audiobook us

Début juin, plusieurs groupes américains décidaient de réduire les coûts de leur offre à destination des bibliothèques. D’un côté, Macmillan US faisait sauter son embargo délétère, quand Penguin Random House réduisait le prix des licences octroyées pour une année. Mais PRH a décidé de prolonger sa nouvelle politique.

Dans une récente étude, Linda Lee, ancienne éditrice et vice-présidente de l’US Audio Publishers Association, association américaine des éditeurs de livres audio, s’interroge sur l’évolution de ces derniers. Depuis le début de la pandémie, le format connaît une croissance impressionnante qui ouvre de nouvelles pistes de réflexion.

Nord Compo, Audible, Kobo… Ces trois sociétés souhaitent chacune à leur manière faciliter la production de livres audio en francophonie. Celles-ci proposent depuis peu de nouvelles solutions aux éditeurs et aux auteurs indépendants.

L'association américaine des éditeurs de livres audio a publié les résultats de son enquête annuelle sur les ventes d’audiobook, pour l’année 2018, menée par l'institut Management Practice. Les chiffres témoignent d’une des plus fortes croissances que l’industrie du livre audio ait connues, confirmant les rapports régulièrement publiés.

Le prix d’achat des livres numériques pour les établissements de prêt pose un réel problème de trésorerie… voire de sérieux maux de tête. En Colombie-Britannique, la bibliothèque d’Okanagan, qui a la responsabilité de 31 succursales, s’inquiète depuis quelque temps du coût grandissant. Constituer une offre devient douloureux. Très douloureux.

D’après un communiqué d’Audible, filiale d’Amazon, en date du 27 janvier, un livre audio du manuel étudié à Poudlard Fantastic Beasts and Where to Find Them a été enregistré. Et c’est Eddie Redmayne, interprète du personnage de Norbert Dragonneau dans le film Les Animaux fantastiques, qui a fait la lecture.

L’Amérique est soudainement soucieuse. Rien à voir avec le débat Trump/Clinton. Non, bien plus grave : les ventes de livres qui ne se déroulent pas comment à l’accoutumée. Les achats de livres audio augmentent, l’ebook diminue... et les chiffres ne sont pas bons.

44 ans après ses débuts le 4 juillet 1971, le Projet Gutenberg propose près de 50.000 livres dans de nombreux formats, lisibles sur ordinateur, sur smartphone, sur tablette et sur liseuse. Michael Hart, son fondateur, a quitté notre bas monde le 6 septembre 2011, après quarante ans de labeur, suite à une crise cardiaque, mais sa mémoire reste présente. Le Projet Gutenberg est désormais dirigé par Greg Newby, volontaire comme lui, parallèlement à son métier de chercheur en technologies de l’information, avec une équipe de choc pour l’épauler et des milliers de volontaires pour corriger les livres avant leur mise en ligne.

Les éditeurs de l’Association of American Publishers (AAP) ont publié un rapport annuel sur le marché du livre américain. Intitulé StatShot Annual, le rapport est basé sur les revenus de près de 1.800 éditeurs américains. Il est fait état d’un marché du livre US estimé à 28 milliards $ en 2014 pour 2,7 milliards de livres vendus, soit 4,6 % de plus qu’en 2013, mais seulement 1 % de plus qu’en 2012.  

Les inquiétudes sont nombreuses - cela ne date pas d'hier - quand on parle aux auteurs de leurs revenus. Un service de lecture en illimité, même s'il en existe de nombreux déjà, est à ce titre anxiogène en soi. Dès lors que, de près ou de loin, la firme de Seattle y est associée, le niveau d'anxiété monte d'un cran. On sait qu'Amazon aime les auteurs, surtout les indépendants, mais plus encore les consommateurs. Alors, avec Kindle Unlimited, qu'en est-il des reversements ?

Les établissements de prêt américains étoffent un peu plus leur prestation numérique. Le distributeur Zinio emboîte le pas d'OverDrive et propose depuis un mois ses titres de presse aux bibliothèques. Cette nouvelle offre a déjà rencontré l'adhésion de 1400 établissements qui comprend une variété de 200 titres dont The Economist, ESPN Magazine, Apple Magazine.

En pleine tourmente des accusations portées par le ministère de la Justice, sur une possible entente entre Apple et les cinq grands éditeurs mondiaux, la filiale de Hachette, Little, Brown, annonçait, guillerette, la sortie du prochain livre de JK Rowling. 

Le 27 mars, Amazon avait invité les rédactions à se montrer vigilante. Une annonce ? Un Kindle Fire en France ? C'était un peu trop demander et surtout, oublier que le déploiement des offres d'Amazon en matière de lecteurs ebook n'était pas encore achevé. 

Une étude menée par la COSLA (Chief Officers of State Library Agencies) a révélé que plus d'un tiers des bibliothèques américaines ne fournissaient ni ebook, ni audiobook et pas de vidéos non plus.

L'album a connu des rebondissements sensationnels, après avoir été démocratisé en version PDF et tentant désormais une commercialisation papier. Go the F*ck to Sleep, c'est un recueil de contes pour endormir sa progéniture... avec une petite note d'humour.

Nouvelle année, nouveau rapport, évidemment. Et ce dernier concerne le Royaume-Uni, et la croissance des ventes de livres numériques, examinée par Price Waterhouse Coopers. Optimisme de rigueur, mais pas dans tous les secteurs...

Justement, L'Asus 900 avait une paire servie, entendez de très bonnes prédispositions pour s'attaquer au marché des lecteurs numériques à écran large.

La révision du Digital Millenium Copyright Act, la loi américaine interdisant le détournement des mesures techniques de protection (ou MTP), autrement baptisées DRM a fait l'effet d'une bombe. Depuis sa création, cette loi applique un contrôle rigoureux sur tout ce qui touche au cryptage des DVD, au verrouillage des smartphones (le jailbreak des iPhones, si connu), ou encore la présence de DRM sur un ebook...

L’association des éditeurs américains a enregistré des chiffres encourageants pour le marché du livre numérique pour le mois de mai 2010.

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