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précarité

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Sociologie

Féminité, maternité, précarité

" Je ne peux pas faire ça à mon patron. " Faire quoi, de l'espionnage industriel ? Non... un enfant. Déjà chanceuse d'avoir été recrutée en âge de procréer, une jeune femme ne va quand même pas faire CA !!! En France, on continue d'entendre le même refrain aveuglément optimiste : " Ici, on fait plus d'enfants grâce à des politiques familiales qui permettent aux femmes de concilier travail et maternité. " Nous voilà rassurés. Mais à quel prix ? Car un enfant c'est... un véritable parcours du combattant. Problèmes de garde, absence de promotion au travail, méfiance à l'égard des femmes lors de l'embauche et inégalités des salaires... Casse-tête, galères et injustices garantis ! Sans parler de l'impact inéluctable sur les naissances, car on hésite désormais avant de se lancer dans l'aventure. Une véritable réflexion sur la maternité, la parentalité, et le rôle des politiques familiales s'impose d'urgence. Avoir un enfant, alors que l'Europe s'apprête à connaître un véritable crash démographique, doit être considéré autrement que comme un " problème de bonnes femmes ". Faute de quoi, quelle société construisons-nous ?

10/2006

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Spécialités médicales

Santé, précarité et exclusion

L'état de santé d'une population dépend d'une série de déterminants, parmi lesquels ceux liés à la précarité sociale (revenu, niveau d'éducation, conditions du logement...) jouent un rôle important. Cette précarité se trouve dispersée dans diverses catégories socioprofessionnelles. Elle peut toucher l'ouvrier comme l'employé, le manoeuvre comme le cadre, depuis que le chômage est devenu une espèce "d'épidémie", n'épargnant aucune de ces catégories. Une aggravation de la précarité sociale ne peut que conduire à une détérioration de l'état de santé de la population. La recherche des réponses appropriées aux problèmes de santé des populations en situation de précarité nous a amené à aborder les concepts relatifs à la définition, à la perception et aux déterminants de la santé. Les inégalités sociales en santé, la précarité, l'exclusion, la vulnérabilité médicale et l'état de santé des populations en situation de précarité sont aussi traités. Enfin, la souffrance psychosociale est abordée en soulignant son aspect social, où s'entremêlent les trajectoires de vie, les ruptures et les conditions de vie (socio-économique, culturelle, environnementale...).

12/1998

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Beaux arts

Graphisme d'action et précarité

La précarité aujourd'hui prend de plus en plus de place dans notre vie quotidienne. Elle place celui ou celle qui la subit dans un état incertain, une situation instable ou un temps indéterminé. Comment le graphiste peut-il abandonner ses moyens traditionnels et être un pilier incontournable pour agir et faire avancer la société ? Quel est le sens des actions graphiques menées autour, dans et à partir des espaces précaires, surtout quand il s'agit de collaboration directe avec ses habitants ? Dans quelle éthique la relation entre le graphiste et ces personnes doit-elle s'envisager lors de la construction d'un travail collaboratif ?

07/2019

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Sciences politiques

Précarité et replis identitaires au Gabon

L'auteur se lance dans un exercice laborieux et périlleux. Celui d'expliquer la persistance et même l'aggravation de la précarité et son impact sur les divers replis identitaires au Gabon. Cette situation est le résultat de la gouvernance néopatrimoniale instaurée au Gabon depuis les années 1960. Dans cette forme de gestion de l'Etat, le patrimoine national est le monopole de la famille régnante et de ses alliés objectifs. Dans ces conditions, il n'est pas surprenant que le bonheur pour tous annoncé en 2009 se traduise aujourd'hui, pour la grande majorité des Gabonais par un salaire précaire, un habitat précaire et un vécu précaire à la retraite pour les agents publics de l'Etat. Mais, pour mettre les populations sous le joug d'une gouvernance inopérante, il ne semble rester aux continuateurs d'Omar Bongo que la force légitime et le mensonge politique. Quant à l'opposition, devant une sorte de verrouillage et de blocage de l'Etat, la victimisation et l'instrumentalisation des sujets qui fâchent deviennent la seule issue pour tenter d'exister. En jouant ainsi sur les peurs et le ressentiment, le débat politique au Gabon risque de virer irrémédiablement vers l'instrumentalisation des identités et des appartenances. Malheureusement, en s'arc-boutant dans la posture de : "ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous", celui qui "n'a pas été élu comme on l'entend" et son entourage sont en train d'instaurer une gouvernance exclusive d'un ostracisme pénalisant pour l'émergence du Gabon en 2025. De ce fait, il se sont mis dans l'incapacité d'amorcer une transition politique et générationnelle efficiente et apaisée, dont la responsabilité historique leur incombait. Hélas !

03/2016

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Sociologie du travail

La précarité durable. Vivre en emploi discontinu

Nombre de travailleurs connaissent une précarité durable, alternant emploi et chômage sur la longue durée. A partir d'une enquête qui compare les cas contrastés des saisonniers agricoles et des artistes intermittents du spectacle, l'ouvrage analyse la " soutenabilité " de l'emploi discontinu. Dans quelle mesure peut-il devenir supportable et acceptable pour les personnes concernées ? Quelles ressources permettent de sécuriser leur situation ? Mais aussi, quelles satisfactions peut-on en retirer malgré tout ? Poser ces questions, c'est s'écarter des raisonnements binaires " choisi "/" subi " pour analyser comment les individus s'adaptent à ce fait social majeur de notre temps, qui veut que tout un pan de la population active soit éloigné des droits et de la sécurité rattachés à l'emploi stable et à temps plein. Il s'agit aussi d'interroger une société qui, tout en produisant de la précarité durable, a paradoxalement tendance à la voir comme une réalité exceptionnelle et temporaire.

08/2022

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Sociologie

Correcteurs et correctrices. Entre prestige et précarité

Des scriptoria de l'époque médiévale aux cassetins en télétravail, le vieux métier de correcteur n'a pas fondamentalement changé. Malgré les transformations technologiques et industrielles, le correcteur ou la correctrice est toujours celui qui valide tant sur le fond que sur la forme tout texte publié, quel que soit son support, afin d'en rendre la lecture la plus aisée et agréable possible. Les conditions d'exercice, elles, ont en revanche profondément changé et, si le métier est toujours reconnu, il est désormais en grande partie implanté dans les marges précarisées du monde du travail, entre salariat payé à la tâche et exploitation "microentrepreneuriale". Disséquer ces transformations, c'est mettre en lumière cette précarité de l'ombre, qui s'est installée dans le secret des grandes maisons d'édition et des entreprises de presse, pour donner à voir ce qu'il y a derrière le vernis de la culture et des savoirs : une chaîne de production où s'épanouit une forme de libéralisme sauvage.

08/2021

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