De Montréal – La question ne se pose pas : les salons du livre doivent se réinventer, constamment. Leur principe même repose sur l’attractivité qu’ils sauront exercer sur les lecteurs. Il y a les visiteurs gagnés d’avance, et ceux à (re)conquérir — et ceux que l’on ne verra jamais. Et au milieu, les éditeurs, les auteurs, les libraires…