellier, propose une lecture suivie, par de grands spécialistes de philosophie aristotélicienne, des treize chapitres qui composent le livre III du De Anima. Dans ce livre difficile, qui n'a cessé de nourrir les interprétations des commentateurs depuis l'Antiquité, la psychologie aristotélicienne, partant des facultés que l'âme humaine partage avec le reste des animaux, s'élève jusqu'aux fonctions cognitives par lesquelles l'homme, cette fois, s'en distingue. Les treize études de ce volume, en forme de commentaire du livre III du De Anima, nous invitent à entrer dans cette exploration aristotélicienne de l'âme humaine.

10/2020

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Autres philosophes

Le commentaire d'Asclépius aux livres de la Métaphysique d'Aristote. Textes choisis et commentaires

Les onze contributions de ce volume proposent une sélection de textes, traduits et commentés, tirés du commentaire d'Asclépius de Tralles aux quatre premiers livres de la Métaphysique. L'ouvrage offre un parcours qui part de l'enquête sur les principes, en passant par l'étude des apories, pour aboutir au livre ? , qui se présente comme la résolution de ces apories. Ce commentaire, qu'Asclépius a rédigé à partir du cours de son maître Ammonius, n'a encore jamais été traduit en français. Il constitue un précieux témoignage de l'exégèse néoplatonicienne de la Métaphysique, dans la mesure où il est le seul commentaire néoplatonicien à offrir une exégèse des livres ? , ? , ? et ? . Les études réunies ici offrent une nouvelle perspective sur les rapports entre Ammonius et son maître Proclus, concernant des thèmes fondamentaux du néoplatonisme comme la doctrine des Formes, le statut des universaux ou encore la causalité de l'intellect divin. Elles permettent d'apprécier également dans quelle mesure les critiques d'Aristote ont été reçues, à travers les exégèses d'Alexandre, dans le néoplatonisme tardif. Il apparaît ainsi que, loin de servir uniquement à l'explication lexicale des propos d'Aristote, le texte d'Alexandre est repris par Asclépius pour être mis au service du projet concordiste d'harmonisation des doctrines de Platon et d'Aristote.

03/2023

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Philosophie

Commentaire sur la <i>Physique</i> d'Aristote. Livre II, ch. 1-3. Philosophie de la Nature

Le Livre II de la Physique d'Aristote est une "véritable introduction à la philosophie de la nature" (Mansion). Après avoir dans le chapitre 1 donné sa fameuse définition de la nature comme "principe et cause de mouvement et de repos pour la chose en laquelle elle réside à titre premier par soi et non par accident" , le Stagirite dans le chapitre 2 traite de la différence entre mathématiques et physique. Le chapitre 3, qui constitue "l'exposé le plus complet de l'étiologie aristotélicienne" (Crubellier-Pellegrin), livre la doctrine des quatre causes. Les chapitres 4 à 6 portent sur le hasard et la spontanéité. Dans le chapitre 8 est défendue la thèse du finalisme dans la nature et le chapitre 9 établit la distinction entre nécessité absolue et nécessité hypothétique. Simplicius de Cilicie, le dernier philosophe de l'Ecole néoplatonicienne d'Athènes, a rédigé son commentaire sur la Physique vers 540, après son exil temporaire chez le roi de Perse Chosroès, et le commentaire au seul Livre II de la Phusikê Akroasis d'Aristote constitue une somme de la philosophie de la nature de l'Antiquité tardive. Il n'existe pas à ce jour de traduction française intégrale du commentaire de Simplicius à la Physique. Le présent volume contient la traduction annotée du commentaire au Livre II, chap. 1-3, accompagnée par un résumé analytique du commentaire à Phys. II, 1-3, la liste des modifications apportées aux texte grec établi par Diels (1882), un index des termes grecs, un index des noms anciens, une bibliographie. Il sera suivi de deux autres qui contiendront la traduction du commentaire aux, respectivement, chapitres 4-6 et 7-9 du Livre II de la Physique.

04/2019

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Histoire de la philosophie

Les meilleurs n'auront pas le pouvoir. Une enquête à partir d'Aristote, Pascal et Tocqueville

Nous sommes volontiers critiques de nos gouvernants, révélant ainsi notre désir d'être dirigés par des individus de mérite, reconnus comme excellents. D'ailleurs, dans le cadre d'une activité professionnelle aussi bien qu'en politique, n'est-ce pas lorsque les dirigeants font preuve de qualités remarquables que les citoyens leur reconnaissent pleinement le droit de les commander ? Ainsi semblerait-il naturel, et même désirable, d'instituer le pouvoir des meilleurs. Pourtant, Aristote, Pascal et Tocqueville, trois auteurs qui se montrèrent au plus haut point soucieux d'honorer et de préserver les grandeurs humaines, furent aussi très réservés sur l'opportunité d'instituer un régime strictement méritocratique. Cet ouvrage s'attache à comprendre leurs réserves, mais aussi comment ils envisagèrent la survie de la grandeur humaine, dans un monde qu'ils jugeaient incapable de lui donner une pleine autorité.

03/2021

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Aristote

Comprendre les fondements de la démocratie. Tome II, Aristote et les jalons de la démocratie moderne

Dans ce tome, Aristote fait l'éloge de la démocratie au nom de la science. En critiquant la science platonicienne, Aristote pose les jalons de la démocratie participative. La définition aristotélicienne de l'homme comme animal politique et comme animal doué de raison, implique à la fois un devoir et un droit de participation de tous à la vie politique. Pour le Stagirite, " Un citoyen au sens plein, ne peut être défini que par la participation (...) " (Aristote, Politiques, III, 1, 1275a, 20-30. Trad. Pierre Pellegrin). La bonne démocratie repose sur l'idée que toute opinion peut concourir au jaillissement de la vérité. Bref, selon Aristote, la vérité démocratique est le résultat d'un consensus rationnel ou d'une délibération populaire, sans distinction épistémologique.

03/2022

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Histoire et Philosophiesophie

Lettres à la Terre, d'Aristote à Pierre Rabhi. 35 textes réunis et présentés par Stéphane Tirard

Le rapport que l'humanité entretient avec notre planète change selon les époques et les civilisations. Il y a l'astre que les scientifiques observent, le territoire où l'on est né et celui qui nous accueille, le sol qui nous nourrit ou que l'industrie détruit. La Terre est tantôt source d'admiration ou de crainte, tantôt considérée comme un champ d'expérimentation ou d'exploitation. L'historien des sciences Stéphane Tirard présente une sélection de textes (poèmes, extraits de romans et de récits d'explorateurs, d'ouvrages scientifiques) qui retracent l'évolution de cette notion. D'Aristote à Rousseau, de Galilée à Darwin, d'Emile Zola à Pierre Rabhi, cette anthologie permettra à chacun de mieux comprendre les liens entre la Terre et les hommes.

10/2017

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Philosophie

L'impuissance du possible. Emergence et développement du possible, d'Aristote à l'aube des temps modernes

Le possible nous enferme-t-il dans le monde des fictions et des chimères ? Considérer le possible, est-ce fuir le réel ? Le possible fait-il, à l'inverse, signe vers une puissance effective d'exister ? Ce livre décrit l'émergence du concept de possible et soutient qu'il convient de distinguer la possibilité de la potentialité, telle qu'Aristote la donnait à penser. S'il s'est nourri du potentiel, qu'il a pu redoubler, le possible s'en est aussi, et décisivement, séparé. L'examen des différents concepts, et façons de le nommer, de l'Antiquité tardive, au Moyen Age arabe et latin, montre comment (au-delà de la chose concernée) le déploiement du possible suppose une puissance efficiente externe. Ce faisant, il renvoie en définitive à la fragilité ontologique de ce qui dépend d'un autre, jusqu'en son être. Corrélat d'une puissance externe qui le fait être, le possible s'entend comme ce qui s'offre à la liberté d'un agent qui le pense, avant de le choisir. A l'aube des temps modernes, il devient par excellence objet de science. S'il est donc une impuissance du possible, celle-ci fait probablement sa force.

02/2019

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Philosophie

Oeuvres de Martin Heidegger. Aristote, Métaphysique - Thêta 1-3, De l'essence à la réalité de la force

Ce cours de 1931 constitue un texte charnière dans révolution de la lecture heideggerienne d'Aristote, à mi-chemin entre les études des années 1920. liées au projet dune ontologie fondamentale. et le séminaire de 1941 sur la notion aristotélicienne de phusis. Reprenant inlassablement la tentative de déterminer le sens unitaire de l'être — "Si l'étant est dit dans une signification multiple. quelle est alors la signification directrice et fondamentale ? Que veut dire être ? " —. Heidegger n'explore plus ici le dire de l'étant selon le vrai, colonie à l'époque de l'ontologie fondamentale, mais bien : le dire selon dunamis et energeia. Il ne s'agit plus de montrer continent le Dasein lui-même, par son existentialité (et notamment par son propre dire apophantique). est le mode privilégié de l'être en tant que découvrement. Il s'agit de s'orienter vers une pensée de la phusis en tant qu'elle est déterminée par le mouvement, le changement, ou encore : la venue à la présence. Le cours de 1931, en tâchant de cerner la notion de dunamis (que Heidegger traduit par Kraft, littéralement : "force" et en soulignant, de manière provisoire, sa définition comme "point de départ pour un changement", montre comment Aristote, loin d'avaliser la compréhension ousiologique de l'être — dominante dans la pensée grecque, et corrélative d'une compréhension insuffisante du temps. comme nombre du mouvement —, permet en fait de la dépasser en direction d'une saisie plus originaire de ce qui fonde toute temporalité. Mais, par-delà ces considérations sur la nature du changement, ce qui se profile ici discrètement c'est une détermination plus serrée de l'unité indéfectible liant être et parole.

10/1991

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Philosophie des mathématiques

Les chemins du scepticisme en mathématiques. D'Aristote et de Sextus Empiricus aux arguments gödeliens et au fictionnalisme

Dans L'Antéchrist, Nietzsche dit des Sceptiques, de quelques-uns d'entre eux du moins, qu'ils sont " le seul type convenable dans toute l'histoire de la philosophie " ; et il ajoute, dans la même oeuvre, que " la force et la liberté issues de la vigueur et de la plénitude de l'esprit, se prouvent par le scepticisme " . On aurait pu craindre que l'influence des mathématiques sur la philosophie n'inclinât celle-ci vers le dogmatisme, comme une opinion courante en histoire de la philosophie nous pousse à le penser. Kant n'a-t-il pas dit que le cheminement de la philosophie était inverse de celui de la mathématique et que l'on faisait un mauvais travail en l'une comme en l'autre quand l'une imitait l'autre, et surtout quand la philosophie, croyant devenir plus forte en imitant le sérieux et la rigueur des mathématiques, ne parvenait qu'à être dogmatique ? Le présent livre est destiné à montrer non seulement qu'il faut nuancer ce jugement, mais que c'est tout le contraire qui est vrai : le philosophe peut certes faire une lecture sceptique des mathématiques et leur apporter le scepticisme comme de l'extérieur, mais il peut aussi s'instruire des mathématiques pour en tirer de singulières leçons de scepticisme, de liberté d'esprit, d'inversion de ce qui est ordinairement tenu pour vrai. Les auteurs qui ont participé à ce collectif ont tenté d'ouvrir ici un champ, en apprenant à ne plus fustiger ce dont nous recueillons des leçons de scepticisme et à ne plus tenir ce qui pouvait être réduit au scepticisme comme dérisoire, ridicule ou contenant quelque irrémédiable faute.

08/2021

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Philosophie

Etre, essence et substance chez Platon et Aristote. Cours professé à l'université de Strasbourg en 1953-1954

Le livre est un « grand cours » de Sorbonne, toujours très demandé, même s’il est destiné aux vrais futurs professionnels ou aux vrais amateurs de philosophie. Pour qui veut relire Platon et Aristote, dans leurs liens et leurs contradictions, c’est un ouvrage essentiel. Professé d’abord et polycopié à Strasbourg dès 1953 puis devenu « Cours de Sorbonne » polycopié en 1957, ce cours est une exégèse très fouillée des trois termes du titre : « être », « essence » et « substance », les concepts fondamentaux de la métaphysique occidentale. Ils représentent, comme tels, un progrès considérable de la raison conceptuelle par rapport aux Présocratiques, qui parlaient encore des « éléments ». Par la suite, ils eurent une importance exceptionnelle dans l’histoire de la philosophie, bien au-delà de la scolastique médiévale et de la métaphysique classique, puisqu’au XXe siècle Heidegger et d’autres se mesurent encore et toujours à eux. Comment Platon puis Aristote les pensent-il ? Quel sens leur donnent-ils exactement ? Outre l’intérêt intrinsèque du commentaire, très fouillé et très appuyé sur les textes, on note les connexions et les inversions que Ricoeur établit au sein des deux philosophies et entre elles. Il met en effet en lumière, grâce aux travaux sur la succession historique des deux oeuvres, des évolutions surprenantes : un second Platon a critiqué un premier Platon (celui des Idées), et un second Aristote a critiqué Platon en le simplifiant et même en le caricaturant.

01/2011

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Ecole des loisirs

Radio banane

Voici, cher lecteur, l'incroyable histoire de Radio Banane. Au coeur de la jungle, Aristote le petit singe va faire une surprenante découverte. Cette trouvaille va déclencher une série d'événements tout à fait étonnants, spectaculaires, joyeux et formidables. Bien des vies vont même s'en trouver bouleversées. Mais n'allons pas trop vite dans le récit et commençons par le commencement : un matin, Aristote partit en balade.

03/2021

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Aristote

Voir le théâtre. Théories aristotéliciennes et pratiques du spectacle

La Poétique d'Aristote entérine-t-elle d'emblée, comme on le dit souvent, le divorce entre la parole poétique et le spectacle scénique ? Aristote n'aurait-il rien compris à la spectacularité du théâtre ? Ou bien s'agit-il d'un préjugé, tributaire d'interprétations et corrections du texte sédimentées au fil des siècles ? Pour y voir plus clair, cet essai entreprend de réinscrire la Poétique dans le projet philosophique d'Aristote, mais aussi de retracer l'histoire de sa réception à la fois chez les théoriciens et chez les praticiens du théâtre. Abordée sous la forme d'une enquête quasiment policière, cette traversée au coeur de la théorie occidentale du théâtre invite à prendre conscience que les héritages du passé peuvent conditionner inconsciemment nos interrogations présentes, mais aussi les éclairer.

02/2022

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Sociologie

Mieux qu'Aristote et Hegel, l'atome et la cellule. Plus à même de nous faire comprendre notre société actuelle

Darwin et Wallace sont allés au coeur de la nature sauvage afin d'en découvrir les mystères. Lévi-Strauss et Malinowski se sont immergés dans des communautés humaines primitives afin de les décrire et comprendre leurs comportements. Seule la confrontation avec le réel est en mesure de nous apporter une indépendance d'esprit qui vient compléter l'approche spéculative et universitaire. Cette fois, sans héroïsme ni esprit d'aventure, notre auteur, simple praticien vétérinaire, nous fait part de son expérience acquise lors de sa confrontation avec l'animal de la ville et des champs, et de son propriétaire rural ou citadin. Pendant quatre décennies, il a pu observer, non pas uniquement comment les espèces animales évoluent, mais aussi comment l'animal est devenu humain et comment la cité a émergé du monde rural. Il découvre non seulement que la sélection naturelle n'est pas l'unique processus créatif du monde vivant, mais aussi qu'elles sont fort nombreuses. L'une d'entre elles est particulièrement remarquable : la sélection civilisationnelle n'est plus à proprement parler naturelle puisqu'avec elle, le mot succède au gène et le code génétique est remplacé par un code civil écrit, cette fois, par l'homme pour les siens. Au fil du temps, des processus créatifs et évolutifs nouveaux s'ajoutent aux anciens et viennent enrichir progressivement le monde environnant au point que son achèvement présent est devenu indéchiffrable. Mais à commencer par le bas, là où la nature est la plus simple, et en allant pas à pas, du primordial nu et singulier, au plus récent tout entremêlé, tout s'éclaire sous un jour inédit.

10/2023

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Linguistique

Phénoménologie du langage

" Dans la communication prononcée en 1951 au colloque international de phénoménologie de Bruxelles, Maurice Merleau-Ponty renvoie à un élève de Husserl, Hendrik Pos, pour qui la phénoménologie du langage est conçue "comme retour au sujet parlant, à mon contact avec la langue que je parle". Retour au "langage comme mien", dit encore Merleau-Ponty, qui met ainsi le parlant en évidence, comme Aristote et Benveniste avant lui, d'où cet axe auquel je me réfère : Aristote, Benveniste et Merleau-Ponty. Aristote place à l'origine du langage la voix qui traduit les affects (et dans un second temps la pensée), puis l'écriture qui relaie la voix. Benveniste ne dit pas autrement. Ainsi s'établit la relation constituante entre la phusis et le logos. Du côté de la phusis, ce que Husserl nomme "l'incarnation linguistique" et Benveniste "l'inscription" de l'expérience humaine dans le langage : "Elle est là, inhérente à la forme qui la transmet". Il revient à l'énonciation, ajoute Benveniste, de la "faire jaillir". On comprend pourquoi Pos insiste sur le "contact" avec la langue et ce que l'on peut attendre de cette proximité. Quant au logos, il traduit ce que la phusis lui donne. Cette répartition des fonctions a été notée par le philosophe Cassirer, relais précieux entre Aristote et Benveniste. Phusis et logos - dit encore Merleau-Ponty - forment une unité, "une jonction", qui apparaît chez Aristote non pas comme accidentelle mais comme nécessaire. Elle permet deux manières de dire que transcrivent, selon moi, les prédicats somatiques et les prédicats cognitifs. C'est ce champ que j'ai voulu explorer et dont mes recherches témoignent. "

04/2022

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Littérature française

La vie élastique

Aristote a de quoi se sentir comblé. A 40 ans, il vient de réussir à faire éditer son premier roman et en entame un deuxième, sous la recommandation de son éditeur. Pourtant, il en vient à être moralement abattu. C'est qú Aristote est un écrivain inspiré ! Trop inspiré ! Ses personnages semblent n'en faire parfois qu'à leur tête. Aristote n'écrit plus... Il lit les aventures de ses héros, à mesure qu'il tape sur son clavier. Et lorsqu'il veut reprendre le dessus sur son histoire, ce sont ses personnages qui se posent des questions sur l'influence de ce destin qui les prend en mains ! Personnages et romancier s'interrogent alors sur le véritable Auteur de l'existence. Aidé par son ami physicien Jack, par sa compagne Anastasia, par des rencontres guidées par un curieux hasard et même par son éditeur, Aristote va découvrir malgré lui que les mondes parallèles sont capables d'interférences que d'autres reconnaissent communément sous le terme inspiration. Que la vie est élastique. Qu'un doigt créateur tire et relâche, pour la diffuser au regard en une multitude de cordes simultanées. Avant de reprendre l'apparence d'un fil unique. Au point de reléguer, à son tour, tout auteur au rang de simple personnage d'un autre auteur... d'un Auteur parallèle.

04/2018

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Littérature française

Le miracle grec d'homere a aristote - essai sur l'evolution de l'esprit grec et sur la genese des ge

Le miracle grec d'Homère à Aristote : essai sur l'évolution de l'esprit grec et sur la genèse des genres classiques / par Eugène Lintilhac Date de l'édition originale : 1895 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

12/2021

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Philosophie

Temps physique et temps tragique chez Aristote. Commentaire sur le Quatrième livre de la Physique (10-14) et sur la Poétique

Dans cet ouvrage posthume de Victor GOLDSCHMIDT, le lecteur trouvera d'abord un commentaire minutieux, véritable guide de lecture, de deux grands textes aristotéliciens : les chapitres de la Physique sur le temps (IV, 10-14) et la Poétique tout entière. Si l'auteur se défend d'avoir voulu rivaliser avec les commentaires ligne à ligné dont ces textes illustres ont déjà fait l'objet, il n'en adopte pas moins, au départ, une position de lecteur au premier degré, s'attachant surtout, selon ses propres termes, " au mouvement du texte, pour essayer d'en restituer la structure qui, elle, fournit le commentaire fondamental, rédigé, si l'on peut dire, par l'auteur lui-même ". On verra qu'à cet égard, ce livre constitue l'illustration peut-être la plus parfaite d'une méthode d'exégèse immanente à laquelle Victor GOLDSCHMIDT n'a cessé de penser, théoriquement et pratiquement. Pourquoi maintenant avoir confronté Physique et Poétique, sinon pour tenter de relier temps physique et temps vécu, et considérer en retour l'action tragique sous les espèces du temps ? C'est ici comme un défi que l'auteur paraît s'être lancé à lui-même, tout en s'interdisant systématiquement les facilités qui lui auraient permis de l'emporter à trop bon compte; de sorte qu'il ne réussit à remplir son contrat qu'à force de ne l'avoir pas directement cherché. Seule la lecture du livre, dans ses patientes approches comme dans ses raccourcis fulgurants, permettra de voir comment les matériaux les plus divers, tirés d'une longue familiarité avec l'œuvre entière d'Aristote, enserrés dans un réseau toujours plus fin et plus délié de rapprochements et de connexions, finissent par constituer, à la " surprise " même de l'auteur, un édifice d'une cohérence imprévue et saisissante. Porté par toute une vie d'étude des textes et de méditations insistantes sur les rapports du temps et de l'œuvre philosophique, le commentaire s'ouvre ainsi sur une vision singulière et pénétrante de la pensée d'Aristote en son unité, et, au-delà encore, sur une véritable philosophie de l'histoire de la philosophie.

10/1982

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Littérature érotique et sentim

Le secret d'un mariage

Enfant secret Elles vont devoir révéler leur précieux secret à l'homme qu'elles n'ont jamais cessé d'aimer... Revoir Aristote Leonidas cause un choc à Teddie. Entre eux, en effet, il n'y a pas seulement un mariage raté, mais un petit garçon de trois ans dont Aristote ne soupçonne même pas l'existence. Hélas, lorsque ce tendre secret est révélé, Teddie doit faire face aux conséquences de son trop long silence. Et accepter de redevenir l'épouse de celui qu'elle a tout fait pour oublier - comme il l'exige !

10/2019

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Philosophie

Du progrès et de la promotion des savoirs, 1605

" Le savoir dérivé d'Aristote, s'il est soustrait au libre examen, ne montera pas plus haut que le savoir qu'Aristote avait. " Dans les arts mécaniques, le début est grossier puis l'on développe et perfectionne - ce que Bacon baptise ici " progrès ". S'il n'en va pas de même pour les savoirs, c'est que, dans la société, la science est une grande incomprise. Que faire pour y remédier ? Bien des choses, et d'abord convaincre l'Etat de s'en mêler. Publié en anglais en 1605, Du progrès n'a connu jusqu'ici qu'une traduction française, en 1624. La phrase qui recommande le libre examen d'Aristote y a été censurée, comme tout ce qui touche à la scolastique. Bacon lui-même, en se faisant traduire en latin pour le Continent, expurge son livre. L'audace intellectuelle de l'original n'avait donc pas encore vraiment franchi la Manche. L'essentiel fut cependant entendu de tous aux XVIIe siècle : les sciences, produites par l'effort humain, doivent être distinguées de la religion.

03/1991

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Lycée parascolaire

PLATON. Apologie de Socrate

Soit qu'on lise Aristote, soit qu'on lise Descartes, il ne faut croire d'abord ni Aristote ni Descartes : mais il faut seulement méditer comme ils ont fait ou comme ils ont dû faire. La collection " Parcours Philosophie " se propose de faciliter l'accès au texte philosophique. Chaque étude apporte les informations indispensables à la compréhension d'une œuvre, en délimite les enjeux, en retrace le cheminement. Elle donne ainsi à chacun les moyens de se confronter au texte et d'en construire le sens par une lecture active. A intervalles réguliers, des Recherches invitent à un travail personnel d'approfondissement guidé par des questions et suggestions.

04/1994

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Philosophie

METAPSYCHOLOGIE. Sigmund Freud

Soit qu'on lise Aristote, soit qu'on lise Descartes, il ne faut croire d'abord ni Aristote ni Descartes : mais il faut seulement méditer comme ils ont fait ou comme ils ont dû faire. MALEBRANCHE La collection " Parcours Philosophie " se propose de faciliter l'accès au texte philosophique. Chaque étude apporte les informations indispensables à la compréhension d'une œuvre, en délimite les enjeux, en retrace le cheminement. Elle donne ainsi à chacun les moyens de se confronter au texte et d'en construire le sens par une lecture active. A intervalles réguliers, des Recherches invitent à un travail personnel d'approfondissement guidé par des questions et suggestions.

04/1994

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Moyen Age

La femme au Moyen Age : Aristote contre l'Evangile. St Albert le Grand, St Thomas d'Aquin, St Bonaventure et Gilles de Rome

Voilà l'histoire du bouleversement des outils d'interprétation du réel qui va pousser les penseurs à devoir choisir entre deux instances opposées sur la question de la femme : Aristote ou l'Evangile. Les auteurs du Moyen Age ne sont pas misogynes. Ils ne sont pas féministes non plus. Pourtant l'image d'un Moyen Age obscur ou idéal ne cesse de façonner les esprits, surtout concernant la femme. Une question pourtant est systématiquement occultée lorsqu'il s'agit de traiter ce sujet. Celle du pourquoi ? Pourquoi, alors qu'il y avait des reines et des abbesses, en est-on venu à dire dans les milieux universitaires qu'il ne fallait pas que la femme gouverne ? Pourquoi l'amitié avec la femme devient une relation quasiment toxique dans la bouche de certains théologiens alors que chez d'autres elle est la vocation originelle de l'homme ? Pourquoi la femme est portée par les uns comme un exemple de vertu et par d'autres comme la pécheresse congénitale ? La plupart des historiens actuels répondent par une interprétation politique héritée des gender studies, mais ils masquent ainsi la véritable raison de cette mutation. Celle d'un bouleversement les outils d'interprétation du réel qui va pousser les penseurs à devoir choisir entre deux instances opposées sur la question de la femme : Aristote ou l'Evangile.

03/2022

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Philosophie

Thomas d'Aquin et la controverse sur L'Eternité du monde. Traités sur L'Eternité du monde de Bonaventure, Thomas d'Aquin, Peckham, Boèce de Dacie, Henri de Gand et Guillaume d'Ockham

La redécouverte d'Aristote par les philosophes du Moyen Âge chrétien les confronte à plusieurs thèses incompatibles avec la révélation biblique, notamment celle d'un Univers éternel et incréé. Renouvelant un débat présent chez les commentateurs antiques d'Aristote, puis chez les penseurs musulmans du XIIe siècle, la controverse qui s'ensuit au sein de l'Université naissante conduit aux condamnations de 1277 : l'évêque de Paris interdit l'enseignement de ces thèses issues d'Aristote. Cette anthologie rassemble les principaux textes de la controverse sur l'éternité du monde, l'une des plus importantes du Moyen Âge. Ils visent à démontrer ou à réfuter deux positions antagonistes, qui prétendent néanmoins toutes deux accepter le dogme de la création au début du temps : 1) il est possible de démontrer philosophiquement que le monde a commencé ; 2) il est impossible de le démontrer philosophiquement, car le commencement du monde ne peut être connu que par la foi. Contrairement à Bonaventure et, plus tard, à Henri de Gand, Thomas d'Aquin opte pour la deuxième voie, celle d'un agnosticisme philosophique partiel, que suivra Guillaume d'Ockham, et qui préfigure l'agnosticisme généralisé de Kant dans les célèbres " antinomies de la raison ", cinq siècles plus tard.

09/2004

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Philosophie

La causalité humaine. Sur le De fato d'Alexandre d'Aphrodise

A la fin du IIe siècle ap. J.-C., Alexandre d'Aphrodise, titulaire de la chaire impériale de philosophie péripatéticienne, expose "la doctrine d'Aristote sur le destin et sur "ce qui dépend de nous"". Son but est double : construire une théorie péripatéticienne du destin, question jusque-là marginale dans le Péripatos, et réfuter les partisans d'une conception dure du destin, en qui il faut sans doute voir des Stoïciens. La polémique occupe la quasi totalité du De fato, qui constitue par là un document majeur sur le déterminisme dans l'Antiquité. L'ouvrage décrit comment, à travers l'exégèse d'Aristote, Alexandre d'Aphrodise élabore une autre conception du destin et propose une reformulation libertarienne de "ce qui dépend de nous".

05/2019

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Histoire de la philosophie

La philosophie d'Athènes à Rome et ses philosophes

La philosophie commence avec l'étonnement. Et l'étonnement engendre l'interrogation et la connaissance. C'est Aristote qui structure les connaissances et l'intelligence. D'après M. Conche, la philosophie est "la recherche de la Vérité par la lumière naturelle" , et cela au sujet du Tout de la réalité, et de la place de l'homme dans ce Tout. Et lorsque, dans cette recherche, une Vérité s'offre à nous, alors notre esprit, comme le pensait Cicéron, est empli du plus noble plaisir humain. Ce nouveau volume présente les philosophes qui succèdent à Aristote jusqu'en 529 après Jésus-Christ, date à laquelle l'empereur byzantin Justinien a fermé toutes les écoles d'Athènes, contraignant ainsi ceux qui cherchent la Vérité à s'exiler à Rome.

02/2023