Certains auront l’étrange sentiment de revivre les revendications de Livre Paris en 2018 : dénonçant l’absence de rémunération pour leurs interventions, les auteurs avaient déroulé une campagne de communication inédite, #PayeTonAuteur. Et finalement, cette démonstration avait fait plier les organisateurs, qui pour acheter la paix, ont préféré éviter de préparer la guerre. Ah, si vis pacem… À Québec, le Salon du livre traverse manifestement la même mauvaise passe.