L’association Akwaba a dévoilé les cinq ouvrages finalistes en lice pour le Prix Ivoire de la Littérature africaine d’Expression francophone 2019. Le 12e Prix Ivoire sera décerné le 23 novembre 2019, à l’hôtel du Golf (Abidjan, Côte d’Ivoire), au cours d’une cérémonie en présence du ministre de la Culture et de la Francophonie de la République de Côte d’Ivoire et des écrivains Kangni Alem, David Diop (lauréat du prix Ahmadou Kourouma 2019).

Le Prix Ivoire a été créé en 2008 par l’Association de droit ivoirien Akwaba Culture, présidée par Isabelle Kassi-Fofana. Il est parrainé par le ministère de la Culture et de la Francophonie de Côte d’Ivoire, l’Organisation internationale de la francophonie, l’ambassade de France à Abidjan et la librairie de France Groupe de Côte d’Ivoire.
Le Prix Ivoire récompense chaque année des œuvres publiées en français, par un auteur émergent d’Afrique ou de diaspors africaine. Il est doté de 2 millions de francs CFA (environ 3 000 euros) et d’un trophée.
Le jury de présélection, présidé par Michel Koffi, était composé des critiques littéraires Auguste Gnaléhi, Serge Grah et Henri N’koumo. Ils ont sélectionné cinq ouvrages parmi 44 titres en provenance de 9 pays.
Voici les cinq auteurs finalistes pour le Prix Ivoire :
Khalil Diallo (Sénégal), A l’orée du trépas, éd. L’Harmattan Sénégal, 2018.
Etty Macaire (Côte d’Ivoire), Le chant du Korafola, éd. L’Harmattan Côte d’Ivoire.
Abdoulaye Fodé Ndione (Sénégal), Cœur en location, éd. NEAS, 2018.
Daouda Mbouobouo (Cameroun), Le fossé des baobabs, éd. Proximité, 2018.
Isabelle Rochet (Côte d’Ivoire), Le savon de la forêt, éd. L’Harmattan, 2019.
Le jury final, présidé par l’écrivaine Wèrè Wèrè-Liking, désignera le lauréat parmi les cinq ouvrages finalistes, le 23 novembre 2019. Celui-ci succédera au gagnant du Prix Ivoire 2018, l’écrivain ivoirien Gauz Armand, pour son œuvre Camarade Papa, publié aux éditions Le Nouvel Attila.
Via Presse Côte d'Ivoire.
Retrouver la liste des prix littéraires français et francophones.
Commentaires
Jean Claude Awono, le 15/11/2019 à 07:19:14
Répondre
Poster un commentaire