« Mes deux premiers long-métrages de fiction, Terre et cendres et Syngué Sabour, Pierre de patience, étaient en effet inspirés de mes propres romans. Avec Notre-Dame du Nil l’expérience était d’autant plus particulière qu’il s’agissait d’une autofiction et que le récit prenait place au Rwanda, un pays que je ne connaissais pas », explique Atiq Rahimi à propos de son troisième film.
Rwanda, 1973. Dans le prestigieux institut catholique "Notre-Dame du Nil", des jeunes filles rwandaises étudient pour devenir l’élite du pays. Mais partout grondent des antagonismes profonds.