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JK Rowling polemique

Extraits

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Paranormal, Bit-lit, Science-f

Kit Davenport Tome 4 : Le nid de vipères

Trahie. Blessée. Perdue. Mais toujours aussi déterminée. La trahison nous a contraints à fuir. A échapper à l'homme que je considérais comme ma famille, à l'organisation que je croyais du bon côté. En cachette, je dois apprendre à maîtriser mes nouveaux pouvoirs et faire la paix avec le gardien auquel je me suis liée, sinon je risque de m'exposer. Mais je n'arrive pas à accepter les événements qui nous ont menés jusque-là. J'ai besoin de réponses. De pouvoir tourner la page. Un gage de paix est offert et un autre piège se révèle. Tandis que mes différentes relations se renforcent de jour en jour, de nouvelles tensions émergent et certains fantômes de mon passé font leur apparition. Mais puis-je faire confiance à qui que ce soit ? Je m'appelle Kit Davenport et, celle-là, je ne l'avais pas vue venir. #HeroineBadass #UrbanFantasy #Métamorphes #FausseIdentité #ReverseHarem

02/2023

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Thrillers

Sentinelle

" Mon nom ne te dira rien. Ni mon nom ni mon âge. Ni aucune description physique. Je pourrais être n'importe qui. Ton voisin, ton mari, ta femme. Ton amant. Toi. Je pourrais être toi. Je suis fondu dans la masse, anonyme. Je suis comme tout le monde, donc je ne suis personne. Donc, tu me connais. Je suis comme tout le monde. Je tue des enfants. Mais au fond de toi, tu le sais. Ne t'offusque pas. Ne sois pas choqué. Ne sois pas ridicule. Arrête d'être choqué par tout et n'importe quoi. Tu sais que tu reprendras ta vie après. Quelle que soit l'intensité du choc. Alors, arrête de jouer un rôle. Ne fais pas celui qui ne sait pas. Au fond de toi, tu sais. Tu ne lis pas ceci par hasard. Je suis heureux de te rencontrer. Je pourrais être toi, et tu le sais. Viens prendre ta leçon. Viens avec moi. Bienvenue à toi. "

04/2023

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Paranormal, Bit-lit, Science-f

Wolf Girl Tome 3 : Alpha Girl

M'éloigner de Sawyer a été la décision la plus difficile de ma vie, mais je devais le faire. Il en va de l'avenir de notre peuple. Wolf City est en guerre et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que les loups en sortent victorieux... même si pour cela je dois accepter d'être l'alpha des Paladins. Cette meute est différente des autres. Moi qui pensais me rendre brièvement sur leur territoire, je me retrouve à me battre pour ma vie... Le futur dont Sawyer et moi rêvons menace de s'effondrer. Je fais face à un dilemme impossible : dois-je choisir l'homme de mes rêves ou écouter ma conscience en sauvant ce peuple mourant que je connais à peine ? Quoi qu'il arrive, il faut que je trouve un moyen de revenir auprès de Sawyer. Car maintenant je le sais, vivre sans lui m'est impossible.

05/2022

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Littérature française

Joséphine. Récit

Dans le petit carnet à couverture bleue - sur laquelle elle avait collé deux décalcomanies d'abeilles jaune et noir - Joséphine, sous la date du mardi 28 avril 1992, a écrit ceci : "Je peux définir l'amour : l'amour, c'est la possibilité de se dissimuler dans un être, d'oublier qu'on existe (...). Je deviendrai normale pour garder son corps. Je garderai son corps. Il ne le perdra jamais complètement. J'en prendrai soin. Je crois que je peux y arriver, je peux me fixer ça comme objectif". Je ne sais pas au juste pourquoi je reproduis ces notes, convaincu que le déchirement qu'elles me causent, nul ne peut s'en faire la moindre idée. Et je les reproduis pourtant comme si quelqu'un qui ne l'a pas connue, qui ne l'a pas perdue, pouvait en les lisant être transi d'amour pour Joséphine au point de vouloir comme elle "oublier qu'il existe" .

07/1994

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Théâtre

Tout le ciel au-dessus de la terre (Le Syndrome de Wendy)

Quand je pense à la tuerie d'Utoya, je ne pense ni à la douleur, ni à l'horreur. Quand je pense à la tuerie d'Utoya, je pense à tous ces jeunes gens que j'aurais aimés et qui ne m'auraient jamais aimée. J'imagine leurs sexes dans ma bouche. J'imagine d'éternelles fellations. Je n'ai aucun supplément de dignité.

06/2013

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Imagiers, premiers dictionnair

Mon imagier-caméléon

Je suis multicolore ! s'écrie Caméléon tout joyeux. Au voleur ! piaillent les oiseaux, on nous a volé nos couleurs ! Pas besoin de faire tant d'histoires, grommelle Caméléon. Je ne pouvais pas choisir, alors je les ai toutes prises. Promis, je vous les rends quand je les aurai essayées. En suivant le caméléon dans cet imagier, tu découvriras les couleurs du monde qui t'entoure...

03/2024

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Littérature française

Daisy Gazelle, héroïne colorature

Je n'ai jamais été un bon musicien. Je possède mes gammes, je lis ma partition. Je ne le fais pas trop mal, mais je ne suis qu'un banal exécutant que la pratique a rendu habile sans lui donner le véritable souffle. Mais elle me suit des yeux, mieux que ça, elle ne me lâche pas. Je tente de lui échapper, je ferme les miens. Faire à l'ordinaire, suivre ma routine, me concentrer sur mes fantasmes, mettre en branle mes déclencheurs éjaculatoires, être prêt au premier râle. Mais ce qui se passe est ailleurs, entre les yeux. Un plaisir autre, le sien, dans lequel je me vautre et me baigne. Son plaisir de gorge, qui m'envahit et m'inonde. Daisy, c'est ton vrai nom ? Elle ne dit rien. Je me sens con. Quelle importance, au fond qu'elle s'appelle Charlotte ou Nadine ou Daisy ? Pourquoi tailler dans le silence, pourquoi mettre des mots, ça bétonne. Parfois il suffit de se tromper, de ne pas choisir les bons et tout s'écroule. Se tromper de ton est pire que de dire des âneries ou des banalités. Souvent, je sais qu'un lien peut se dénouer à cause de cette façon fausse dont on a posé la première phrase. Avec elle, je n'ai pas eu besoin de parler. La danse a suffi. Je ne m'y attendais pas, puisque je suis sensuel comme une chaise. Alors je ne sais pas. Pourquoi est-elle venue ? Et pourquoi était-ce si fort ? J'avais cherché souvent dans mon existence, l'expérience de l'inconnu baisant l'inconnu.

09/2018

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Littérature érotique et sentim

Mes premiers pas dans la soumission

Je suis soumise....Dans cet ouvrage, je vous fais part de mes premières expériences et de mes ressentis lors de mes débuts dans le monde du BDSM. Les faits relatés, je les ai réellement vécus. Je vous livre ici mon journal intime...

01/2013

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Philosophie

Regard(s) sur le passé

"Je me souviens du passé, mais la mémoire de l'esprit, qui oublie, est différente de la mémoire du coeur, qui n'oublie pas. "Je me souviens" mais surtout "Je rêve dans le passé" : je revis mon passé sous la forme du rêve."

05/2019

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Poésie

Ça s'en va et ça revient

Sous le regard ébloui du destin je t'ai rencontré. Dans l'ombre pleine de la vie je t'aime. Si un jour je dois tomber ce sera dans tes bras. Qu'il neige ou qu'il pleuve je ne vois que toi.

09/2014

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Littérature française

Le dernier verre

C'est un nouveau début. J'ai intérêt à me rénover d'urgence. Mais c'est toujours comme ça, les débuts? ; ça recommence. Elle vient de me virer. Mais elles finissent toutes par me virer, trop de ceci, pas assez de cela. Trop de sky, surtout. Ca, je le sais. Je jure souvent que c'est le dernier verre, mais c'est toujours l'avant-dernier. Alors, je pars souvent à la pêche. Le choc que j'ai ressenti n'a pas dû être perceptible du dehors, car je pense qu'elle ne m'aurait pas délaissé pour reprendre sa marche vers son amant. J'ai décidé de jeter l'éponge. Elle devait se dire " laisse tomber, ma fille, pourquoi une trentenaire comme toi baise-t-elle un homme plus vieux?? " J'étais tellement humilié que je suis resté à l'écart de toutes les femmes, me consacrant plus que jamais à mes parties de pêche et au whisky. Du moins jusqu'avant d'être collé en hôpital psychiatrique après l'ennui de santé qui avait failli avoir ma peau. Comme j'avais besoin d'affection, j'ai eu quelques histoires avec des femmes. Oh, pas beaucoup?! Je ne suis pas un Don Juan. Charlotte, même prénom que ma femme (tiens, quelle coïncidence?! ), je l'avais rencontrée lors de mon second passage en psychiatrie. Elle était bisexuelle, très belle, très jeune et affranchie de tout, je crois surtout qu'elle était homo. Le piège était tendu et bien entendu, je me jetais dedans. Elle me quitta pour rejoindre son ex en Amérique du Sud. Je portais désormais mon âge comme une enclume. Cette simple évocation me pétrifie. Comment ai-je pu rester à ce point absorbé par moi-même, enterré dans ce que je considérais comme mon déclin?? L'esprit est une cage, parfois. Comment réussirai-je désormais à séduire?? Etais-je irrésistible?? Etais-je une force brute?? Un charme subtil?? Eh bien non, pas vraiment. Je connaissais les pulsions les plus basses des hommes et n'en usais qu'avec parcimonie. Beaucoup de gens essaient toutes les combinaisons possibles, moi, je n'en voyais qu'une pour ouvrir ma cage. J'avais par le passé publié quelques livres de poésie. Je décidais d'écrire mon histoire, la vraie, le roman de ma vie, de bosser dur pour me mettre ailleurs. Pourtant, je n'ignorais pas que la littérature, comme la vie, est pleine d'injustices.

08/2019

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Littérature française

Ce quelqu un d'à coté

Je voulais me consoler auprès d'une plume et je savais, puis, en fait, je ne sais pas grand-chose.

06/2022

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Littérature française

La difficulté de vivre

« Tenace, je m'obstine – je crache à la gueule de la maladie. Je deviens l'homme révolté camusien ; ayant remporté le duel contre l'immobilisme scellé de tant d'années, je deviens l'activité même, je m'affranchis de la contingence sartrienne. Dans ma poitrine, une grande voile de navire est battue violemment par le vent – je suis le volontariat héroïque et tragique de Rimbaud, je chevauche un destin parent à celui de Lawrence d'Arabie, je suis "La Forza Del Destino" de l'opéra de Verdi. Don Quichotte résolu, je combattrai les impétueux moulins de la souffrance humaine. Du patient, je deviens thérapeute ; de celui qui fut secouru, je deviens celui qui va secourir. Vain que j'étais, me voilà utile et animé ; j'ai maintenant un beau devoir, qui m'enrichit et me justifie. » C'est un témoignage peu commun auquel nous convie le peintre Thomas Boulze. Plus qu'un regard sur une vie, c'est une fenêtre sur une âme : une odyssée poétique traversée par un lyrisme omniprésent, riche et référencé, qui vient rendre hommage aux plus grands artistes en un même élan, gracieux et torturé, subtil et contagieux. Une sensibilité à fleur de peau, une plume fiévreuse : « La Difficulté de vivre » est une confession qui ne laisse pas indifférent.

10/2014

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Histoire ancienne

Correspondance. Tome 4, Lettres 386 à 561 (49 à 46 avant J-C)

" Vos frères m'ayant engagé, le 23 février, matin, à me rendre chez César, où je parvins jusqu'à lui après avoir essuyé les difficultés et les humiliations qu'il en coûte pour l'aborder ; lorsqu'ils se furent jetés à ses pieds avec vos autres parents, et que j'eus parlé dans les termes que je crus convenables au temps et à la cause, il s'expliqua non seulement de bouche par un discours qui était assurément plein de douceur et de bonté ; mais encore, des yeux, de l'air du visage, et par d'autres marques, que je distinguai mieux que je ne puis les représenter par écrit ; il s'expliqua, dis-je, si avantageusement pour vous, que je sortis absolument persuadé de votre grâce. Je ne vois donc plus pour vous que des motifs de courage et de grandeur d'âme. Je continuerai de vous servir comme si les difficultés étaient toujours les mêmes ; et je ne cesserai pas de solliciter pour vous avec plaisir, comme j'ai fait jusqu'à présent, et César, et tous ses amis, dont je ne puis douter que je ne sois fort aimé. Adieu... " Lettre de Cicéron à Ligarius (26 février 47 au J. -C.)

01/2005

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Littérature française

Bataille (pas l'auteur)

"Ca m'a pris il y a quelques mois, j'ai commencé à écrire mes prières et mes voeux sur des bouts de papier. Et puis je suis allée les planter dans les pots de fleurs de la cathédrale, très discrètement. Même dans les pots de fausses fleurs, dans la mousse. Je plante mes prières dans les pots de fleurs devant les sculptures et puis je m'assieds. Je reste là à ne rien foutre un moment, et je me sens mieux. Il y a toujours le même gars qui prie la Vierge à côté de moi. Je peux y aller à n'importe quelle heure, il est là. Il ressemble à un violoncelliste polonais d'une autre époque, du cheveu et de la veste, je trouve. J'ai souvent envie de lui sourire, mais il a toujours les yeux fermés. Il prie les yeux fermés. Ca ne sert absolument à rien que je Lui sourie s'il ne me voit pas, mais je me dis qu'il voit peut-être à travers ses paupières, alors je lui souris. Je me demande bien de quelle couleur sont ses yeux d'ailleurs. Azur, comme le ciel plombé d'aujourd'hui, peut-être. Comme les miens, couleur dépression."

05/2019

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Littérature française

Le Horla. Et autres histoires

" Donc, je faisais semblant d'écrire, pour le tromper, car il m'épiait lui aussi ; et soudain, je sentis, je fus certains qu'il lisait par-dessus mon épaule, qu'il était là, frôlant mon oreille. Je me dressai, les mains tendues, en me tournant si vite que je faillis tomber. Eh bien ?... on y voyait comme en plein jour, et je ne me vis pas dans ma glace !... Elle était vie, claire, profonde, pleine de lumière ! Mon image n'était pas dedans... et j'étais en face, moi ! Je voyais le grand verre limpide du haut en bas. Et je regardais cela avec des yeux affolés ; et je n'osais plus avancer, je n'osais plus faire un mouvement, sentant bien pourtant qu'il était là, mais qu'il m'échapperait encore, lui dont le corps imperceptible avait dévoré mon reflet. Comme j'eus peur ! Puis voilà que tout à coup je commençai à m'apercevoir dans une brume, au fond du miroir, dans une brume comme à travers une nappe d'eau ; et il me semblait que cette eau glissait de gauche à droite, lentement, rendant plus précise mon image, de seconde en seconde. C'était comme la fin d'une éclipse. "

05/1993

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Littérature française

J'aurai ma peau

Monique : Un feu me sert de dossier. Chercher la croix. A moins que j'y sois. Au mieux je demande. Ma voix déraille lorsque je pose cette question à une dame. - Pardon, je n'ai pas compris Mademoiselle. ­- Non ce n'est pas grave. Pas la force d'insister. Je ne m'entends pas. Peut-être ne suis-je pas audible. En faisant le tour du carrefour, sous les sifflets grotesques des automobilistes, je retrouve le fameux panneau de tout à l'heure. Une éternité s'est écoulée. Jessie : Nous étions comme collés. Désormais nous sommes regardés. Elle me drague là ou bien ? Ai-je bien entendu ce qu'elle vient de dire à l'infirmière ? Le temps que je réalise, j'ai déjà blindé l'affaire. Je lui parle du cadre, du groupe de parole, de mon départ... Depuis, je me sauve, j'esquive. Force m'est-il de constater qu'il s'agit bien de cela. Dix ans après, j'en ris. A l'époque, je ne riais pas. Monique et Jessie, deux récits, deux voix, deux écrits pour dire combien l'autre n'existe pas seul. Deux adolescentes, deux psychiatres, une même peau. Préface de Thierry Lebrun.

03/2021

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Littérature française

La folie du jour

"Je ne suis ni savant ni ignorant. J'ai connu des joies. C'est trop peu dire : je vis, et cette vie me fait le plaisir le plus grand. Alors, la mort ? Quand je mourrai (peut-être tout à l'heure), je connaîtrai un plaisir immense. Je ne parle pas de l'avant-goût de la mort qui est fade et souvent désagréable. Souffrir est abrutissant. Mais telle est la vérité remarquable dont je suis sûr : j'éprouve à vivre un plaisir sans limites et j'aurai à mourir une satisfaction sans limites".

06/2002

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Poésie

Lieux, villégiatures, souvenirs & autres instantanés

Me voici arrivé à l’âge où, regardant des films vieux d’une vingtaine d’années, je me dis que les acteurs ont pris un coup de vieux. et je ne vois pas que le film a, lui aussi, vieilli… et quand je me regarde dans le miroir, je constate que mes cheveux s’en sont allés, que mes dents se déchaussent et que mes joues pendent (lamentablement ! comme si elles pouvaient pendre fièrement). et je me dis alors que tout est dans l’ordre des choses. et je me révolte.

02/2019

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Littérature française

Un tournant de la vie

"Je traversais la rue... Vincent passait sur le trottoir d'en face. Je me suis arrêtée au milieu du carrefour. J'étais là, figée. Le coeur battant. Je regardais son dos qui s'éloignait. Torse large, hanches étroites, il avait une stature impressionnante. J'aurais pu courir, le rattraper. Il a tourné au coin de la rue. Je suis restée debout, les jambes coupées. Les yeux fixés sur la direction qu'il avait prise. Je tremblais. Je n'arrivais plus à respirer. J'ai pris mon téléphone dans mon sac, j'ai appelé une amie. "

08/2018

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Littérature française

De plumes et de plomb

Je marche avec du plomb dans l'aile, regard dans le vague, j'obéis aux ordres, je m'en remets au destin. Sous mes pieds se succèdent des cercles lumineux, des ronds qui, sous mes pas, s'effacent pour mieux renaître. Lancée à corps perdu dans cette course folle, chaque foulée est un exutoire, je les traque, les poursuis, les écrase de mon poids plume. L'air me manque, je suffoque. Combien de mètres me reste-t-il avant d'y apercevoir une éclaircie ? Où suis-je ? Qui-suis-je ?

11/2022

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Littérature française

Mon Père avait raison

C'est un ouvrage autobiographique ou je parle de moi, dès ma naissance jusqu'en 2017. Je présente une grande expérience de vie à partager car je dois un grand merci à un coach qui n'est autre que Mon Père pour qui je dois tout. Il a été un modèle et u mentor pour mon parcours bien que, pour ce dernier, parsemé de nombreuses embûches. En quatre chapitres, je vous relate ma petite vie dont le chemin a été tracé par un coach à qui je dois tout.

08/2020

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Littérature française

Kisinza

LA-BAS Là-bas, je vis. Ici, je vivote Là-bas, je me la coule douce. Ici, je trime Là-bas, je contemple la nature. Ici, je suffoque dans le béton Là-bas, l'autorité. Ici, l'écroulement des impératifs Là-bas, le Bien commun. Ici, l'appétit personnel. Triste histoire d'une Afrique en quête d'équilibre ! La vie ! Doux fleuve tranquille : voilà l'illusion ! La vie ! Quête et conquête permanentes : voilà l'espérance ! Là-bas sont les solutions. Ici, les problèmes Allons et chantons la vie ! Là-bas !

12/2022

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Poésie

L'amour ne doit pas faire de vagues

Poèmes d'amour et de combat contre l'obscurantisme intégriste. Je suis né entre une mosquée et un cimetière Les morts d'un côté et Dieu de l'autre A la fin je les confondais Je prenais la mosquée pour une épouvante Et Dieu pour une tombe Je rêve de me livrer pieds et poings liés A une langue inconnue Dont je ne connaîtrais aucune syllabe. Je rêve de devenir, imperméable, réfractaire aux mots Pour vivre juste de mes yeux Et me dire que la seule langue étrangère, c'est la vie.

06/2023

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Littérature française (poches)

Isabelle

Mon amour, voici ma dernière lettre... Vite ces quelques mots encore, car je sais que ce soir je ne pourrai plus rien te dire ; mes lèvres, près de toi, ne sauront plus trouver que des baisers. Vite, pendant que je puis parler encore, écoute : Onze heures c'est trop tôt ; mieux vaut minuit. Tu sais que je meurs d'impatience et que je m'exténue, mais pour que je m'éveille à toi, il faut que toute la maison dorme. Oui, minuit ; pas avant. Viens à ma rencontre jusqu'à la porte de la cuisine...

06/1972

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Littérature française

La République du Trégor

Dans un monde sorti du Chaos, je combats, au nom de la justice, la terreur qu'insufflent les Lemmings, pour le compte de nos sauveurs, les Sages. Je suis l'Elite Je suis une tueuse. Je suis Isatis. Il est un Lemming. Il est l'ennemi. Il est Lui. Je suis née pour tuer mais pourrais-je le tuer lui ? Depuis l'enfance, j'ai appris à anéantir toute forme de sentiments : amour, haine, peur, culpabilité ne font pas partie de moi... enfin, c'est ce que j'ai toujours cru.

02/2019

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Autres collections (9 à 12 ans

Aqua Marina Tome 1 : Le secret de l'océan

Je m'appelle Aqua Marina, mais les gens m'appellent Aqua tout court. Je porte ce nom parce que je suis née avec des cheveux bleus comme l'eau de la mer. Je suis une sirène et j'habite à Sirénopolis, une ville cachée au fond de l'océan. Je sais bien que tu penses que les sirène et les tritons n'existent pas. Je vais plutôt te raconter mon histoire depuis le début, comme ça, tu pourras te faire ta propre opinion. Allez, viens, plonge avec moi !

01/2022

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Littérature française

Mes yeux a travers monde. Ce confinement nous a perdus

Là, à cet instant, je suis devant mon miroir, je le regarde. Je me regarde. Mes crises d'angoisse, derrière moi. Cette dépersonnalisation oubliée, du passé. Ce cancer, un ange déçu, un démon disparu. Pourtant, je vois ces yeux noirs, d'un noir bizarre venu d'autre part. Une tête dépravée n'appartenant plus à mon être, où suis-je donc passé? Je m'écroule, j'espère que cette fois, ma vie n'est pas terminée... S'il te plaît, laisse moi une chance d'espérer... C'est la fin ? Non, J'ai faim, je suis affamé. Affamé de vivre, au loin il y a cette lumière qui brille, elle, elle vit. Je me lève d'un pas assuré, je la suis on verra bien, en tout cas ce sera mieux qu'ici. L'espoir renaît de ces cendres créées. Je suis décidé, le choix est fait... La vie, je la choisis. Alors, je prends un stylo et débute ce récit : A partir de ce jour, je veux commencer à vivre. Ce soir je suis là, devant toi, insomniaque dû à une grosse peine de coeur, je n'arrive pas à dormir, mes rêves sont lointains. J'ai le coeur lourd, tout stagne. Je commence ces quelques lignes... Puis vint le matin, il fait si beau... La mer est lisse, le soleil brille. Nous sommes sur les iles Saintes, sur une plage. Quelle belle plage ! On est seul au monde, au paradis. Oui, on est au paradis. J'ai envie d'écrire, alors écrivons. Tant de choses à raconter. A te raconter. Je crois en la vie, ayant toujours été quelqu'un de très optimiste, plutôt sensé malgré de très nombreuses dérives et de moments d'égarements, qui sont, d'ailleurs, loin, très loin d'être finis. Ils me suivront surement toute ma vie. Mais avec l'âge, la sagesse, les rencontres, mes amis, ma famille, j'espère trouver ce bonheur. Ce bonheur que l'on recherche tous et qui caractérise tout simplement la vie. J'ai bien dit le bonheur et non le plaisir. Ce plaisir qui m'a toujours dominé, enchaîné, emmené dans les bas-fonds de l'existence, de cet univers immense, imperceptible. Toutes ces péripéties m'ont amené à rencontrer des gens formidables, hors du commun, marqués, étiquetés par cette vie, qui se doit à travers les médias et codes culturels, d'être lisse et sans vague. Cette expérience qui est la mienne, je vous la conte à travers ces quelques lignes. Les différentes étapes qui m'ont forgées, et fait de moi ce que je suis. J'en ai besoin, c'est primordial, je dirai même vital. Je l'ai vécu, je la revis en écrivant ces mots. Un moment très spécial et inédit pour la personne que je suis. Ce moment que j'ai tant attendu, tant reporté...

06/2023

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12 ans et +

Eloi

Ma soeur Annabelle me dit que je suis son chevalier, parfois son prince. Plus personne ne s'offusque quand je me présente en tant que garçon ; mes amis et ma famille ont compris que mon corps n'est pas tout ce qui me définit. Je prends de la testostérone, j'attends impatiemment de pouvoir subir ma première chirurgie et je commence le cégep. Maintenant, à dix-sept ans, je suis Eloi. Je suis heureux, je suis en paix, mais je ne cesse de me poser une question : est-ce qu'un jour, quelqu'un voudra être en couple avec moi ? Puis, il y a Luka, un ami de Dominic, qui s'immisce dans ma quiétude. Il change tout avec ses yeux gentils et ses questions que j'évite. Il est gai, comme moi. Non... pas tout à fait comme moi. Mais comment pourrais-je lui avouer que je ne suis pas exactement celui qu'il apprécie ? Plus j'apprends à le connaître, plus j'ai envie d'être son prince à lui. Et moins j'ai envie qu'il sache que je suis transsexuel. Finalement, je me rends compte que je ressens encore le besoin de me cacher pour qu'on m'aime. Prise d'hormones, chirurgies, documents légaux, première relation amoureuse... Dans cette suite de Garçon manqué, l'auteur continue d'aborder la transsexualité, et, surtout, les étapes à franchir par les gens en transition. Admettre sa différence est un pas énorme, mais tout ce que ça demande par la suite exige également beaucoup de courage.

11/2019

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Littérature française

On a brûlé les ruches blanches

Pourquoi, face à elle, la sensation me revient d'être un débris de fille ou de femme ? Une violence océanique dans la poitrine ; un soulèvement monstre. Dans la bouche, un goût de métal, de sel et de neige carbonique. Le cerveau incendié, le corps en vrac, azimuté, une horreur meurtrière, absolue, pour les mains qui feuillettent mon corps. J'insulte le ciel et Dieu, je porte un masque de loup, je ne compte plus les tangentes prises, je veux dépecer presque tous les hommes qui m'entourent et certaines femmes. Mon corps est un poids diaphane, une présence froide. Il y a trop d'enclumes encore, sur ma poitrine, d'enclumes de chair que je veux pulvériser. Je veux des océans de temps sans hommes qui me pressent et pèsent leur éternité sur moi. Je vise le fier feu futur dont la flambée se profile. Je déteste souverainement. Je suis en état de guerre et en régime d'exception. Je dégage une odeur de tapin et de bête presque crevée mais je me relèverai. Une lampe à haute tension brûle dans mes fibres, mon corps est une mesure d'urgence, un plan d'évacuation. Je suis un ciel en flammes, un baiser de sorcière, je déferle dans les nuits de cristal et personne ne me voit. Personne ne sait le triangle de lumière dangereuse qui s'allume sous ma peau quand on me touche. Je ne sais pas ce que disent les cristaux qui crépitent sous mon sein. Rien n'est réparé.

02/2018