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Pierre Lungheretti quittera en janvier 2022 le poste de directeur général de la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image qu'il occupait depuis janvier 2016. Il rejoindra Chaillot-Théâtre national de la danse en tant que directeur délégué auprès du nouveau directeur Rachid Ouramdane.

La Cité internationale de la bande dessinée et de l'image, qui se prépare pour le prochain FIBD, propose un bilan de l'année écoulée, en faisant le point sur sa fréquentation. Avec 12.000 visiteurs supplémentaires, environ, sur les 12 derniers mois, la structure dépasse les 200.000 entrées à l'année. Une hausse que l'établissement attribue à sa stratégie d'élargissement des publics.

La Cité internationale de la Bande Dessinée, à Angoulême, se présente comme l'établissement pivot pour l'exposition, la valorisation et la création dans le domaine du 9e art, en Nouvelle-Aquitaine et en France. Mais la Cité a récemment fait part de difficultés économiques liées à des problèmes de trésorerie, conduisant à six licenciements au sein de l'équipe de l'établissement. Alain Rousset, président de la région Nouvelle-Aquitaine, annonce un soutien renouvelé et accru à la Cité.

Le conseil d'administration de la Cité internationale de la bande dessinée d'Angoulême a pris acte de six licenciements, qui portent sur tout le service communication, le directeur adjoint et l’administrateur système de la structure. Pierre Lungheretti, directeur de la Cité, pointe plusieurs éléments ayant mis la trésorerie en difficulté.

La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image d'Angoulême évoque un bilan « très positif » pour l'année 2017, avec une hausse de fréquentation de 10 % pour ses deux sites cumulés. 192.000 visiteurs ont ainsi franchi les portes de la Cité l'année dernière, contre 174.640 l'année dernière. Partenariats, participation des auteurs et action internationale sont à l'origine de ce succès, selon la Cité.

À son arrivée à la tête de l’établissement public, l’objectif de Pierre Lungheretti était de faire de la Cité internationale de la bande dessinée et de l’image un lieu ouvert, en renforçant son rayonnement national et international. Et ce, de par la valorisation de son riche patrimoine graphique, en plaçant les auteurs au coeur du projet, tout en offrant à la filière bande dessinée et image des ressources et un accompagnement. Un premier bilan est présenté.

Invité d’honneur du salon de Genève, le Québec s’est présenté paré de beaux atours : Québec Édition a mis les petits plats dans les grands avec plus de 1500 titres présents sur son stand, 70 auteurs invités, et une soixantaine de marques éditoriales, représentant une trentaine de maisons. Son directeur général, Richard Prieur, revient sur ce grand voyage.

Les éditeurs de BD avaient clairement affirmé leur position : soit le festival d’Angoulême amorçait un changement en profondeur, soit il se passerait de leur présence – et de leur participation financière. Ils en avaient même appelé à la ministre de la Culture, Audrey Azoulay pour que cette dernière prenne part aux discussions. Reçus ce 10 mars rue de Valois, les éditeurs semblent satisfaits de leur rencontre.

Faire de la culture une arme de tourisme massif, voici la mission confiée à Olivier Poivre d’Arvor par Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères. Nommé ambassadeur de l’attractivité culturelle, le voici parti pour un circuit de 46 destinations, jusqu’au mois de juillet. Le Grand Tour ne pouvait pas manquer Angoulême, alors que le festival de la BD battait son plein. 

Le rideau s’est refermé le 27 juin dernier, sur 3 jours de festival plus intenses que jamais. Pour la 4e édition du festival de polar français Les Pontons Flingueurs – mêlant savamment auteurs de livres et de BD – le spectacle était grandiose. Rencontres au sommet, entre truands et hommes de loi, lecteurs et auteurs très avertis... Retour en images. 

Évidemment, si le mois de janvier angoumoisin se passait uniquement dans la contemplation des feuilles mortes, il manquerait quelque chose. C'est en substance ce que précisait le directeur de 9e Art+, la société qui organise le FIBD, grand salon des bulles, à Angoulême. Un Festival qui est « un bien commun », soulignait-il fin janvier, à l'occasion des États généraux de la BD. Et qui en est passe de connaître quelques changements.

Une étude présentée au Conseil général de Charente fait état des retombées économiques du FIBD sur la ville, durant les quatre journées du Festival. Les festivités, qui débuteront ce 30 janvier pour s'achever le 1er février, mettront à l'honneur Bill Waterson, le créateur de Calvin et Hobbes. Et chaque année, les organisateurs revendiquent une fréquentation supérieure à 200.000 visiteurs.  

En décembre 2011, les éditions Flammarion lançaient

Le directeur de la Cité de la BD d'Angoulême, Gilles Ciment, semble ne plus être en odeur de sainteté à la tête de cet établissement (voir notre actualitté). Si l'on en croit une lettre de cadrage publiée par La Charente Libre, tout est mis en œuvre pour pousser Gilles Ciment vers la porte de sortie, rapportent nos confrères d'ActuaBD.

Fini, le grand festival, qui cette année encore, a fait des heureux. Pour l'heure, les organisateurs n'ont pas encore annoncé les chiffres de fréquentation du Festival, cela devrait se faire dans la journée ou les jours qui viennent. En attendant, retour sur l'ensemble des prix qui ont été décernés, dans une compilation bien claire. 

La Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, établissement public de coopération culturelle créé en septembre 2007, a débuté son activité le 1er janvier 2008. Le nouveau musée de la bande dessinée a été inauguré le 20 juin 2009.

L'édition 2012 du Festival international de la BD d'Angoulême n'est pas menacée, autant le dire tout de suite. Cependant, un petit couac entre 9eArt+ et la Cité de la BD pose pour le moment un problème. Un couac de 765.000 € de subventions qui pour le moment restent bloquées. Petit, donc, le couac...

Comme chaque année, la petite et charmante - tant que l'on est dans les hauteurs - ville d'Angoulême coince la bulle dans ses murs. Le 9e art est à l'honneur, pour cette 38e édition. Grand bien lui fasse.