Depuis quelques semaines, le poète Xavier Frandon laisse derrière lui des feuilles A4 sur lesquelles sont imprimées des lignes de textes. Ce sont ses poèmes, mais aussi ceux des autres, qu'il dépose ça et là, au quotidien, pour diffuser ce mode d'expression. Avec en ligne de mire, l'aspect « centrocentré » d'un art qui s'est éloigné de son public.