poétesse arabe israélienne

Le ministère de la Justice israélien a fait part de la sentence prononcée par un tribunal du pays à l'encontre de Dareen Tatour, une poétesse arabe israélienne jugée coupable d'encouragement au terrorisme. La jeune femme, qui fait partie de la minorité arabe du pays, avait publié des lectures de ses poèmes en 2015, alors que plusieurs actes violents à l'encontre d'Israéliens étaient perpétrés par des Palestiniens.

Un prix pour honorer l'indépendance

Rupture dans une relation culturelle arabo-israélienne autour de livres

Dareen Tatour, poétesse arabe israélienne, vient d’être libérée, après une condamnation à cinq mois de prison. L’État l’avait condamnée pour « incitation à la violence » et « soutien à une organisation terroriste », rappelle l’AFP. Elle avait en effet posté une vidéo, récitant son poème, « Résiste, mon peuple, résiste-leur ».

C'est lors de travaux d'archéologie conduits par une équipe franco-saoudienne qu'une inscription arabe du Vème siècle de notre ère a été découverte. Ces écritures seraient constituées d'une graphie intermédiaire entre le nabatéen et l'arabe.

L’Institut du monde arabe (IMA) propose le vendredi 25 novembre 2016, à partir de 18h30 (entrée libre), une soirée consacrée à la poétesse Etel Adnan. Faisant écho à l’exposition que l’IMA consacre à cette artiste jusqu’au 1er janvier 2017, cet événement s’organisera autour de la lecture de textes d’Etel Adnan par la comédienne Sophie Bourel, avec une mise en musique par le compositeur et oudiste Fayçal Salhi.

Attention second degré. Affirmé, assumé et revendiqué par Salim Zerrouki. Avec 100 % Bled, l’auteur plonge dans l’humour noir et le sarcasme. Pour une raison simple : s’il faut en finir, sous-entendu, avec les Arabes, autant trouver de vraies solutions. 

La censure n'épargne pas les best-sellers : la commission pour la prévention du vice et la promotion de la vertu (!) vient d'interdire la vente et la promotion du livre HWJN, écrit par Ibraheem Abbas et Yasser Bahjatt. Ce « Twilight local » raconte l'histoire d'amour entre un djinn et une jeune femme, mais la censure serait plus religieuse que morale.

La romancière israélienne Ronit Matalon est décédée ce jeudi 28 décembre des suites d'un cancer, à l'âge de 58 ans. Traduite en France aux éditions Stock et Actes Sud, Matalon a signé des romans et des pièces de théâtre. Elle se montrait très critique vis-à-vis d'Israël et de sa politique à l'encontre des populations palestiniennes, exprimant une opinion très tranchée dans les médias internationaux.

Kafka remis à la Bibliothèque nationale israëlienne ?

Joshua Sobol, écrivain et scénariste, s'est permis de déclarer, au sujet des implantations israéliennes en territoire palestinien : « la maladie s'étend comme une métastase ».

Quatre femmes israéliennes publiées en Chine

Sa part majoritaire vendue fin juin au groupe d'investisseurs Gimel Yafit, la chaîne de librairies Steimatzky se trouvait alors sérieusement criblée de dettes, accumulant les retards dans le règlement de ses fournisseurs. Si bien que des maisons d'éditions partenaires ont demandé la mise en liquidation de l'enseigne quand d'autres ont refusé de l'approvisionner. S'il est difficile de savoir si ces soucis se règlent depuis, la société s'apprête à changer de direction. 

Prix du roman arabe, remis à l'Institut Monde Arabe

2016 débute avec la pantalonnade de rigueur, et cette dernière se déroule donc en Israël, où le gouvernement a décidé d’interdire aux lycéens la lecture du livre de Dorit Rabinyan, paru voilà 18 mois. Son histoire, Gader Haya (La barrière vivante), a été accusée de pouvoir nuire « à l’identité de la nation », israélienne, donc. Pourquoi ? Son roman met en scène une histoire d’amour entre une jeune femme juive, et un Palestinien. L’ouvrage est donc logiquement interdit à la lecture dans les lycées... Misère.

15 octobre 1973 : contre-attaque israélienne en Egypte

Dans le cadre de la Journée mondiale de la langue arabe, créée en 2012 par l’UNESCO, l’Institut du Monde Arabe (IMA) organise pour la cinquième année consécutive une fête pour célébrer l'arabophonie. Du 13 au 15 décembre prochains, seront proposés aux visiteurs ateliers, rencontres, spectacles et cours d’initiation à la langue. 

Copia est une plateforme de lecture de livres numériques, sous forme de réseau social couplé à une librairie en ligne. Elle permet entre autres le partage des lectures et l'échange sur celles-ci, le feuilletage d'ebooks en ligne et l'achat de ces derniers.

Spécialiste de Dante et auteur d'une traduction de La Divine Comédie, Jacqueline Risset vient de s'éteindre à l'âge de 78 ans, rapporte l'AFP. C'est son éditeur, Flammarion, qui a fait part de la triste nouvelle.

Poétesse française et critique littéraire, Françoise Hàn est décédée ce 1er juillet 2020 apprend-on. Elle avait 92 ans. 

La poétesse américaine Ruth Stone est décédée le 19 novembre à l'âge de 96 ans dans sa maison à Ripton, dans le Vermont, aux États-Unis. 

Son anthologie de poèmes, intitulé Kujikenaide (en français, «　ne sois pas frustré　») est une façon pour Toyo Shibata de remercier ceux qui l’ont aidée à atteindre à l’âge de 99 ans　: «　Si je suis encore ici, c’est grâce au soutien de ma famille, de mes amis, des aide-soignants et des médecins, et j’exprime ma gratitude en poésie pour leur dire　‘Merci. Je suis vraiment heureuse’　»

Selon le centre PEN allemand, Atefeh Chaharmahalian a été arrêtée par les forces de sécurité à Téhéran le 3 octobre dernier, avant d’être emmenée dans un lieu gardé secret. Elle serait détenue dans la prison d’Evin depuis le 11 octobre. L’organisation engagée pour les auteurs dans le monde affirme qu’elle n’a pas été en mesure de contacter sa famille ou un avocat depuis son incarcération. Les accusations portées restent floues, comme son état mental et physique.

Le 22 octobre dernier, Radio France nous annonçait la mort de son fixeur palestinien, le courageux journaliste Roshdi Sarraj, à Gaza. Cette fois, c'est la poétesse palestinienne Hiba Abu Nada qui est la victime des bombardements israéliens. L'auteure est décédée le 20 octobre dernier à l'âge de 32 ans dans son domicile du sud de la bande de terre ensanglantée, touché par une frappe aérienne israélienne.

Belfort soutient le centre Nidal face aux autorités israéliennes

Agée de 87 ans, la poétesse Simine Behbahani vient de s'éteindre des suites d'une longue maladie, rapporte RFI. Hospitalisée aux soins intensifs du Pars Hospital de Téhéran depuis le début du mois d'août (voir notre actualitté), elle n'aura finalement pas réussi à se relever du mal qui la rongeait.

La poétesse américaine Maya Angelou vient de s'éteindre à l'âge de 86 ans, rapporte l'AFP. Cette ardente militante des droits civiques pour les Noirs avait notamment été enseignante à l'université Wake Forest de Winston-Salem (Caroline du Nord, sud-est).

Née à Lausanne le 16 juin 1922, l’écrivaine et poétesse Anne Perrier est décédée ce 16 janvier à l’âge de 94 ans, à Saxon (Valais). Auteure d’une quinzaine d’ouvrages, ses œuvres furent à plusieurs reprises réunies dans des recueils. Son dernier livre, L’unique jardin, avait été publié chez Bernard Blatter en 1999.

POESIE - La biographie d’un auteur est souvent l’expression d’une hantise ou d’une révélation sur laquelle une œuvre se bâtit et dont les schèmes conducteurs puisent parfois dans la mémoire enfouie de ce qui reste ou restera de toute une vie. Traces indélébiles, conscientes ou inconscientes de l’esprit vacant. Repères s’il en est de l’existence en train de se faire ou se défaire aussi, marqués par les circonstances et les vicissitudes du temps qui passe. Comme c’est un peu le cas de la poétesse Lydie Dattas, née en 1949, considérée à juste titre comme l’une des plus grandes voix poétiques féminines de sa génération.

Né dans le Connecticut en 1962 mais établie en Californie, la poétesse Stacy Doris vient de s'éteindre. Toujours liée avec les poètes français, elle avait notamment publié aux Etats-Unis deux anthologies de poésie française contemporaine : Violence of the White Page avec Emmanuel Hocquard (Tyuonyi, 1991) et 21 New (to America) French Poets, avec Norma Cole (Raddle Moon, 1997).