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Littérature étrangère

Samedi

Pour Henry Perowne - neurochirurgien réputé, mari heureux, père comblé d'un musicien de blues et d'une poétesse - ce devait être un samedi comme les autres. Pas question d'aller défiler contre la guerre en Irak. Plutôt goûter les plaisirs de la vie. Et pourtant... Un banal accrochage, et voilà la violence qui surgit dans son existence protégée. Henry aura beau tenter de reprendre le fil de sa journée, ses vieux démons et le chaos du monde le rattraperont sans cesse durant ces vingt-quatre heures, au terme desquelles plus rien ne sera jamais comme avant. Tout en faisant diaboliquement monter le suspense, McEvvan entrelace événements planétaires et privés avec une telle virtuosité que cet étrange samedi devient la métaphore de toute une vie, de toutes nos vies fragiles d'Occidentaux pris dans la tourmente de ce début de siècle. Et cette réflexion profonde sur le hasard et le destin, les pouvoirs respectifs de la science et de l'art, la quête d'un sens qui résisterait à la mort, nous montre une fois de plus, après Expiation, un romancier parvenu à la plénitude de son talent.

10/2006

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Indépendants

Samedi

Le temps nest plus aux animaux fabuleux, le temps est à lavancée dans les méandres sombres... Samedi est la caresse dun strip sans parole par un texte en lévitation, et vice versa , cest le télescopage de 2 histoires qui se trouvent, qui se perdent, qui se retrouvent, pour nen former plus quune seule , cest la rencontre provoquée par Patayo de 2 auteurs que rien ne devait réunir, un à Montréal dessinant pour le spectacle vivant et le cinéma, lautre à Nantes, écrivain. On est en train de construire un univers à plusieurs interprétations, quelque chose qui permette une double lecture, et aux lecteurs, une multiplicité dinterprétation. Quand la bande dessinée saventure en dehors du format de la planche, quand elle se permet de se dérouler sur une seule ligne, elle saccoquine avec la cinétique cinématographique, une symbiose entre la bande son et limage. Avec une postface de Roland Gori, psychanalyste et philosophe, initiateur de lAppel des appels.

10/2022

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12 ans et +

Samedi 14 novembre

Le vendredi 13 novembre, B. était à une terrasse. Il a vu les tueurs tirer. Le lendemain, en quittant l'hôpital, il croise un homme dans le métro... Il le reconnaît : c'est l'un d'eux. Alors, sans avoir décidé ce qu'il va faire, il le suit.

11/2016

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Littérature française

Ce samedi-là

30 juillet 1949. Pour la plupart des Français, voilà déjà quatre ans que la guerre a pris fin. Pour Christian et Ludmila, c'est ce samedi-là seulement, dans un bal de village, que la page se tourne. Enfant de l'Assistance publique, résistant alors qu'il est encore imberbe, Christian a été déporté à Buchenwald. L'espoir de retrouver sa mère qu'il a toujours aimée malgré leur éloignement, la détermination et l'autonomie auxquelles l'a habitué sa jeunesse difficile, lui ont permis de survivre. Un bombardement américain l'a fait échapper à la pendaison, puis rejoindre les partisans tchèques à Prague. De retour en France à la Libération, il peine à y trouver sa place. De cinq ans sa cadette, Ludmila étouffe dans son village de Bourgogne. Née dans l'Yonne d'une mère slovaque et d'un père morave, la vie l'a tellement contrariée qu'à l'âge où rêvent les jeunes filles, elle hésite à faire des projets d'avenir. Pourquoi, pour l'un et l'autre, ce samedi-là a-t-il un goût de délivrance ? On le comprend à l'issue du récit que, sous la forme du journal de Ludmila, Estelle Le Caèr fait des années de jeunesse de ses grands-parents.

10/2015

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Philosophie

Un long samedi

On dit George Steiner intransigeant. Il a la passion de l'absolu. Certains le redoutent pour son esprit acide et ses attaques virulentes, d'autres l'admire pour sa culture polyglotte, sa connaissance des textes classiques, ses engagements intellectuels et sa croyance éperdue, après la Shoah, d'une communauté humaine encore possible. Avec Laure Adler, George Steiner évoque sa jeunesse (il est né en 1929 de parents juifs viennois, ils migrent en 1940 à New York) et sa formation aux Etats-Unis, sa position sur le judaïsme, son amour des langues et les grandes mythologies de notre siècle : psychanalyse, marxisme, structuralisme. Il parle aussi de son amour infini pour ce qui fait le goût de la vie : la musique. Ce témoignage d'un des plus grands universitaires du XXe siècle au soir de sa vie, avec la complicité intellectuelle de Laure Adler, est une parfaite introduction à l'ensemble de son oeuvre.

09/2014

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Littérature française

Samedi, jour de pourceaux

Le doux regard que nous échangeâmes, et le sourire que je vis sur son visage, me laissèrent augurer que la journée qui s’annonçait allait être belle. Nous partîmes par les chemins de traverse, marchant à travers champs, nous tenant par la main et nous disant ingénument de ces choses incongrues que se disent les amoureux. C’était l’époque où la nature révélait ses charmes. La canne à sucre était en fleurs et les champs immenses comme couverts d’une brume rosée, d’où s’échappaient, emportés par la brise légère, des petits flocons qui se répandaient dans les plaines d’alentour. Des îlots de fleurs avaient poussé le long de la sente où nous marchions, et nous voyions des cortèges de monarques, s’en allant de leur vol léger, parader au-dessus de ces énormes bouquets. Par moments, la jeune fille, s’arrêtait, cueillait une fleur, en humait le parfum avant de me dire «Comme cela sent bon, mon Piquant !».

10/2014

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