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Autres personnages

Le monde des Titounis : La surprise de Pâques

C'est le jour de Pâques ! Toui et Tini cherchent les oeufs dans le jardin. Mais, on dirait qu'une autre surprise les attend...

02/2021

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Littérature étrangère

Fille de l'Okavango. De Namibie au Botswana, peuples herero et bushman

Pas à pas, l'instinct de survie, animal, s'insinua, progressa, sortit vainqueur d'une âpre lutte contre les démons, finit par éloigner la panique des jours précédents. L'idée avait germé, grandi. Elle l'envahissait, inondant les méandres de son esprit. Le souvenir de paroles entendues lui revenait en mémoire, ne le quittait plus, virait à l'obsession : là-bas, plus à l'Est, une puissante rivière nommée Okavango ne se jetait pas, comme toutes les autres, dans la mer mais formait un immense delta dont les tentacules fouillaient l'aridité du Kalahari. Là-bas, lui avait-on dit, personne n'avait à suivre l'éléphant, plus grand, gris, différent de celui, couleur poussière, qu'il épiait depuis des jours. Là-bas, dans ce labyrinthe, l'eau abondait paraît-il. Il irait là-bas. Ici, la rivière ne formait en saison sèche qu'un lit pulvérulent bordé du vert de la double haie d'arbres permettant la différence d'avec le désert : le sable sinuait dans le sable, un enfer.

08/2013

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Science-fiction

Zombies don't cry

« Je m’appelle Maddy et je suis une jeune fille comme les autres (si l’on oublie le fait que j’aime bien zoner dans les cimetières) : je vais au lycée comme tout le monde, j’ai une meilleure amie comme tout le monde, et oui, comme la plupart des filles j’aimerais beaucoup que Stamp – le nouveau – m’invite à sortir. Notre premier rencard a comme qui dirait été "électrique” puisque j’ai été frappée par la foudre. À mon réveil, plus de battements de coeur, plus de respiration. On dirait bien que je suis devenue… un zombie ! »

02/2013

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Littérature française

Changer le foot pour changer le monde. Quand la philo joue sur le terrain du foot

Tout comme le football a déjà changé le monde, pourquoi ne pourrait-il pas le changer à nouveau, mais cette fois, en changeant lui-même. Encore faudrait-il que le monde dût être changé, me direz-vous. Et le cas échéant, pourquoi changer un sport, et pas autre chose ? Mais surtout, pourquoi le foot, et pas un autre sport ? Autant de questions qui méritent d'être posées, mais surtout, que des réponses leur soient apportées. " Nous l'allons montrer tout à l'heure ", comme le disait Jean de La Fontaine en vieux françois, dans " Le loup et l'agneau ". Mais le fabuliste avait commencé sa fable par ces mots : " La raison du plus fort est toujours la meilleure. " Nous allons le montrer tout à l'heure, et nous verrons qu'il pourrait bien se faire que dans la vraie vie, le Foot puisse être le loup, et que le Monde puisse être l'agneau. Postulat de l'auteur : pour paraphraser Georges Clémenceau qui disait " La guerre, c'est trop grave pour être confiée à des militaires ", je dirai que " Le Football, c'est trop grave pour être confié aux seuls acteurs actuels de la planète Foot... " Si cet essai traite du football, ce sport ayant occupé une grande place dans la vie de Daniel Tourret, c'est que le regard distancié et singulier qu'il lui porte aujourd'hui l'a amené à prendre conscience de l'impact qu'il a eu sur sa vie d'homme, de technicien, de formateur, de voyageur, de musicien, de sportif, d'écrivain ... mais aussi et surtout, sur le Monde...

09/2023

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Littérature française

La terre des morts est lointaine. Sylvia Plath

"La tombe de son père est vide. Aucun ange n'est là, assis sur une pierre, qui l'attendrait et lui dirait "Tu le cherches ? .

03/1996

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Tout-carton

Le bateau d'Arthur l'ours

Arthur l'ours habite à la mer. Quand il fait beau, ii va naviguer avec son voilier. Ca te dirait de prendre la mer avec lui ?

06/2021

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Théâtre

Fratrie

Quand mon père était là. Tombé dans la neige. Avec son coeur ouvert en deux. Il a tourné les yeux vers moi. Il a voulu dire quelque chose. Des flocons sur ses lèvres. Est-ce qu'il disait "Léo" ? Est-ce qu'il disait "Au secours" ? Son coeur se déversait comme de la vase dans la neige. Est-ce qu'il disait "Léo" ?

03/2012

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Livres 0-3 ans

Trotro fait du ski

Trotro est magnifique dans sa tenue de ski, on dirait un champion, ou presque... Un virage à droite, un virage à gauche et plouf ! Un plongeon dans la neige !

01/2014

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Economie

La microfinance contemporaine. Défis et perspectives

L'intérêt pour le microcrédit et la microfinance ne faiblit pas depuis le sommet de Washington en 1996, depuis que l'ONU a déclaré 2005 l'année internationale du microcrédit, depuis que Muhammad Yunus a reçu le prix Nobel de la paix en novembre 2006. Les débats sont même plus nourris que jamais, avec la croissance accélérée que connaissent certaines institutions et les difficultés qui parfois en résultent. On oublie trop souvent que le secteur de la microfinance en est à ses débuts, c'est pour cela qu'il soulève tant de problèmes et suscite tant d'analyses. On se penche souvent sur l'impact social de la microfinance qui ne semble pas se concilier facilement avec les performances financières des institutions concernées. C'est cette dimension-là que privilégie cet ouvrage qui considère également la nouvelle activité que constituent les transferts de fonds ainsi que les relations qui deviennent parfois très étroites entre ces institutions et les banques. Les dimensions culturelle et sociale de la microfinance ne sont pas oubliées pour autant. Cet ouvrage, qui reprend certaines des communications présentées aux Journées scientifiques de Brazzaville en juin 2011, nous emmène au Bénin, au Mali, au Congo (celui de Brazzaville et celui de Kinshasa) ainsi qu'au Cameroun.

01/2013

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Théâtre

Un verre à minuit. Prose, poésie et politique

Aucune de mes déclarations ne devrait être interprétée comme finale et définitive. [...] Je vous ai mis en garde contre les déclarations définitives, mais on dirait que je viens d'en faire une.

11/2010

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Littérature française

Ce qui reste

On disait, c'est le progrès ; le bruit courait qu'on ne l'arrêterait pas. Etrange, tout de même, de dire à propos du progrès ce qu'on disait propos d'un cheval emballé, d'un balai ensorcelé ou d'une maladie incurable ; personne ne se demandait d'où fa venait ; personne ne savait au juste ce qu'il disait lorsqu'il disait qu'on n'arrêterait pas le progrès. Au fond, ce n'était qu'un bruit, une espèce de boutade qui n'empêchait pas nos parents de répéter que ce qui n'est pas nécessaire attendra, que celui qui veut quelque chose doit travailler pour l'avoir, ou qu'on n'a rien sans effort, ce qui revenait au même.

01/2021

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Livres 0-3 ans

Petit Ours Brun écoute les animaux

Petit Ours Brun aime beaucoup écouter les cris des animaux : "Meuh ! Miaou ! Cot-cot-cot ! " ... on dirait qu'ils lui parlent. Un livre sonore qui développe le sens de l'écoute chez les tout-petits

09/2011

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Autres éditeurs (A à E)

J'ai peur

Difficile de dormir lorsque l'on est certain qu'il y a un monstre sous son lit... Cela semble tellement plus facile pour les grands : on dirait qu'ils n'ont jamais peur eux ! D'ailleurs, qu'est ce qui peut bien effrayer les adultes ? Difficile de dormir lorsque l'on est certain qu'il y a un monstre sous son lit... Cela semble tellement plus facile pour les grands : on dirait qu'ils n'ont jamais peur eux ! D'ailleurs, qu'est ce qui peut bien effrayer les adultes ? Une histoire où chaque crainte trouve sa solution et où les petits pourraient bien avoir raison : les grands ne se méfient pas assez de ce qui devrait vraiment leur faire peur !

02/2022

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Littérature étrangère

Une prière à la mer

Marwan, mon cher enfant, je contemple ton profil éclairé par la lune, tes cils que l'on dirait calligraphiés, tes paupières closes dans ton sommeil innocent. Et je te dis : "Donne-moi la main. Tout ira bien".

09/2018

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Musique, danse

Essai sur la représentation du drame musical. Wieland Wagner in memoriam

Cette évidence de bon sens qui veut que la musique et la scène soient consubstantielles dans le Théâtre Lyrique, qu'elles opèrent nécessairement en symbiose, cette évidence dit aussi, en un double sens, que leur union n'est nullement évidente par elle-même, qu'elle est pour l'une et l'autre un problème. Les esquisses théoriques qui composent cet essai témoignent donc d'une double préoccupation Extraire la puissance latente d'un schème apparemment impossible à atteindre : le lien singulier entre événement et vérité, entre musique et scène représentationnelle, que Wieland Wagner sut nouer pour la première fois dans l'histoire du Théâtre Lyrique. Car tel fut l'enjeu, pour lui, de montrer que la jonction non cumulative entre l'image scénique et la musique ne désavoue pas la réalité d'une fiction narrative, mais implique une transformation spécifique de l'espace scénographique pour exposer la représentation à la "vision simultanée" d'une "mise en scène spirituelle exacte" (Mallarmé). - Lancer un défi à la mémoire, à ses pouvoirs de sélection, de dissociation et de distorsion, non pas pour parler au nom de Wieland Wagner, mais - suivant la démarche dont se réclame Gilles Deleuze dans La vie comme oeuvre d'art - pour "tracer une transversale, une diagonale qui irait forcément de lui à moi (je n'ai pas le choix), et qui dirait quelque chose de ses buts et de ses combats comme je les ai perçus".

09/1998

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Littérature française

Fromont jeune et Risler aîné

Une noce chez Véfour C'était bien la vingtième fois de la journée que le brave Risler disait qu'il était content, et toujours du même air attendri et paisible, avec la même voix lente, sourde, profonde, cette voix qu'étreint l'émotion et qui n'ose pas parler trop haut de peur de se briser tout à coup dans les larmes. Pour rien au monde, Risler n'aurait voulu pleurer en ce moment, - voyez-vous ce marié s'attendrissant en plein repas de noces ! - Pourtant il en avait bien envie. Son bonheur l'étouffait, le tenait par la gorge, empêchait les mots de sortir. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était de murmurer de temps en temps avec un petit tremblement de lèvres : "Je suis content... Je suis content. ". . Il avait de quoi l'être, en effet. Depuis le matin, le pauvre homme se croyait emporté par un de ces rêves magnifiques dont on craint de se réveiller subitement, les yeux éblouis : mais son rêve, à lui, ne semblait jamais devoir finir. Cela avait commencé à cinq heures du matin, et à dix heures du soir, dix heures très précises à l'horloge de Véfour, cela durait encore...

03/2023

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BD tout public

Gaspard et la malédiction du Prince-Fantôme

Le département des Antiquités égyptiennes du Louvre conserve une infinité de merveilles ; Gaspard, dont l'oncle travaille au musée, vous dirait qu'on y vit aussi des aventures étonnantes, voire terrifiantes, sous l'oeil complice de Bastet et de Thot...

11/2017

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Littérature francophone

Tropique de la violence

"Ne t'endors pas, ne te repose pas, ne ferme pas les yeux, ce n'est pas terminé. Ils te cherchent. Tu entends ce bruit, on dirait le roulement des barriques vides, on dirait le tonnerre en janvier mais tu te trompes si tu crois que c'est ça. Ecoute mon pays qui gronde, écoute la colère qui rampe et qui rappe jusqu'à nous. Tu entends cette musique, tu sens la braise contre ton visage balafré ? Ils viennent pour toi". Tropique de la violence est une plongée dans l'enfer d'une jeunesse livrée à elle-même sur l'île française de Mayotte, dans l'océan Indien. Dans ce pays magnifique, sauvage et au bord du chaos, cinq destins vont se croiser et nous révéler la violence de leur quotidien.

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Littérature française

Les invités de la chasse

"Cette fois il fallait sonner les trois coups de corne. En effet, on se rapprochait de plus en plus et, sans être encore à portée véritable, Gilles savait qu'il suffit des plombs d'une gerbe qui se réunissent pour que ceux-ci fassent balle et deviennent dangereux. Au moment où il allait porter la petite trompe de cuivre recourbée à ses lèvres, il y eut dans le sarrasin comme un frémissement, puis l'éclatement de cent envolées. Réunis là, les oiseaux s'enlevaient, fusant dans toutes les directions [...] Les coups de fusil se confondaient. Tout le monde tirait ou presque, à gauche, devant. Oui, c'était encore sans danger, mais c'était à la limite. "L'avait-on entendu ? Peut-être pas dans la fusillade [...] Une nouvelle fois il sonna. Maintenant : tirer derrière seulement. "Mais que se passait-il sur la ligne de la route ? Gualbert courait. Et Talagnac - Talagnac lui-même ! - quittait son poste [...] Des bras s'agitaient. Des voix criaient : "Ne tirez plus...". Et quelqu'un, dont la voix lui parvenait, portée par le vent, disait : "Il est blessé, il est blessé...", "Qui était blessé ? Gilles fit véhémentement signe à la battue de s'arrêter, sonna plusieurs fois la fin de traque pour faire cesser totalement le feu, courut à son tour à travers le labour, le sarrasin. Des oiseaux isolés se levaient encore, mais on lui obéissait, on avait compris ses coups de corne réitérés, personne ne tirait plus. Quand il arriva à la route, d'autres avaient fait comme lui et couru, un groupe était là, qui lui cachait ce qui se passait. Il écarta les dos, vit un homme étendu par terre : "- Parnal, dit Talagnac". - Blessé ? un plomb ? demanda Gilles. "Mais Parnal était étendu au revers du fossé, immobile, exsangue". A l'occasion d'une battue organisée pour quelques actionnaires, l'un d'eux va trouver la mort dans des circonstances troublantes. Accident ? Crime ? Châtelains, banquiers, industriels, nouveaux riches, notaire, tous sont soupçonnés... L'un des meilleurs romans de Paul Vialar.

09/2017

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Livres sonores

Tonnerre de prouts !

En voiture pour aller au zoo ! Mais sur place, on dirait bien que les animaux ont oublié les bonnes manières... On en a plein les yeux mais aussi plein les narines ! Un livre détonnant et explosif de l'auteur à succès Antoine Guilloppé.

12/2021

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Littérature française

Le trafic triangulaire

En route, Clothilde parlait avec animation, elle était heureuse, avait la mine rose, épanouie, exprimant vie. Sa voix vibrait de bonheur dans sa gorge. Le trajet fut d'ailleurs court et ils descendirent de la voiture : Clotilde marchait devant Julien en sautillant comme une petite fille, dandinait en roulant ses fesses de joie. On dirait une agnelle bien gavée du lait maternel, qui exprimait sa joie et sa reconnaissance à sa mère. Julien souriait derrière elle en pensant au poète William Wordsworth, qui disait avec raison : "L'enfant est le père de l'homme". En effet, Clothilde avait raison de jubiler de cette aubaine, qui lui tombait du ciel, un garçon robuste, grand, large d'épaules, dégageant une santé vivifiante. Un jeunot pareil plongé dans son giron était un don, une grâce, une bénédiction du Père céleste. Clothilde venait de recouvrer une sublime jeunesse, qui lui conférait sans partage Virginie. En effet, elle, petite et menue, lui, grand, les deux formaient un couple drôle en pronom personnel "il" : elle le "i" et lui le "l". Alors, Clothilde ouvrit glorieusement la grande porte et ils entrèrent dans le Bar Western comme dans une merveille. La salle était aux trois-quarts bondée. La timidité gonfla la tête de Julien de honte. Il eut le sentiment que tous les regards étaient fixés sur eux. En tout cas, la rencontre extraordinaire de Julien et de Clothilde laisse imaginer une suite palpitante de rebondissements. On verra comment le jeunot s'y prendra avec Clothilde pour réaliser son rêve.

05/2020

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Littérature étrangère

Contes et légendes d'Ukraine

Autrefois, il y a très très longtemps, un énorme dragon habitait dans une montagne. Couvert d'écailles plus grandes que celles d'un poisson, il avait trois têtes, des ailes rouges, des épines sur le dos et des ongles sur la queue et sur les genoux : il portait un grand collier. Il était si horrible que celui qui le voyait de loin se faisait la peur de sa vie. L'abominable dragon quittait sa grotte pour s'allonger sur la route ; à peine quelqu'un prenait cette route qu'il ouvrait grand sa gueule, inspirait le passant et l'avalait. Hommes ou bétail, peu importe. ce monstre pompait tout ; et comme il était insatiable beaucoup avaient péris dans ses entrailles. Les gens comprirent qu'il allait les manger tous et se mirent d'accord pour envoyer une personne à sa grotte pour son repas de soir : il mangerait la victime et ne sortirait plus jusqu'au lendemain. Ils espéraient qu'il aurait la flemme et n'irait pas chercher ses victimes au village, mangerait moins et que d'ici là un chevalier se manifesterait et le tuerait. Ils réalisèrent leur plan. Tous les matins ils envoyèrent une personne à la grotte qui disait des prières en attendant l'apparition du dragon.

09/2009

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Lecture 6-9 ans

Le trésor du roi qui dort

Mathilde et Julien font leurs devoirs à la bibliothèque. Dans un livre, ils trouvent un mystérieux message : on dirait un code secret qui indique la cachette d'un trésor ! Les deux amis, bien décidés à le retrouver, se rendent au jardin public pour commencer leur chasse...

02/2020

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Gautier Languereau

Mamie poule raconte Tome 26 : Le Flamant rose qui avait la jaunisse

Oulala on dirait bien que le flamant rose est malade, il est tout jaune ! Vite, faites venir le docteur Taureau, l'expert des remèdes originaux. Mais quand on parle de piqûre, tous aux abris ! Une histoire hilarante pour réconcilier les enfants avec les visites chez le docteur.

06/2021

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Lecture 9-12 ans

Tom Gates Tome 13 : La grande aventure (ou pas loin)

Avoir encore ses grand-parents des deux côtés, c'est plutôt CHOUETTE ! Les CROULANTS aiment bien faire des CADEAUX, et ils ont prévu une sortie en famille qui s'annonce EPIQUE. On dirait même que Délia veut venir avec nous... Mais bon, je pourrai toujours l'ignorer.

09/2020

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Lecture 6-9 ans

Une drôle de Saint-Valentin!

Dans cette troisième histoire, Elia s'apprête à fêter la Saint-Valentin avec ses amies. Elles décident ensemble de jouer un tour à son frère David en lui envoyant de fausses lettres d'amour ! Pendant ce temps, on dirait que Sarah-Maude a trouvé un amoure

02/2015

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Lecture 6-9 ans

Les fabuleux voyages de Ninon et Lila : Le lit-bateau des pirates

Ninon a invité Lila à passer le week-end chez sa grand-mère. Les deux copines dorment dans un grand lit de campagne. Avec sa grosse couette bleue, on dirait... un navire de pirates ! Ni une ni deux, Ninon et Lila embarquent pour une incroyable aventure !

05/2018

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Poésie

Elixir et Venin

Le jus infus de peur que tu portes sur toi Pour qu'il n'atteigne pas n'importe qui, L'eau du bain où tu as rêvé à nous, Cette vague de l'océan qui imite tellement bien les autres qu'on dirait qu'elle les suit

01/2023

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Histoire ancienne

ROME. Le livre des fondations

La couverture est un tableau de l'Ecole de Fontainebleau. Dans le fond, en haut, un bâtiment s'élève, le Colisée, peut-être, un peu stylisé, un cirque colossal, une sorte de tour de Babel romaine. Derrière elle, d'autres monuments occupent l'horizon, un pont du Tibre, une mince pyramide, un temple, la ville de Rome, la ville antique, sujet de ce livre. Rome a bâti, pierre sur pierre, des routes, des ponts, des places, des ares, des villes entières, un empire long. Si elle a su les construire, il a fallu qu'elle sache les fonder. Devant le Colisée, sous l'ensemble des constructions, dans une esplanade large a lieu une bataille à mort. On dirait que des gladiateurs, échappés du Cirque par la brèche, continuent leur combat au-dehors, on dirait l'assassinat des Curiaces par Horace. Quand Rome a décidé de construire le Capitole, on a découvert au fond des fondations une tête humaine au visage entier. On dirait que le soldat du premier plan, debout triomphant sur un podium rond, vient de la retrouver. Il la montre, comme un trophée. Ces batailles fondamentales sont le sujet de ce livre, nommé livre des fondations. Fondations des murs de pierre sur la chair, fondations de la ville, de son histoire, de sa culture, de ses spectacles, de sa politique, des nôtres aussi, des nôtres encore. Qui est ce pauvre mort dont la tête lamentable donne son nom au Capitole ?

04/1999

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Autres éditeurs (K à O)

Au revoir, Milord

Milord ne court plus après les balles. En promenade, il a vite mal aux pattes et, parfois, on dirait qu'il n'entend pas. Norman, son ami de toujours, se souvient qu'autrefois Milord adorait conduire sa voiture à travers la campagne. Peut-être aimerait-il apprendre à voler ?

11/2021