Elle s’appelle Clémence Mercier. En juin 2018, elle a planté un CDI pour partir à l’autre bout du monde. Trois ans plus tard, elle est en Polynésie, à Samoa, travaillant pour une start-up manifestement peu recommandable. Et elle aimerait rentrer en France. Le truc, c’est que je ne connais pas cette Clémence, et qu’en dépit de son édifiant récit, elle n’existe certainement pas. Mais son histoire flanquerait la trouille…