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Economie (essai)

Monnaie et capital : la nouvelle économie patrimoniale

Notre système économique est caractérisé par une instabilité financière redoutable : les bulles se succèdent, défiant par leur durée les lois de la finance. Leur éclatement inévitable provoque des crises de plus en plus menaçantes pour la survie du capitalisme. La solution proposée par les banques centrales paraît tout aussi explosive. Par le biais d'une politique monétaire quantitative, elles alimentent les bulles, financent des relances budgétaires gigantesques et l'explosion des dettes publiques, à des taux toujours très bas, voire négatifs. Laurent Berrebi dénonce dans ce livre des politiques aussi dangereuses qu'injustes qui creusent les inégalités patrimoniales, appauvrissent la classe moyenne et fracturent toujours davantage les sociétés. Soulignant ce "paradoxe de la pauvreté dans l'abondance" , il propose un nouveau modèle théorique afin d'appréhender dans sa réalité cette économie dite patrimoniale. Il explicite comment cette vision du fonctionnement patrimonial de nos économies pourra offrir des solutions concrètes de régulation à un capitalisme qui n'a plus de libéral que le nom.

11/2021

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Economie (essai)

Capital et entropie. Traité d'économie apolitique

Pourquoi les sciences sont-elles inégales ? La complexité et le nombre de variables nécessaires pour décrire un système sont les premiers facteurs de succès d'une théorie. Si en astronomie, la gravitation domine et efface tous les bruits, en économie, le nombre infiniment grand de variables a perdu les économistes dans un chaos dogmatique. L'entropie de l'information condamne le déterminisme newtonien à se soumettre à une expérience unique et non reproductible. Elle explique aussi les échecs de l'économie de l'environnement à percer dans l'économie réelle. En réunissant dans un même plan les dimensions économique et physique, ce livre propose un regard neuf sur les obstacles et solutions qui s'offrent à nous pour parvenir à une économie soutenable et durable.

03/2023

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Histoire des idées politiques

Le Capital. Critique de l’économie politique, Edition

"Le Capital" est composée de trois livres. Le premier (1867) est le seul publié du vivant de Marx, les deux autres (1885 et 1894) étant le fruit du travail de Friedrich Engels sur les notes et brouillons laissés par l'auteur. La théorie exposée dans le premier livre est que dans le mode de production capitaliste la marchandise ne compte pas par sa valeur d'usage car elle est devenue un objet abstrait qui domine les rapports sociaux et prend possession de la force de travail des hommes. La plus-value de la marchandise générée par la force de travail du prolétaire qui, ne possèdant pas les moyens de production meurt de faim s'il ne cède pas celle-ci, fait l'objet d'une appropriation privée par le capitaliste. Marx analyse les étapes qui mènent à la formation et à l'augmentation de la plus-value par captation de la marchandise-travail. Il synthétise aussi le cercle fermé du système dans la concurrence entre capitalistes pour diminuer la valeur de la main-d'oeuvre et augmenter sans cesse la plus-value. Le second livre décrit minutieusement le fonctionnement du marché, des banques et des commerces, y compris les mesures de sécurité mises en place pour réguler les phénomènes chaotiques. Dans le troisième livre, Marx explique que les différents profits s'égalisent au moment de la vente de la marchandise. Avec une édition complète de quelque 22 tomes, même les plus farouches adversaires de Marx n'ont pu que s'incliner devant la puissance du "Capital" et saluer l'ampleur des constructions conceptuelles de son auteur.

09/2023

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Connaissance de soi

L'ésonomie, une économie spirituelle

Le monde moderne souffre d'un excès de matérialisme. L'idéologie marchande, que l'on qualifie de néolibéralisme, tend à enfermer les hommes dans un paradigme où seul l'argent est une fin et où la cupidité régit le tissu socio-économique. L'humanité est en proie à une perte de spiritualité laïque, en marge des religions, qui l'amène tout droit vers sa propre perte. Si l'économie, oïkos-nómos, désigne la gestion de la terre et que l'écologie, oïkos-logos, signifie la science de cette même planète que nous devrions appliquer à cette même gestion, alors force est de constater que nous manquons de sagesse pour manier chacune de ces sciences. L'ésonomie, ésô-nómos, désigne la gestion de son être intérieur afin de parvenir à la connaissance du Soi fondamentale à l'avènement d'un nouveau paradigme à finalité plus humaine, universelle et spirituelle. D'abord la connaissance de soi, puis la connaissance du monde, enfin la gestion du monde dont nous rêvons.

12/2021

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Economie

Valeur, temps et capital. Une théorie de l'économie évolutive

Cet ouvrage propose de reformuler la théorie des surplus en rendant compte de situations observées de constitution et de libération de surplus violant manifestement les règles et les normes de la rationalité admise. Il présente une théorie générale qui intègre ces situations non retenues dans les hypothèses classiques. Ce cadre théorique intègre le temps psychologique à l'analyse des surplus et de l'équilibre qui en résulte dans le sillage notamment de Walras, Dupuit, Pareto, Marshall, Hicks et Allais. Le concept de substitution, ainsi que la dynamique du taux marginal de substitution qui en découle, sont redéfinis à partir du référentiel spécifique de nature psychologique, constitutif du Sujet économique et de son action, et structuré par la durée, la mémoire et l'oubli. Si l'on parait substituer des biens, des quantités et de la matière physique - et il en est souvent ainsi - il s'agit toujours de substituer du temps, des valeurs-temps, de la matière-temps, des unités de mémoire et de la durée. L'ouvrage propose ainsi une approche HRSLR (Hereditary, Relative, Subjective and of Limited Rationality hypothesis) de la fonction de demande "du consommateur". Nous définissons la notion de prix fondamental à partir du rapport entre prix instantané et valeur-temps psychologique perçue. Nous posons l'analogie entre (i) taux marginaux de substitution ; (ii) taux marginaux d'accroissement ou de ralentissement des valeurs-temps psychologiques perçues ; et (iii) taux marginaux d'accumulation ou de décumulation de mémoire. Nous n'avons pas à faire dans la vie réelle à des aberrations mais à des champs de choix qui ne sont pas toujours convexes et à des taux marginaux de substitution qui ne sont pas toujours décroissants. Les situations de concavité et de rendements psychologiques croissants sont suffisamment nombreuses pour que la théorie cherche à les intégrer dans le cadre d'une rationalité limitée. La compréhension d'évènements présentés comme simplement "irrationnels" ne peut qu'y gagner.

06/2019

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Economie

Le capitalisme sans capital. L'essor de l'économie immatérielle

Une révolution tranquille est entrée en action au début du XXIe siècle. Pour la première fois, les principales économies mondiales ont davantage investi dans les actifs immatériels - la conception, la stratégie de marque, la R & D et les logiciels - que dans les actifs matériels - les machines, les bâtiments et les ordinateurs. Le Capitalisme sans Capital n'est pas une simple histoire d'une prétendue nouvelle économie. Il montre que cette révolution a eu un impact considérable et sous-évalué dans les bouleversements économiques de la dernière décennie, qui vont de l'inégalité économique à une productivité stagnante. Jonathan Haskel et Stian Westlake explorent les caractéristiques d'une économie riche en actifs immatériels pour comprendre ce qui en fait une économie fondamentalement différente du système classique, avec pour finalité de répondre à la question : où va notre monde ? Traduit de l'anglais par Laurent Bury.

04/2019

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Gestion

Capital-risque et capital-investissement

Technique particulière de financement des entreprises, le capital-risque est une activité énigmatique et relativement récente qui a évolué tant dans sa dénomination pour devenir le capital-investissement que dans sa logique d'assistance systématique au management des PME. La crise économique a accéléré la mutation de la profession vers le capital développement ou transmission et le retrait des petits tickets de participation sur les créneaux de la création et de l'innovation : elle a favorisé l'émergence du capital-risque régional soutenu par les régions et l'arrivée des business angels. La mondialisation de l'économie implique une remise en cause de l'économie d'endettement et demande l'avènement d'un financement intelligent. L'effet dynamisant du nouveau marché en faveur des entreprises de croissance et les mesures fiscales prises au printemps de 1998 sont de nature à apporter le second souffle à la profession toute entière des investisseurs en haut de bilan. Qui sont les capital-investisseurs, où sont-ils localisés et quelles sont les règles de fonctionnement ? Comment l'économie en fonds propres peut-elle contribuer au développement des PME ? Comment décoder cette nouvelle donne et comment profiter de l'extraordinaire mouvement qui mobilise à la fois les pouvoirs publics et les investisseurs privés ? Cet ouvrage sera très utile aux entrepreneurs, aux créateurs, aux chercheurs ou aux étudiants qui veulent franchir le pas, et à tous les investisseurs financiers ou industriels.

03/1999

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Economie

L'après-capital. Le capitalisme se meurt, vive la social-économie !

Vers l'économie de l'intelligence partagée. Depuis l'époque ou Marx écrivait Le Capital (1867), s'est installé un libéralisme détourné de tout humanisme, au service des seuls intérêts d'une caste financière toute-puissante. Dépourvu de projet social, un monde de compétition sans partage concentre tous les pouvoirs. Surexploitation des ressources naturelles, chômage structurel, élargissement du fosse entre ultra-riches et ultra-pauvres... Le système vacille. La confiance s'effrite. La contestation gronde. A contre-courant, Gilles Lecointre propose une lecture optimiste de la "crise". S'appuyant sur une analyse sans concession du capitalisme actuel, il observe tous les "signaux faibles" qui vont changer la donne. Les technologies numériques transforment les rapports sociaux en libérant les énergies et en ouvrant des espaces de communication. Chacun peut désormais conduire sa vie de façon libre et indépendante. Sur cette base, de nouveaux types d'entreprise s'organisent avec une exigence d'éthique et d'équité. Le social revient au centre du jeu. L'économie retrouve sa vraie place, celle d'un outil. La social-économie est en route !

09/2019

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Manga

Le capital

Angleterre, XIXe siècle. Dans un petit village au paysage bucolique, un triangle amoureux se forme entre les jeunes Roy, Oscar et Claire. Mais la petite fabrique créée par Roy, qui se développe en même temps que le capitalisme, provoque une véritable tempête...

09/2019

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Littérature étrangère

Capital humain

Drew Hagel est un homme à la dérive. Un premier mariage raté, la faillite imminente de son agence immobilière et des dettes qui n'en finissent plus alors que sa seconde épouse attend des jumeaux... Tout semble le mener à sa perte. Or à Totten Crossing, banlieue aisée du Connecticut, la déchéance sociale est perçue comme une véritable faute de goût. Aussi, quand le charismatique Quint Manning, l'un des personnages notables de la ville, lui propose de placer de l'argent dans son fonds spéculatif, Drew se met à croire au miracle. Peut-être que ce placement providentiel finira par le sortir de la tourmente ? Mais la vie est aussi imprévisible que le cours de la Bourse, et un dramatique incident scelle le destin des deux hommes bien au-delà des arrangements financiers. Dans cette fresque ambitieuse qui renoue avec la grande tradition du roman réaliste, Stephen Amidon brosse le portrait d'une Amérique hantée par le spectre de l'échec. De la mère de famille bourgeoise et désœuvrée à l'adolescente complexée en passant par le puissant homme d'affaires, tous ses personnages cachent, derrière leur quête de reconnaissance, de profondes fêlures. C'est à travers les détails de leur quotidien et une analyse psychologique tout en finesse que Stephen Amidon révèle le mal-être d'une société condamnée à l'angoisse par une insatiable soif d'argent et de pouvoir.

08/2005

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Théâtre

Capital risque

Que veut dire "réussir sa vie" pour la jeune génération européenne ? Un groupe de jeunes gens à la sortie du lycée est à l'heure des choix. Certains veulent tenter les concours des grandes écoles de commerce de Paris, décrites comme l'élite, le Saint-Graal. Lorsque les résultats tombent, certains réussissent, d'autres resteront en province, à Clermont-Ferrand, trouveront un emploi ou intégreront des écoles moins prestigieuses. Les années d'études passent, chacun est confronté à lui-même, à ses compromissions, ses renoncements, sa réussite ou son échec, la réalité d'un monde sans état d'âme et qui peut broyer les êtres, ou bien l'on est fier d'intégrer l'élite de la société française. Mais à quel prix ? Que sont devenus leurs amitiés, leurs liens ? Que reste-t-il de leur foi, de leur intégrité ? Quand on a fait siens les discours du "tout économique" et que l'on refoule ses affects, ses émotions, qu'on refuse "la tentation d'être humain", ne se brêle-t-on pas intérieurement ?

01/2020

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BD tout public

Captain Capital

Avec les astuces de Capitaine Capital devenez riche rapidement !

05/2012

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Agendas adulte

Agenda zen. Edition 2022

2022 : Quiétude et harmonie ! – Organisation quotidienne : une page pour chaque jour de la semaine, du 1er janvier au 31 décembre ; – Planification mensuelle : une double page au début de chaque mois ; – Fêtes à ne pas manquer et illustrations symbolisant la tranquillité ; – Plus de 300 citations inspirantes pour accueillir ce qui est et laisser passer les nuages.

08/2021

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Vie chrétienne

Capitale

C'est en romancier au grand style que Jonathan Siksou se fait le promeneur de Paris égrenant les lieux et les siècles. Qu'est-ce que voir la sédimentation des âges à travers la destruction et la reconstruction des paysages ? Qu'est-ce que revoir le temps qui passe ? Un événement de la rentrée littéraire. Rues et statues, défilés et bals, décrets et émeutes, crues et incendies, saints et assassins : c'est la France qui, à travers Paris, comme en un kaléidoscope, se diffracte, se déroule et se donne tout en sourires et en larmes dans son éternel quotidien. Qu'est-ce une ville, sinon un livre tissé de livres s'ouvrant devant qui désire déchiffrer les époques, les lieux, les êtres qui l'ont façonnée ? Qu'est-ce voir vivre et mourir une ville, la concevoir siècle après siècle à se construire et à se détruire jusqu'à ne plus savoir ce qu'elle est ? Qu'est-ce le souvenir d'une ville s'il ne fait pas mémoire ? La mémoire d'une ville, si elle ne fait pas histoire ? L'histoire d'une ville si elle ne se fait pas récit ? Qu'est-ce revoir le temps qui passe et qui efface inexorablement la pierre, l'événement, le visage qui ne subsistent plus alors que dans l'écrit ? C'est en écrivain au grand style, précis et libre, ascétique et inspiré, que Jonathan Siksou se fait l'ultime promeneur de Paris, entraînant à sa suite les chroniqueurs qui l'ont précédé et qui ont tout raconté, tout chanté, tout filmé de la ville-lumière. Sauf comment, dans la Capitale, notre passé devient notre présent au point de réduire l'avenir à une nostalgie. Une démonstration littéraire à hauteur de la plus fascinante des villes du monde. Une métaphysique de l'urbanité. Un roman. Le nôtre.

08/2021

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Philosophie

Théologie du capital

Rien de plus mondain, rien de plus séculier, rien de plus rationnel, en apparence, que l'économie. Et s'il ne s'agissait que d'une illusion ? Repoussant les évidences faciles d'une vulgate économique devenue idéologie par défaut du contemporain, Edouard Jourdain propose dans Théologie du capital de dresser la carte des liens qui existent entre les concepts économiques les mieux établis et leur origine dans les grands débats théologiques ayant émaillé l'histoire de l'Occident. De la propriété à la comptabilité, de l'idée de marché à celle d'intérêt, de la conception qu'on s'y fait du travail aux rêves cybernétiques qui en hantent les derniers développements, tous les concepts de l'économie moderne sont des concepts théologiques sécularisés. A l'heure où le modèle capitaliste chancelle sur ses bases, comprendre d'où proviennent les modèles intellectuels qui lui ont donné naissance représente une tâche plus urgente que jamais – car c'est de cette compréhension que pourra naître, peut-être, notre émancipation véritable par rapport à eux. C'est cette tâche que Théologie du capital affronte, en un geste aussi panoramique qu'érudit.

01/2021

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Sciences politiques

Guerres et capital

"Nous sommes en guerre", déclare au soir du 13 novembre 2015 le président de la République. Mais quelle est cette guerre injuste ? La contre-histoire du capitalisme que nous proposons ici vise à recouvrer la réalité des guerres qui nous sont infligées et déniées : non pas la guerre idéale des philosophes, mais les guerres de classe, dé race, de sexe ou de genre, les guerres de civilisation et environnementales, les guerres de subjectivité qui font rage au sein des populations et constituent le moteur secret de la gouvernementalité libérale. En nommant l'ennemi (le réfugié, le migrant, le musulman), les nouveaux fascismes établissent leur hégémonie sur les processus de subjectivation politique réduits à des mots d'ordre racistes, sexistes, xénophobes qui attisent la guerre entre les pauvres et entretiennent la philosophie de guerre totale du néolibéralisme. Parce que la guerre et le fascisme sont le refoulé de la pensée post-68, nous n'avons pas seulement lu l'histoire du capital à travers la guerre, mais également cette dernière à travers l'étrange révolution de 68 qui seule rend possible le passage de la guerre aux guerres - et de celles-ci à la construction de nouvelles machines de guerre contre la financiarisation contemporaine. Il s'agit donc de pousser la "pensée 68" au-delà de ses propres limites et de la réorienter vers une nouvelle pragmatique des luttes, en prise sur la guerre continuée du Capital. C'est dire qu'il s'agit surtout de nous préparer à ces batailles que nous devons mener si nous ne voulons pas être toujours vaincus.

10/2016

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Economie

Capital et idéologie

Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.

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Littérature française

Capital et charité

Au sein de l'entreprise Glory SA, rivalité et capitalisme sont les maîtres mots d'une société rongée par le vice et le profit maximum. Qu'ils soient chef de service, directeur commercial ou artistique, Luc, Claude, Martin, Mathieu et Michel sont tous sous son emprise, poussés à la production à outrance et usés par le stress, la cupidité et la peur de l'avenir. Une déshumanisation progressive des personnages qui voit en Luc l'occasion parfaite de mettre en scène l'égoïsme et le vice sexuel. Jouissant de son autorité et de son pouvoir, il jette son dévolu sur la jeune Charlotte, prête à affronter ses assauts, mais à quel prix ? Des hommes et des femmes pris dans un engrenage, dépourvus d'écoute, de respect de l'autre, de générosité, de détachement et d'humilité. Dépourvus de ce que l'on appelle tout simplement "charité", cette inclination à aller vers l'autre avec bienveillance. Dans un monde du capitalisme, truffé de mensonges et de conspirations, comment s'en sortir ? Par le vice ? Par l'humanité ? Capital et charité sont-ils incompatibles ? "Un roman qui met au grand jour les noeuds qui gangrènent la société moderne au sortir de l'industrialisation amorcée au XIXe siècle".

10/2016

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Sociologie

Le Capital sexuel

Recours à la chirurgie esthétique, apparition de coaches en séduction, développement du marché du sex-toy et du roman érotique... De plus en plus, le sexe est une ressource en vue de gains. Mais il y a davantage : au-delà de la marchandisation des corps, la liberté sexuelle augmente la valeur économique des individus. Nombreux sont ceux qui se servent du sexe pour se valoriser, c'est-à-dire augmenter leur valeur sur le marché du travail. Les états psychologiques, dispositions émotionnelles et autres expériences sexuelles contribuent à l'employabilité des personnes, ainsi qu'à leurs succès professionnels. Non seulement notre sexualité concourt à la reproduction du capitalisme, mais le néolibéralisme a étendu son pouvoir à notre sphère la plus intime. Un essai-phare entre sociologie, science politique et philosophie, pour une approche critique de la sexualité - et du capitalisme. Dana Kaplan est docteure de l'Université hébraïque de Jérusalem. Sociologue de la culture, elle travaille sur les sexualités hétéro et LGBTQ en lien avec la classe sociale et les processus de subjectivation. Sociologue, directrice d'études à l'EHESS, Eva Illouz travaille sur la marchandisation des émotions et l'impact du capitalisme sur nos affects. Récompensée en 2018 par le prix EMET pour l'ensemble de son oeuvre, elle est l'autrice d'une quinzaine de livres traduits dans le monde entier, tels que Pourquoi l'amour fait mal (Seuil, 2012) et La Fin de l'amour (Seuil, 2020). Traduit de l'anglais par Charlotte Matoussowsky

11/2023

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Sociologie

Capital et travail

Capital et travail / Emmanuel Lévy Date de l'édition originale : 1909 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2021

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Economie (essai)

Capital et idéologie

Capital et idéologie A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés trifonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés postcoloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.

09/2022

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Economie politique

Critique de l'économie politique. Une introduction aux trois livres du Capital de Marx

Michael Heinrich reconstruit avec pédagogie et méthode la logique d'ensemble des trois livres du Capital, démarche unique dans les introductions à cette oeuvre protéiforme. Fin connaisseur autant du texte que des innombrables débats qui l'entourent, l'auteur réussit l'exercice difficile d'exposer ce que dit Marx en même temps que les thèses de l'économie classique et contemporaine ou les simplifications qui ont pu en être fait. Elaboré autour d'entrées thématiques (Etat, finance, monnaie, travail, etc.) qui suivent la logique du développement, l'ouvrage donne les clés essentielles permettant de penser le capitalisme et ce que pourrait être une société par-delà la marchandise, la monnaie et l'Etat.

11/2021

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Economie

Economies de la CEMAC. Croissance économique, intégration régionale, capital humain, emplois et pauvreté

Les économies des pays membres de la CEMAC ont été placées au centre des préoccupations de la première promotion (Moustapha Kassé) des doctorants du Laboratoire de recherches et d'études économiques et sociales qui abrite la formation doctorale en économie appliquée (FD-EA) de l'Université Marien Ngouabi, à Brazzaville. Ces premiers doctorants ont travaillé sur des thèmes diversifiés qui couvrent les domaines de la pauvreté et de l'intégration régionale. Ainsi, les lecteurs pourront s'imprégner de la façon dont le bonheur, la dynamique de la pauvreté, la migration interne, les produits forestiers non ligneux, la consommation de l'énergie, les infrastructures physiques, le capital social, l'éducation, les chocs d'offre, et de demande, le risque d'inflation, la cyclicité de l'écart de production et le processus d'intégration régionale affectent la vie des populations et les économies des pays membres de la CEMAC. Ces différentes analyses théoriques et empiriques sont précédées de l'hommage du professeur Moustapha Kasse au professeur Samir Amin, une figure de poids de l'économie du développement, décédé lors de la naissance (la semaine des soutenances) des premiers docteurs en sciences économiques formés au Congo.

01/2020

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Policiers

Flip-frac

Des magouilles, j'en ai vu beaucoup... C'est d'ailleurs pour les fuir que je voulais changer d'air... Mais pour ça, il fallait du fric, comme toujours. Que ce soit pour s'allonger sous les palmiers, sauver une belle histoire d'amour ou se croire le plus fort... Dix briques, ça me semblait ne pas trop demander. Seulement, j'ignorais que " Frappadingue ", lui, était déjà sous les palmiers, se foutait éperdument des belles histoires d'amour et n'avait nul besoin de se croire le plus fort. Il l'était... C'est peut-être pour ça que j'ai rien vu arriver...

09/1981

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Marx

Marx ou le monde du capital. Brève introduction à la critique de l'économie politique

Dans les années 1960, Sartre disait du marxisme qu'il est "la philosophie indépassable de notre temps" . Mais qu'en est-il pour nous aujourd'hui ? Le capitalisme n'a-t-il pas changé de forme depuis l'époque de Sartre et a fortiori celle de Marx ? Avons-nous dès lors dépassé le marxisme ou bien sommes-nous toujours confrontés aux mêmes problèmes que Marx en son temps ? La pensée de Marx peut-elle encore nous aider à donner un sens au monde dans lequel nous vivons ? En proposant une traversée des trois livres qui composent Le Capital, cet ouvrage se veut à la fois une introduction à l'oeuvre majeure de Marx et une réflexion sur ses possibles prolongements contemporains. Qu'est-ce que la théorie de l'exploitation nous apprend sur le monde du travail ? Comment fonctionnent les mécanismes du marché et en quoi sont-ils liés au réchauffement climatique ? Quelles sont les contradictions et les illusions que le capitalisme porte en lui et en quoi le monde de la finance en est-il l'incarnation contemporaine ?

05/2021

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Philosophie

La substance du capital

Perte de sens du travail, chômage de masse, ravages psychologiques, catastrophes écologiques, révoltes sociales : les jours de cette société semblent comptés, et dans de nombreuses régions du monde elle ne fonctionne plus du tout. Tout en remontant aux racines de cette crise qui pourrait bien être la dernière, Robert Kurz souligne les impasses de la pensée de gauche comme du marxisme traditionnel, qui prétendent offrir une alternative au système économique dominant. Tous deux se sont construits sur une opposition entre travail et capital, valorisant une classe ouvrière productrice de richesses dont il faudrait revendiquer une meilleure distribution. Kurz avance pour sa part une thèse provocatrice : le travail n'est rien d'autre que la substance du capital, et ce qu'il fabrique ne ressemble en rien à des richesses. Ne pas questionner le travail, c'est donc s'interdire de remettre en question l'organisation de la production, ses modalités techniques, ses conséquences sociales et environnementales. C'est oublier aussi que les luttes populaires n'ont jamais été aussi fortes que lorsqu'elles ont refusé la condition ouvrière. En omettant de critiquer le travail, la gauche et le marxisme traditionnel ont finalement adopté le point de vue du capital. A partir d'une réactualisation de certaines intuitions de Marx, Robert Kurz propose au contraire une théorie critique de la société actuelle qui ne s'arrête pas à son écorce, mais l'attaque dans son noyau substantiel.

09/2019

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Philosophie

Lettres sur le capital

Présentées et annotées par Gilbert Badia. Traduction de l'allemand par Gilbert Badia et Jean Chabbert. Traduction de l'anglais par Jean Meier. Ce recueil contient 234 lettres ou extraits de lettres de Marx et Engels groupés autour d'un thème central : les problèmes économiques. Elles se situent entre 1845 et 1895 et embrassent la plus grande partie de la vie des deux hommes. Elles nous renseignent au jour le jour sur la genèse, l'élaboration, les plans successifs de l'uvre économique de Marx. Nous voyons naître l'idée de l'uvre, puis comment elle grandit, prolifère, débordant chaque fois le plan initial et n'apparaissant que bien plus tard sous forme de livre. Nous connaissons aussi les conditions exactes de la publication du "Capital", les problèmes soulevés par sa traduction et l'accueil que lui réservent les économistes et le public de différents pays. Le lecteur trouvera en annexe un index des noms cités.

01/1976

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Philosophie

Travail vivant contre capital

"Je vous propose de lire la composition du capital du point de vue des luttes des travailleurs, des résistances de la multitude face au commandement du capital — et éventuellement du point de vue des soulèvements du prolétariat. Je veux parler d'histoire du prolétariat, du rapport antagoniste entre le capital et le travail vivant, et par conséquent de la transformation de la composition technique et de la composition politique de la force de travail, des mutations des procès de travail et de valorisation, et puis enfin de celles des formes de vie et des institutions." En février 2018, Antonio Negri, auteur d'Empire (avec Michael Hardt, 2000), invité à l'Ecole normale supérieure par le séminaire étudiant Lectures de Marx, présente sort analyse du développement capitaliste, où l'économie est indissociablement politique. Le texte de la conférence est précédé d'un entretien dans lequel il revient sur le sens qu'il a attribué à la lecture de Marx aux différentes étapes de sort parcours, de l'opéraïsme jusqu'à la multitude en passant par l'exil et la prison.

09/2018

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Divers

Bruxelles. Un rêve capital

Comme en réponse à l'album Brüsel, cinquième volume des mythiques Cités obscures, Schuiten et Peeters nous donnent à voir la ville sous un angle à la fois historique, architectural et onirique... " Les âmes cachées dans les villes, comme les fleurs qui se cachent dans les prairies, sont toujours les plus jolies. Ah ! je voudrais bien voir ce qui se cache à Bruxelles... " Ces mots d'Octave Mirbeau, Benoît Peeters et François Schuiten les reprennent volontiers pour lever quelques coins du voile. Bruxelles a été bouleversée par l'histoire, à l'image d'une Belgique enfin parvenue à l'indépendance en 1830. Jamais depuis sa capitale n'a cessé d'être ouverte au monde, abritant quelques bâtiments remarquables comme l'imposant Palais de Justice, les maisons de Victor Horta ou encore les galeries royales Saint-Hubert... Dans ce beau livre en forme de promenade, Schuiten et Peeters nous invitent à (re)visiter la capitale de l'Europe, une ville aux multiples charmes qui résonne depuis toujours avec leur oeuvre...

10/2021

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Economie

Les lois du capital

L'économie sidère. Pour le citoyen ou la citoyenne, elle est réputée si dangereuse qu'on n'ose l'affronter. Seuls des experts auto-désignés prétendent pouvoir le faire. Ils tiennent le public à distance en créant une infranchissable barrière de sécurité derrière un jargon compris d'eux seuls. C'est pourquoi trop souvent l'économie ne se discute pas, elle s'impose à nous. C'est ce que veulent nous faire croire la plupart des "voix" dans les médias et chez les responsables politiques. Mettant en lumière les concepts fondamentaux de l'économie : le travail, l'emploi, le salaire, le capital, le profit, le marché, Les Lois du capital prouve que l'on peut parfaitement débattre de ce sujet qui gouverne nos existences quotidiennes. Serait-il temps de tout changer ? Le système néolibéral qui régit notre société arriverait-il à son terme ? Serions-nous à un moment critique où, comme l'écrivait Gramsci : "le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître" ?

10/2019