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Photius

Extraits

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Littérature française

Phobius

Lucille et Thomas mènent une existence tranquille, seule l'arachnophobie de la jeune femme les empêche de vivre sereinement. Ils découvrent Phobius, entreprise qui conçoit des programmes pour aider les phobiques à affronter leur peur. Intrigué, le couple se lance. Survoltés par l'adrénaline, asphyxiés par l'angoisse, ils se retrouvent alors plongés dans un jeu de piste grandeur nature, une folle course contre la montre qui les conduit des entrailles lyonnaises jusqu'au fin fond de l'Allemagne.

07/2021

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Critique littéraire

Bibliothèque. Tome 1, Codices 1-83, Edition bilingue français-grec ancien

Lettre à Tarasius 1 Théodore, 2 Adrien, 3 Nonnosos, 4 Théodore d'Antioche, 5 Sophronios, 6-7 Grégoire de Nysse, 8 Origène, 9-13 Eusèbe, 14 Apollinaire, 15-20 Synodes, 21 Philopon, 22 Théodose, 23 Conon, 24 Sur Philopon, 25 Jean Chrysostome, 26 Synésius, 27 Eusèbe, 28 Socrate de Constantinople, 29 Evagre, 30 Sozomène, 31 Théodoret de Cyr, 32 Athanase, 33 Justus, 34 Africanus, 35 Philippe, 36 Livre du Chrétien, 37 Sur la politique, 38 Théodore, 39 Eusèbe, 40 Philostorge, 41 Jean d'Egée, 42 Basile, 43 Philopon, 44 Philostrate, 45 Andronicianus, 46 Théodoret de Cyr, 47-48 Josèphe, 49 Cyrille, 50 Nicias, 51 Hésychius, 52 Synode de Sidè, 53-54 Synode contre Pélage et Céleste, 55 Philopon, 56 Théodoret, 57 Appien, 58 Arrien, 59 Synode du chêne, 60 Hérodote, 61 Eschine, 62 Praxagoras, 63 Procope, 64 Théophane, 65 Théophylacte, 66 Nicéphore, 67 Serge, 68 Céphalion, 69 Hésychius, 70 Diodore, 71 Dion Cassius, 72 Ctésias, 73 Héliodore, 74 Thémistius, Lesbonax, 75 Philopon, 76 Josèphe, 77 Eunape, 78 Malchus, 79 Candidus, 80 Olympiodore, 81 Théodore, 82 Dexippe, 83 Denys d'Halicarnasse

01/1959

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Critique littéraire

Bibliothèque. Tome 2, codices 84-185, Edition bilingue français-grec ancien

84 Denys d'Halicarnasse, 85 Héraclianus, 86 Jean Chrysostome, 87 Achille Tatius, 88 Synode de Nicée, 89 Préface à Eusèbe, 90 Libanius, 91-93 Arrien, 94 Jamblique, 95 Jean de Scythopolis, 96 Georges d'Alexandrie, 97 Phlégon, 98 Zosime, 99 Hérodien, 100 Hadrien, 101 Victorinus, 102 Gélase, 103-105 Philon, 106 Théognoste, 107 Basile, 108 Théodore, 109-111 Clément d'Alexandrie, 112-113, Clément de Rome, 114 Leucius Charinus, 115 Contre les Juifs. Métrodore, 116 Sur la fête de Pâques, 117 Pour Origène, 118 Pamphile et Eusèbe, 119 Piérius, 120 Irénée de Lyon, 121 Hippolyte, 122-124 Epiphane, 125 Justin, 126 Clément, 127 Eusèbe, 128 Lucien, 129 Lucius de Patras, 130 Damascius, 131 Amyntianus, 132-135 Palladius, 136 Cyrille, 137-138 Eunomius139-140 Athanase, 141-143 Basile, 144-145 Helladius, 146-148 Lexiques, 149 Pollion, 150 Julien, 151 Timée, 152 Elius Denys, 153 Pausanias, 154 Boethos, 155-156 Lexiques, 157 Moeris, 158 Phrynichos, 159 Isocrate, 160 Choricius, 161 Sopatros, 162 Eusèbe, 163 Vindanius, 164 Galien, 165 Himérius, 166 Antoine Diogène, 167 Stobée, 168 Basile, 169 Cyrille, 170 Préchristianisme, 171 Eustrate, 172-174 Jean Chrysostome, 175 Pamphila, 176 Théopompe, 177 Théodore d'Antioche, 178 Dioscoride, 179 Agapius, 180 Jean Lydus, 181 Damascius, 182 Eulogius, 183-184 Eudocie, 185 Denys d'Egée

01/1960

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Critique littéraire

Bibliothèque. Tome 3, Codices 186-222, Edition bilingue français-grec ancien

186 Conon, Pseudo-Apollodore, 187 Nicomaque de Gérasa, 188 Alexandre de Myndos, Protagoras, 189 Sotion, Nicolas, Acestoridès, 190 Ptolémée Héphestion, Aristonicos de Tarente, 191 Basile, 192-195 Maxime le Confesseur, 196 Saint-Ephrem, 197 Cassien, 198 Vies de saints, 199 Jean Moschus, 200 Marc le Moine, 201, Diadoque de Photicé, Nil d'Ancyre, 202 Hippolyte, 203-205 Théodoret de Cyr, 206-207 Procope le Sophiste, 208, Eulogius, 209 Dion de Pruse, 210 Césaire de Nazianze, 211, Denys d'Egée, 212, Enésidème, 213 Agatharchide, 214 Hiéroclès, 215 Philopon, 216-219 Oribase, 220 Théon d'Alexandrie, 221 Aetius d'Amida, 222 Job

01/1962

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Critique littéraire

Bibliothèque. Tome IV, Codices 223-229, Edition bilingue français-grec ancien

223 Diodore de Tarse, 224 Memnon, 225-227 Eulogius d'Alexandrie, 228-229 Ephrem.

01/1965

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Religion

DIALOGUE SUR LA VIE DE JEAN CHRYSOSTOME. Tome 2, Edition bilingue français-grec

Ce deuxième volume du Dialogue sur la vie de Jean Chrysostome est inséparable du premier. On trouvera ici une documentation historique, littéraire et philologique. Aux deux pièces officielles que sont la Lettre de Jean à Innocent et le résumé du Synode du Chêne, fait par Photius, est joint un index détaillé des noms de personnes et de lieux avec renvoi à la notice prosopographique de chaque personnage. Une liste des lieux parallèles permet de comparer les deux traditions, directe et indirecte. L'histoire du texte du Dialogue indique de façon précise l'insertion des fragments qui sont, eux aussi, des témoins. Un index du vocabulaire du Dialogue pourrait être le point de départ d'une étude sur la langue de Palladios, dont l'œuvre exige des éclaircissements dans de si nombreux domaines.

01/1988

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Critique littéraire

Histoire nouvelle. Tome 1, Livres I et II, Edition bilingue français-grec ancien

"Lu un ouvrage d'histoire en six livres du comte Zosime, ancien avocat du fisc ; en matière de religion, c'est un impie et souvent, sur de nombreux points, il aboie contre la vraie foi. Il est concis et, dans son style, il est net et pur ; il n'est pas dépourvu d'agrément. Il commence son récit, peut-on dire, à Auguste et il passe rapidement en revue tous les souverains jusqu'à Dioclétien en rapportant uniquement leur avènement et leur succession ; à partir de Dioclétien, il traite plus longuement, en cinq livres, des souverains qui ont régné. Le premier livre, en effet, dénombre les empereurs antérieurs à Dioclétien depuis Auguste. L'auteur achève son sixième livre en traitant l'époque où Alaric fit pour la deuxième fois le siège de Rome et, alors que les Romains étaient aux prises avec la disette, leva le siège, après leur avoir donné Attale comme empereur. Plus tard, il enleva aussi le trône à ce personnage parce qu'il ne semblait pas bien gérer le pouvoir qui lui avait été donné ; il envoya traiter avec l'empereur Honorius, qui séjournait alors à Ravenne. Mais Sarus, un Goth lui aussi, ennemi d'Alaric, et qui avait trois cents hommes sous ses ordres, se joignit à Honorius en promettant son alliance contre Alaric et se dressa contre celui-ci. Son sixième livre se termine là-dessus". Photius, Bibliothèque, codice 98.

01/2000

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Ethnologie

Pratiques de mariage et nuances de continuité dans le monde grec. Quatre études d'anthropologie historique et juridique

Antiquité païenne - Athènes et ioniens : La découverte, dans les nouveaux fragments du Lexique de Photius, de la définition latente d'apaulia, premier jour de l'ensemble des rites nuptiaux dans l'Athènes classique, permet d'établir l'ordre authentique de ces rites dans la procédure complexe de la dation de la mariée (ekdosis). Aussi, l'epaulia, deuxième jour, est-il défini comme la cérémonie inverse de la précédente. Mais pour que le lien marital soit constitué, il faudra attendre, au troisième jour (anakalyptèria), l'enlèvement du voile nuptial, rite qui marque l'intégration de la mariée dans l'oikos de son époux et son passage au statut de femme. Christianisme - monde byzantin : Dès le IVe siècle, saint Jean Chrysostome veut imposer des significations nouvelles aux rites du mariage, afin de les rendre conformes à la morale du christianisme. Le dévoilement est donc banni. Ainsi, pendant toute la période byzantine, la rupture est-elle manifeste pour le sens attribué au voile nuptial. Les sources iconographiques représentent la mariée avec la couronne sur la tête, symbole nouveau de son élévation sociale à l'état de l'épouse, voire de la constitution du mariage. Sparte - polyandrie : La polyandrie pratiquée à Sparte est la plus ancienne attestée sur le sol européen. Menacée par une classe de vaincus majoritaire en nombre, cette société de guerriers affronte un problème démographique aigu et invente des mesures institutionnelles très intéressantes pour la recherche anthropologique. On analyse donc le rôle du mari primaire de la mère quand il n'est pas le père biologique de l'enfant, la cohabitation des époux et la forme adelphique de cette polyandrie. La comparaison avec d'autres sociétés (Tibet, Guayaki du Paraguay, Lele du Kasai etc.) servira de moyen de réflexion pour construire le modèle spartiate.

10/2002

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Beaux arts

L'art tactique. Histoire de la succession d'Alexandre

Ce volume offre une nouvelle traduction française de deux textes majeurs de l'historien grec Arrien de Nicomédie (actif sous Hadrien, qui régna de 117 à 138). L'Art tactique d'Arrien, qui n'avait pas fait l'objet d'une traduction française depuis 1758, est un manuel militaire composé de deux parties, la première étant destinée à enseigner au lecteur de quelles unités se composent les armées de l'âge hellénistique, et quelles manoeuvres les phalanges ou les cavaliers sont susceptibles de devoir exécuter dans toutes les circonstances que peut offrir un combat. La seconde partie offre au lecteur une description saisissante des exercices pratiqués par la cavalerie romaine de son temps. L'Histoire de la Succession d'Alexandre, quant à elle, était un vaste ensemble historique composé de dix livres, qui racontait avec abondance de détails les trois années qui suivirent la mort du Conquérant à Babylone en juin 323. Elle embrassait la première guerre des Diadoques et allait jusqu'aux événements de l'hiver 320/319. Cette oeuvre n'est plus aujourd'hui connue que par un résumé byzantin du IXe siècle (fait par le patriarche Photios), et trois passages non résumés nous sont livrés par un témoin papyrologique et deux témoins médiévaux. C'est la première fois en France que ces témoignages sont réunis dans un même volume.

09/2017

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Latin - Littérature

L'Âne d'or ou Les Métamorphoses

Apulée doit sa renommée aux "Métamorphoses", appelé aussi "L'Ane d'or" ("As in us aureus"), premier roman en prose de langue latine. Ce récit en onze chapitres relate les aventures d'un jeune homme, Lucius, malencontreusement transformé en âne par sa maîtresse Photis à l'aide d'un onguent magique. Après diverses péripéties comiques, érotiques et ésotériques, où le lecteur découvre entre autres le mythe d'Eros et Psyché, il revient à sa forme humaine en mangeant une couronne de roses. "L'Ane d'or" s'achève par une initiation aux mystères d'Eleusis et une célébration du culte d'Isis et d'Osiris. Un prêtre explique alors la signification spirituelle de la métamorphose, l'âme de l'homme étant chassée de son état de béatitude pour connaître les vicissitudes de l'état animal. La onzième partie, empreinte en son début d'une craintive joie religieuse, ne cesse, jusqu'à la fin, d'être un splendide récit des visions extatiques de la liturgie mystique et des initiations sacrées. La personnalité d'Apulée s'y dessine nettement à travers le héros qui, soudain, n'est plus le Grec Lucius, mais un natif de Madaure, autrement dit lui-même. Dans "L'Ane d'or ou Les Métamorphoses" apparaît tout le génie de l'auteur, sans doute l'écrivain le plus personnel de l'Antiquité quant au style.

06/2023

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Critique littéraire

Bibliothèque historique. Fragments Tome 3 Livres XXVII-XXXII, Edition bilingue français-grec ancien

Le tome III des Fragments de la Bibliothèque historique de Diodore de Sicile réunit les restes précieux et relativement nombreux des livres XXVII-XXXII. Les "fragments" proprement dits nous sont parvenu par le canal des Extraits constantiniens (dont ne subsistent que quatre volumes). Ces Extraits ont préservé soit des sentences morales sorties de leur contexte, soit des anecdotes, soit encore des épisodes historiques de quelque ampleur. S'y ajoutent des témoignages indirects tirés d'auteurs byzantins qui résument Diodore, comme Photius, ou en tirent la matière de leurs propres chroniques, comme Georges le Syncelle. Les livres XXVII-XXXII couvrent trois quarts de siècle, depuis le retour d'Hannibal en Afrique à la fin de la IIe guerre punique jusqu'à la destruction de Carthage et de Corinthe en 146/5 av J-C. C'est un moment important de l'histoire méditerranéenne puisque Rome abat la puissance séleucide en Asie, détruit le royaume de Macédoine et l'empire de Carthage et, à l'autre bout de la Méditerranée, réduit les Celtibères et les Lusitaniens. Il est admis que ces livres dérivent de Polybe. C'est en partie vrai, mais l'examen des textes réédités par nos soins montre que l'influence de Polybe est indiscernable dans les livres XXVII-XXVIII. Pour les livres XXIX-XXXII, des concordances apparaissent certes entre Polybe et Diodore, mais on constate aussi que celui-ci résume son modèle en l'adaptant à son propre dessein et n'hésite pas à modifier en la rajeunissant son interprétation des événements. Dans certains cas, il dit même autre chose que son modèle supposé, ce qui oblige à nuancer l'opinion reçue. Pour toute cette période de l'histoire et tout particulièrement pour les décennies où Tite-Live fait défaut, ces fragments constituent une source de valeur en dépit de son caractère incomplet. Il importait donc d'en donner une édition moderne accompagnée d'analyses et de notes historiques, en faisant apparaître, comme nous l'avions fait pour le tome III paru en 2006, le degré de fiabilité des textes, révisés et corrigés de manière à les rendre intelligibles.

09/2012

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Littérature étrangère

La citadelle de la mémoire

Printemps 1789. L'immense Empire ottoman déverse sa puissante armée devant Paliokastro, petite citadelle perchée sur une montagne d'Epire qui, isolée et protégée par ses remparts, refuse depuis des siècles de se soumettre à l'occupant turc. Or, le siège qu'entreprend Sélim pacha, commandant en chef des forces ottomanes, n'a pas pour objectif l'assujettissement de la ville à l'autorité du sultan. Les ordres de la Sublime Porte sont formels : détruire Paliokastro jusqu'à la dernière pierre, exterminer ses habitants, faire disparaître jusqu'à son cimetière -bref, effacer toute trace de son existence et de son histoire. Quel redoutable danger l'humble citadelle représente-t-elle donc pour un si puissant empire ? Plus de deux siècles plus tard, le narrateur mène l'enquête ; il interroge les moines d'un monastère de la région, consulte de précieux manuscrits dans la bibliothèque. Griffonnée dans les marges d'un vieil évangile, la chronique d'Isidore, ancien bibliothécaire du monastère, surgit peu à peu du passé comme un implacable réquisitoire contre l'agresseur. Du fond de l'histoire d'autres voix s'élèvent, racontent, accusent : celle du capétan Békas et de Photis l'instituteur, ces irréductibles de la liberté ; celle d'Irini, la vieille guérisseuse, et des femmes de Paliokastro, vigilantes gardiennes de la mémoire de tout un peuple -mais aussi celle de Mélétios, l'actuel bibliothécaire du monastère, dernière sentinelle d'un souterrain qui renferme de troublants secrets. Dans ce grand roman au souffle épique, Aris Fakinos, qui n'a cessé de chanter la lutte de l'homme pour la conquête de sa liberté et de sa dignité, nous met en garde contre les Sélim pacha de tous les temps qui voudraient faire table rase du passé, effacer la mémoire des peuples, asservir la pensée humaine -et nous offre de surcroît une précieuse grille de lecture pour déchiffrer le sens des secousses qui agitent notre monde aujourd'hui.

09/1992

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Critique littéraire

Bibliothèque Historique. Fragments Tome 4, Livres XXXIII-XL, Edition bilingue français-grec ancien

Le tome IV et dernier des Fragments de Diodore prend la suite du tome III, qui contenait les fragments des livres XXVII à XXXII et s'arrêtait en 145 av. J. -C. Après la prise de Carthage et la destruction de Corinthe par les Romains, la mort simultanée du roi de Syrie Alexandre I Balas et du roi d'Egypte Ptolémée VI marquait pour les dernières monarchies hellénistiques le début d'un déclin rapide et, pour les Romains, le commencement des luttes sociales et des guerres civiles. En huit livres, Diodore avait couvert environ 80 ans, puisque le terme de la Bibliothèque Historique doit être fixé en 61/60 av. J. -C. Le récit devait être très détaillé, chaque livre couvrant une dizaine d'années. Les fragments conservés, d'inégale longueur et d'inégale valeur (on peut légitimement douter de l'authenticité de certains...), donnent une idée du travail de synthèse accompli par Diodore qui, tout en accordant une grande attention aux res Romanae, ne perdait pas de vue l'évolution de la situation en Asie Mineure, en Syrie et en Egypte. Même s'il ne s'agit que de "débris" , les fragments transmis par les collections constantiniennes ou les résumés donnés par le patriarche Photios sont d'une valeur inestimable, car ils constituent parfois pour l'historien moderne la seule ou au moins la principale source d'information encore disponible. C'est le cas par exemples des deux guerres serviles qui désolèrent la Sicile ou encore de la guerre dite "sociale" , livrée par les Romains à leurs alliés italiens. Il était indispensable de donner une édition neuve de ces textes en essayant de retrouver, livre par livre, les intentions d'un auteur qui, loin d'être un simple compilateur, avait tenté de donner une interprétation personnelle d'événements appartenant à ce qui était pour lui de l' histoire "contemporaine" . Il est clair que pour lui Pompée le Grand était le point d'aboutissement de l'Histoire Universelle et qu'il avait adopté le point de vue des Romains les plus conservateurs, sans que l'on sache toutefois quel était le "patron" de ce Grec de Sicile installé à Rome.

03/2014