« Il faut parier », clamait le philosophe Pascal, qui nous voyait embarqués sur un drôle de navire. Quelques siècles plus tard, la littérature russe répondait indirectement au janséniste. Voici deux œuvres qui magnifient l’âme et ses passions destructrices. Deux récits de plongée vertigineuse dans les affres des jeux de hasard. Et qui finissent mal, évidemment.