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Au Cabaret des oiseaux

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Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

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Dossier

La Foire du Livre de Londres 2023, au croisement des secteurs culturels

Rendez-vous annuel du secteur du livre, la Foire de Londres renoue définitivement, en 2023, avec les réunions, rencontres et autres conférences « en présentiel ». L'événement entend aussi renforcer la place des autres industries culturelles, pour favoriser les échanges et les transactions.

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Dossier

L'affaire Matzneff, du prestige littéraire au banc des accusés

La publication du livre Le Consentement, par l'éditrice Vanessa Springora, aura ouvert les yeux de la société sur les agissements revendiqués par l'écrivain Gabriel Matzneff dans ses livres : des relations avec des mineurs – de la pédocriminalité, en somme –, qui ont relancé la question du consentement sexuel. Vanessa Springora elle-même en a été la victime, à travers une emprise qu'elle raconte dans son livre et qu'elle a voulu dénoncer pour s'en libérer une fois pour toutes.

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Dossier

Les livres de Roland Topor : humour noir jusqu'au bout du cigare

Roland Topor (1938-1997) restera cet artiste français aux multiples talents : dessinateur, peintre, écrivain, dramaturge, acteur et cinéaste. Une singularité créative qui l'a distingué comme l'une des figures emblématiques de l'art et de la littérature du XXe siècle en France.

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Dossier

Quand les mots dansent au son des mélodies

Que serait notre monde sans la musique qui fait vibrer nos âmes et la littérature qui nourrit notre imagination ? Tels deux instruments de l'orchestre de l'expression artistique, résonnent chacun avec leur timbre propre. Dans cette liste d'ouvrages soigneusement sélectionnés, nous plongerons dans une symphonie littéraire où les mots dansent au son des mélodies.

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

Extraits

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Littérature française

Au Cabaret des oiseaux

Dans le Périgord noir, au cours des années 1920 et 1930, une petite fille cherche obstinément à connaître la vérité sur sa mère et bouleverse la vie paisible d'un village perdu au milieu des bois. A Miraval, au cœur de la forêt périgourdine, la petite Many, dix ans, grandit tant bien que mal entre un père adoré, tenancier du Cabaret des oiseaux, et une tante avare et revêche, dotée d'un " regard à hacher la viande ". Mais une ombre plane sur son enfance : qu'est-il vraiment arrivé à sa mère, la belle et fragile Léa, morte quelques années auparavant ? Entre deux escapades dans la forêt, l'intrépide Many file au cabaret paternel, haut lieu de tous les potins du village. Là, elle observe et tend l'oreille. Ce drôle de lutin qui " regarde droit dans les quinquets " et n'a pas la langue dans sa poche interroge sans relâche ceux qui l'entourent : la tendre et délurée cousine Charlotte, le châtelain local, mais aussi Jeannot, le jeune garçon qui fait battre son cœur... Michel Jeury compose le récit savoureux et sensible d'une enfance buissonnière peuplée de personnages frustes ou fantasques, rudes ou tendres, figures inoubliables d'un pays dur et secret.

09/2007

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Littérature française

Le cabaret des oiseaux

Peut-être que ma mère Blanche verra la lettre flotter au fil de l'eau et elle viendra la repêcher sur le dos d'un héron. Peut-être, ou bien elle retroussera sa robe avant d'entrer dans l'eau, elle tendra la main pour la cueillir comme une jolie écrevisse. A. B. Le deuxième roman d'André Bucher est un long blues, dont les notes mélancoliques et poignantes trouvent écho dans la nature grandiose qu'il décrit si bien. C'est au bout du monde, dans la cour d'une ferme isolée au cœur de la montagne, qu'échouent les deux repris de justice qui vont tuer la mère de Tristan, sous ses yeux, le jour de ses six ans. De son enfance solitaire et rêveuse dans les arbres et avec ses oiseaux, un merle et une corneille apprivoisés ; de son adolescence habitée par le secret et la nostalgie ; du crime dont il s'est rendu coupable comme en écho à celui qui lui a enlevé sa mère, il tente de dénouer les fils emmêlés dans un récit qu'il achève à dix-neuf ans, au sortir de prison. Au Cabaret des oiseaux, la ferme auberge où il a grandi, l'attendent le vieux Germain et Maryse, figure féminine qui a illuminé ses jeunes années et qui fut naguère recueillie par son père. Entre ces personnages cabossés par la vie, se sont tissés tout au long du roman des liens profonds et durables grâce auxquels s'est construit et se reconstruira Tristan et dont André Bucher a su dire la complexité et la beauté.

08/2004

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Autres éditeurs (F à J)

Oiseau + oiseau. La mathématique des oiseaux

Un album pour s'amuser à coupler des oiseaux qui, en additionnant leur forme et leur nom, donnent d'autres oiseaux rigolos : "le martin-pêcheur + le merle noir = le merlin pêcheur" ; "le canard colvert + la mésange bleue = le canard bleu à crête verte"... De sommes en sommes, les résultats toujours plus inventifs ouvrent des perspectives infinies. Par un artiste et designer encore inédit.

10/2022

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Littérature française (poches)

La muse au cabaret

Attention rareté ! Cette Muse au cabaret est comme une vieille bouteille que l'on débouche après l'avoir laissée reposer des années dans les rayons de la poésie sensuelle et bachique. Tirée des cafés, de la bohème du début du siècle, il s'en exhale drôlerie et dérision, une mélancolie légère qui martèle le pittoresque parisien, quelques sanglots fiers débordant d'un coeur plein... Les titres coulent d'eux-mêmes : " Five o'clock absinthe ", " Le pape doit manger seul ", " Bourgogne d'Australie ! ", " L'inondation de 1910 ", " L'invalide à la gueule de bois "... Ces quelque cent vingt poésies fines, parfois paillardes, ravissent le " palais de la Pensée " et soûlent de bonheur. A consommer immodérément.

11/1998

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Poésie

Au Cabaret de l'éphémère

"Peut-on jouer l'espace contre le temps ? S'inventer un univers moins balisé, moins ressassé, et contrer des saisons sans cesse plus meurtrières ? C'est le pari de ce livre pareil à un voyage qui partirait partout et n'en reviendrait pas. Errance qui décalerait les méridiens, les habitudes, les pensées, les vies toujours à l'heure, qui changerait le tournis du monde en danse de derviche, avec frénésie et ferveur, vertige et jubilation, dans le sillage ou le souvenir de villes traversées, d'océans et de déserts franchis comme autant de zones d'insomnie. Au Cabaret de l'éphémère, il fait bon être présent au présent, aimer l'amour infiniment, bivouaquer dans la résonance active des quatrains d'Omar Khayyam, mais en improvisant une poésie au long cours qui entend tenir parole". André Velter.

02/2005

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Poches Littérature internation

Au cabaret de l'amour

Kabîr naquit vers 1440 et mourut en 1518 après avoir vécu l'humble vie de tisserand. Ses Paroles sont à l'origine du mouvement religieux des Kabîr-Panthî (4 millions d'adhérents) ; les Sikh eux aussi le tiennent pour un de leurs maîtres. Musulman d'ascendance - car Kebir, en arabe, signifie " grand " -, Kabîr s'était pourtant assimilé à l'hindouisme. Il subit l'influence de Râmânanda et du Hatha-Yoga, puis, à la suite d'une " illumination ", prêcha les petites gens. Pandits, mollahs, yogis, tous ceux qui vivent en parasites des religions, il les condamnait. Il veillait à se garder " du Véda comme du Coran ". Ainsi que Toukârâm, le mystique marathe, il aspirait à l'union directe avec Râm, l'Absolu, qui transcende toutes les sectes. On l'accusa donc de vouloir se diviniser, ainsi qu'à Bagdad un peu plus tôt Mansur Hallâj. Plus chanceux, il échappa de peu au supplice. Aujourd'hui, musulmans et hindous se reprochent mutuellement de l'avoir persécuté. A la différence des prétendus poèmes de Kabîr publiés par Mme Mirabeau-Thorens d'après l'anglais de Tagore, et qui n'offrent guère de garantie d'authenticité, ceux-ci sont directement traduits du dialecte hindi qui fut celui de Kabîr : langue malaisée, de syntaxe toute personnelle, et truffée de mots arabes ou persans. La belle traduction de Mlle Vaudeville colle à ce chant si simple et fulgurant, très modeste et plus ambitieux encore, celui d'un homme qui répudie à la fois le syncrétisme banal et les arcanes de l'ésotérisme, et qui, prophète une fois de plus de l'Unité, à ce titre doit toucher l'agnostique aussi bien que le croyant.

05/2006

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