Ce qui se joue maintenant, ce n’est pas seulement la survie d’un journal satirique. Pas seulement la continuation ou l’arrêt d’une aventure qui se poursuit joyeusement depuis onze ans – quatorze, si l’on compte les années Siné Hebdo –, contre vents et marées, non sans frayeurs diverses, en dépit d’un contexte économique et législatif hostile à ceux qui refusent de se plier à la dictature publicitaire.