Le boxeur (Casterman) de Reinhard Kleist n'est pas la première bande dessinée s'attachant au destin d'un pratiquant du "noble art". Mais c'est à mon sens la meilleure, pour ses qualités propres, et parce que l'on y trouve un supplément passionnant sur les nombreux boxeurs déportés dans les camps de concentration et d'extermination pendant la Seconde Guerre mondiale.