Parents, osez dire non !

Après le succès mérité de La malédiction du bandit moustachu couronné d'ailleurs par le Prix André Dubreuil du premier roman de la SGDL, Irina Teodorescu, avec ce deuxième roman, retrouve un peu  l'ambiance onirique des contes populaires de l'enfance et invite le lecteur à pénétrer dans un monde très coloré, tantôt réaliste, tantôt presque irréel et imaginaire, avec une légèreté, une grâce toute primesautière, dont l'écriture se fait habilement l'écho, à la fois fluide,  pleine d'enchantement, de fantaisie et de sensibilité.

Le distributeur IGP a fait la Une récemment, dans le combat qui l'opposait à Amazon. Le revendeur avait décidé de supprimer de son catalogue les titres numériques des éditeurs distribués par IGP. Et finalement, après une période d'affrontements sévères, IGP est parvenu à revenir sur les tables du marchand.

ROMAN FRANCOPHONE - On ne touche pas, c’est par ce titre de roman accrocheur et interrogateur que Ketty Rouf nous invite à suivre Joséphine, jeune professeur de philosophie dans un lycée de banlieue.

Non remplacement des enseignants, des parents réclament compensation

Bleu Pétrole est une maison d'édition créée en 2010 qui organise un concours d'écriture du même nom, adressé aux jeunes auteurs de textes de fiction. Cette année (4e édition), le thème du concours est imposé : plan B. 

Couverture souple mais solide, petit format qui tient dans une poche, ce guide, extrêmement pratique vous accompagnera dans vos courses pour peu que vous soyez adepte du régime végétalien ou curieux de le découvrir.

Les enfants aiment lire, que l’on se rassure. Du moins ceux de 7 à 11 ans, que le magazine J’aime Lire a sollicités, avec leurs parents, dans le cadre d’une enquête. Les résultats sont nets : la lecture n’est pas un sport de combat — et cette fois, enfants et parents ont été sollicités pour répondre.

La collection de livre pratiques à légère connotation sexuelle, publiée chez La Musardine et dont les couvertures sont signées du grandiose Arthur de Pins, vont connaître une déclinaison en BD intégrale, à compter du mois de juin.

Osez Philosopher, le site des Éditions Larousse

La Musardine lutine : Osez... coucher pour réussir

Qui n’a jamais tenu dans ses mains, enfant, un numéro de J’aime lire (édité par Bayard) ? Du moins dans la génération 80 dont je fais partie, J’aime lire était notre bible. Le magazine n’a pas pris une ride, et reste un vecteur de lecture à la fois ludique et qualitatif dans le choix de ses textes, pour initier les plus jeunes lecteurs.

Larousse lance aujourd'hui sa collection Osez philosopher

Des années que l’on attendait une œuvre qui rende le vibrant hommage que le monde médiéval mérite. On patientera encore un peu, mais dans l’intervalle, on se régalera des Chroniques du Château faible, de monsieur Mazurie. À paraître le 7 février prochain, chez Fluide glacial.

C’est la première fois que vous allez prendre plaisir à entendre un enfant pleurer. Quel sadisme ! Ce petit bout de choux a la délicieuse manie de fondre en larme à chaque fois que sa mère lui montre un livre... et le ferme.

Une récente étude réalisée auprès de plus de 500 parents montre qu'aujourd'hui, près de 64 % des parents ne lisent pas de livre à leur bébé  avant ses sept mois, et pire encore, que 57 % ne possèdent pas un seul livre. Enfin, jusqu'à ce qu'ils reçoivent les ouvrages offerts aux parents dans le cadre du programme Bookstart de Booktrust. 

François Bon et Led Zeppelin : posez toutes vos questions

MANGA – Shino bégaie. Dès qu’un mot commence par une consonne, impossible de la dire du premier coup. Donc fatalement, le jour de la rentrée, première phrase, première risée. Tout le monde se moque, la honte et la gêne paralysent la jeune fille.

L'Association des parents d’élèves de l’enseignement libre (Apel), unique association de parents dans l'enseignement privé, rassemble plus de 800 000 parents adhérents. L'Apel vient d'indiquer que son magazine, Famille & éducation, a été lu en 2013 par 1056 000 personnes, ce qui marque une hausse de 10 % par rapport à 2012.

14 mois après la mort de Zoé, leur « acrobate philosophe », brisés par leur chagrin, Étienne et Izia se séparent. Si lui se dévoile en pointillés, elle se raconte par petites touches, évoque des souvenirs d'une famille unie et d'une fillette lumineuse et singulière.

La Commission d'enrichissement de la langue française ne recule devant rien pour établir et définir une bonne fois pour toutes ce qu'il est possible de dire en français, et, surtout, comment le dire, pour ne pas rester enfermé dans des anglicismes parfois inappropriés. Cette fois, la commission est partie dans l'espace, pour faire mieux que Thomas Pesquet avec le vocabulaire de la spatiologie !

Parents à vendreCarole TremblayNinon Pelletier

+18 ans ! N'ayez pas peur : Osez coucher pour réussir

L’argument est simple et universel : la mort d’un père que son fils, en un dernier geste d’affection, veille toute une nuit. L’art de Jon de Lorett réside dans le traitement de cet événement qui place la mort, au sens physique du terme, au centre de son histoire. Son humour subtil, très pince-sans-rire comme celui de Jules Renard sous la paternité duquel il se place, ôte tout macabre au sujet.

Ce roman est une réussite, tant par le ton que par la peinture des différents caractères. À la fois touchant et éclairant, il nous interpelle sur le courage de dire non, et l’évolution de notre société. 

Difficile de ne pas relayer cet appel de la Charte, qui critique « fermement le choix de politique économique du gouvernement ». La décision d'augmenter la TVA sur les livres papier, de 5,5 % à 7 % a fait rager la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse.

Le moment des lectures de chevet reste crucial tant dans la relation de l'enfant au livre, qu'avec ses parents. L'American Academy of Pediatrics déconseille l'usage des écrans, à cet instant de la journée, mais l'adoption d'appareils numériques dans les foyers américains fait résonner un autre chant. La migration numérique, qui semble difficile à freiner, met donc en balance les deux impératifs : lire et comment faire lire.

Préparez la lapidation, les parents britanniques vont vivre un sale quart d’heure : ils passent quatre fois plus de temps devant un écran qu’à lire avec leurs enfants. Bouh, vilains parents. Allez, conspuons en chœur. Le sondage réalisé par l’organisation Booktrust auprès de 2000 parents d’enfants de 4 à 11 ans, pose cependant de sérieuses questions.

Les parents seraient terrorisés à l’idée de lire, avant qu’ils ne s’endorment, des histoires effrayantes à leur progéniture. Un tiers d’entre eux évitent soigneusement ces textes, montre une étude réalisée par une psychologue auprès de 1003 parents britanniques. Tout ce qui pourrait contenir un personnage effrayant est tenu loin de leurs enfants – encore faut-il définir ce que peut signifier « effrayant ».

Dans ce livre, l’auteur propose quelques-uns de ses « délires vespéraux, sur Perrault (dixit l’auteur) ». Plus précisément, il s’agit d’élucubrations autour de contes dans lesquels, épisode après épisode, Cendrillon rencontre, outre les héros de Perrault, ceux des frères Grimm comme : « Tom Deuxcentimètresetcinquantequatremillimètres », et d’autres moins connus tels que : Père Lim Pim Pim, Ali Babar, Don Qui Chochote, Al Adin, …