politique house Cards

Bruno Le Maire s'apprête à sortir son 6e livre en 7 années au sein du gouvernement. Moins d'un an après le roman La Fugue américaine, le ministre de l'Économie signe cette fois « un acte de foi dans la France », qui annonce ses ambitions pour 2027. Marlène Schiappa n'est de son côté plus ministre, mais elle continue à être écrivaine, et publiera prochainement un livre de New romance.

Si la série américaine House of Cards (2013-2018) connut un beau succès en 6 saisons, il s'agissait en réalité d'un remake, qui trouvait son inspiration dans la série britannique homonyme créée par l'écrivain et scénariste Andrew Davies en 1990. Les deux premières saisons sont à découvrir sur arte.tv dès le 12 février avant la mise en ligne de la troisième et ultime saison dans quelques semaines.

Succès international, Anatomy Of A Scandal de Sarah Vaughan aura bientôt droit à son adaptation sur le petit écran. La série sera développée par le géant du streaming Netflix. Publié en 2018, ce thriller psychologique est sorti un an plus tard en France aux éditions Préludes, sous la traduction d’Alice Delarbre.

ROMAN FRANÇAIS – Il avait chroniqué les années du règne de Nicolas 1er, durant son quinquennat. Avec la même verve, Patrick Rambaud avait méthodiquement examiné l’avènement de François IV. Pas de raison qu’Emmanuel Macron échappe à la satire. 

ROMAN POLITIQUE FICTION – La mort d’Emmanuel Macron. Pas n’importe comment : un assassinat. Tout ça parce que l'épouse du président lui a refusé une barre chocolatée à l’huile de palme. Et la France s'ouvre dès les premières pages, toute endeuillée. Du Panthéon aux alcôves des puissants qui ont ourdi le crime, Tuer Jupiter frappe fort en cette rentrée.

Depuis l’affaire Adam-Eve contre Jardin du Paradis, les serpents ont mauvaise presse. Les serpents sont-ils nécessaires ?, signé par Brian De Palma et Susan Lehman, ne réhabilite pas les reptiles. Pas plus que la politique.

Évidemment, la coïncidence était troublante : d’un côté, une violente accusation de harcèlement portée contre Kevin Spacey. Et de l’autre, l’arrêt de la série phare de Netflix, House of Cards. Inspirée des romans de Michael Dobbs, l’écrivain britannique, elle avait fini par vivre sa propre existence, totalement indépendante. 

La bande dessinée V pour Vendetta, signée par Alan Moore et David Lloyd entre 1982 et 1988, avait connu une seconde jeunesse avec le film de James McTeigue en 2006, avec Natalie Portman et Hugo Weaving. Depuis, le masque aux traits de Guy Fawkes est devenu un symbole planétaire, aussi bien pour la pop culture que pour certains courants politiques. En conséquence, une série serait en préparation du côté de la chaîne britannique Channel 4.

Aujourd'hui porté aux nues pour son scénario de la série House of Cards, adaptée du roman de Michael Dobbs, Beau Willimon est avant tout un dramaturge. Et c'est une de ses pièces, Farragut North, qui servit de base à Grant Heslov, George Clooney et lui-même pour le scénario des Marches du pouvoir.

Ce serait à se tordre de rire si l’histoire de l’Irak n’était pas si tragique. La maison d’édition britannique Hesperus Press a décidé de publier un ouvrage sans prétention, posthume, d’un jeune auteur prometteur. Son titre, Ekhroj minha ya mal’un, ne laisse pourtant pas préfigurer l’ampleur de la chose. C’est que ce roman est ni plus ni moins qu’une œuvre de Saddam Hussein. 

Le Brexit, pour British Exit, ainsi que les élections présidentielles aux États-Unis font couler de l’encre depuis plusieurs mois. D’un côté, les Britanniques devront donner une réponse définitive à la question très délicate « faut-il que le Royaume-Uni demeure au sein de l’UE ou non » le jeudi 23 juin. De l’autre, les Américains devront choisir entre la démocrate Hilary Clinton, ou Donald Trump, le républicain, pour élire leur prochain président le 20 janvier 2017. 

Grâce à l’adaptation par Netflix de sa trilogie, Michael Dobbs est devenu une star, non qu’il n’ait pas largement conquis l’Angleterre avec les livres House of Cards. Le portage en série, totalement réadaptée pour s’inscrire dans le paysage politique américain, n’a finalement pas tant changé le fond du texte. Les politiciens, où qu’ils se trouvent, ont la fâcheuse tendance à convoiter avidement le pouvoir... 

C’est la série que la rédaction suit avec le plus d’assiduité – probablement une réminiscence d’ado, l’envie de conquérir le monde, ou l’idée que les extraterrestres, s’ils se manifestent, passeront en premier par la Maison Blanche... Bref, House of Cards est de retour et après une multitude de petites bandes annonces aguicheuses, Netflix balance LA bande-annonce.

La maison Underwood avait été abandonnée dans une situation désagréable, à la fin de la saison 3. Francis Joseph Underwood, alias Fank était devenu président des États unis, mais pour le POTUS tout particulièrement, la vie n’est pas un long fleuve tranquille.

Voilà quelque temps, l'emblématique figure de House of Cards, Frank Underwood, venait faire trois petits tours dans la rédaction. L'ombre toute puissante de l'homme qui règne à la Maison-Blanche et que l'on retrouve dans la série de Netflix s'est étendue, avec son lot de menaces. Mais peut-être moins que son homologue, Francis Urquhart, qui sévit au Royaume-Uni.

L'image de Francis Joseph Underwood, alias Frank Underwood, plane sur la Maison Blanche. Le président des Etats-Unis s'est hissé au plus haut du pouvoir américain, à force de ruses et de stratagèmes politiques, autant que machiavéliques. Dans les sphères politiques, si les comportements parfois se ressemblent, les hommes, eux, sont bien différents.

Le Premier ministre italien, outre ses saines lectures de marathonien – il apprécie qu'on le voit avec un livre de Murakami – s'est dernièrement illustré en achetant la trilogie de Michael Dobbs. Ce dernier n'est autre que l'auteur des ouvrages adaptés à la télévision dans la série House of Cards. Matteo Renzi, qui n'a rien à envier à Frédéric Lefebvre sur le coup (ah, Zadig et Voltaire…), a annoncé qu'il était passionné de la série… pour sa fine dimension politique.

Avec Kevin Spacey et David Fincher dans les rôles phares, la série House of Cards est adaptée du roman de Michael Dobbs, éponyme. Le bonhomme est d'ailleurs à l'image de la série : c'est tout à la fois un politicien, conservateur, et un auteur de best-seller. Qui ne manque d'ailleurs pas d'humour. La publication de son livre a débuté en même temps que sa carrière, en 1989, et House of Cards fut le premier volume d'une trilogie.  

« Il était conscient qu'une fois au sommet de l'État il ne pourrait rien changer en profondeur. » C'est ce que se dit Philippe Launay, candidat à la présidence de la République française, l'un des nombreux personnages du nouveau roman de Marc Dugain, L'emprise (Gallimard). L'auteur de la Malédiction d'Edgar nous plonge cette fois-ci dans les sombres recoins de la politique, du renseignement et de l'industrie énergétique de l'Hexagone. Un roman divertissant, bien mené et qui donne un peu à réfléchir.

Étant donné leur succès, le moment où les séries Game of Thrones (HBO) et House of Cards (Netflix) devaient se rencontrer se faisait attendre. La chaîne YouTube Toasty TV a pris les devants et créé House of Thrones, une parodie dont le nom ne trompera personne. Elle met simplement en scène le démocrate Frank Underwood, projeté dans le royaume de Westeros...

Les Trois Royaumes de la Chine ancestrale étaient vastes. Le livre qui les raconte aussi : Les Trois Royaumes, un des classiques de la littérature chinoise, en a rebuté plus d'un avec ces noms de guerriers par centaines et son épaisseur proportionnelle à la Grande Muraille. Les Éditions Fei se sont lancées dans une vaste entreprise de traduction et d'adaptation, en choisissant un format un peu particulier.