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Livres, BD, actualités : tout sur Riad Sattouf

Né le 5 mai 1978 à Paris, Riad Sattouf fait ses premières armes dans un atelier qui rassemble Christophe Blain, Mathieu Sapin et Joann Sfar. C'est sous la direction éditoriale de ce dernier qu'il publie chez Bréal deux albums prometteurs, Manuel du puceau et Ma circoncision, en 2003 et 2004. Ces deux titres annoncent la veine comique et autobiographique qui fera son succès par la suite, notamment avec la série L'Arabe du Futur, publiée par Allary, et parmi les plus grands succès de l'auteur.

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Livres, BD, actualités : tout sur Alan Moore

Maîtres parmi les auteurs de bandes dessinées britanniques, Alan Moore est à l'origine de quelques-unes des œuvres les plus importantes du genre, notamment Watchmen (avec Dave Gibbons), V pour Vendetta (avec David Lloyd) ou encore From Hell (avec Eddie Campbell). Il a aussi signé plusieurs romans, dont le très remarqué Jérusalem, publié en France dans une traduction de Claro aux éditions Inculte.

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Livres, BD, actualités : tout sur Pénélope Bagieu

La carrière de Pénélope Bagieu a commencé de manière tout à fait personnelle, par l'intermédiaire de son blog, Ma vie est tout à fait fascinante, sur lequel elle met en dessins des anecdotes de sa vie quotidienne. En 2008, elle publie le premier volume de Joséphine, le premier d'une longue série d'albums très appréciés du public.

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Livres, BD, actualités : tout sur Joann Sfar

Né le 28 août 1971 à Nice, Joann Sfar a fait ses armes au sein de la maison d'édition L'Association, puis dans différents ateliers qui lui permettent de côtoyer des collègues auteurs comme Riad Sattouf, Marjane Satrapi, ou encore Christophe Blain. Il se fait connaitre rapidement, aussi bien pour son travail destiné à la jeunesse (Petit Vampire et Sardine de l'espace) qu'à travers ses bandes dessinées destinées au grand public, Le chat du rabbin en tête.

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27es Rendez-vous de la BD d'Amiens : 2023

L’édition 2023 offrira durant le mois de juin aux plus de 20.000 visiteurs attendus un condensé de ce qui fait la richesse de la BD à travers 10 expositions scénographiées, 3 librairies, des espaces de rencontres avec les 150 auteurs invités, des espaces consacrées au jeune public... La manifestation sera comme enrichie d’une programmation hors-les-murs qui émaille le territoire et fait rayonner le festival en dehors des murs de la Halle Freyssinet. 

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Fabrice Caro, alias Fabcaro

Né à Montpellier en 1973, Fabrice Caro suit des études scientifiques, envisage de devenir professeur, et entame finalement une carrière d'auteur de bandes dessinées en 1996 : il signe des dessins dans plusieurs revues, dont Tchô !L'Écho des savanes et CQFD.

Extraits

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SHOAH,PERSECUTIONS ANTISEMITES

Témoigner de la Shoah. Des récits de vie au Mémorial

Comment lire les récits de vie déposés au centre d'archives (CDJC) du Mémorial de la Shoah à Paris ? La question est ici abordée par une double analyse dont les deux aspects sont mêlés. D'abord, l'analyse du discours lui-même de ces récits en nouant les approches linguistiques, littéraires, historiques qui rendent compte, ensemble, du fonctionnement du genre testimonial par rapport au lieu de production, de diffusion et de réception dans lequel il s'inscrit. Ensuite, l'analyse de l'espace institutionnel qui conserve et met à disposition ces récits aux multiples fonctions, heuristique, pédagogique, esthétique et éthique. Initialement écrits dans l'intimité des familles, ces textes changent en effet de statut lorsqu'ils sont déposés dans un centre d'archives comme celui du Mémorial. Cette institution leur confère une visibilité potentielle et elle offre aux scripteurs la possibilité de se réclamer d'une appartenance collective. Elle engendre donc un surcroît de significations tant pratiques que théoriques que l'ouvrage tente de démêler.

02/2024

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Religion

Mémorial

Le bienheureux Pierre Favre s.j. (1506-1546) est surtout connu par son Mémorial, journal écrit au jour le jour pendant les dernières années de sa vie de 1542 à 1545. Monument de la littérature spirituelle, ce texte apparaît comme l'un des apports fondateurs de la voie mystique ouverte par Ignace de Loyola. Comme l'écrit Michel de Certeau, " ces notes... nous permettent d'entrer dans le dialogue secret d'un homme que Dieu élève à une vraie vie mystique et qui fut, dans les commencements et les labeurs de la Compagnie de Jésus, le meilleur ami de saint Ignace et saint François-Xavier ". C'est ce dialogue que Michel de Certeau met en valeur dans son édition et sa présentation magistrales. Il montre qu'au-delà des mots de l'époque c'est une subjectivité en recherche de Dieu qui nous parle: " C'est dans l'incessante insécurité de l'affectivité que Favre reçut et sut recevoir le don de la paix. "

04/2006

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Littérature française

Mémorial

La narratrice de ce très émouvant récit n'a cessé de vouloir échapper à ses origines, à sa famille : un frère et une soeur (son père et sa tante) indissolublement réunis pour avoir échappé à un passé trop lourd dont ils n'ont rien dit et qui ont fini par se murer dans une étrange maladie qui s'est attaquée à leur mémoire. Elle a essayé de répondre à leur attente en édifiant la vie qu'ils n'avaient pu avoir. Elle s'est éloignée mais, à la mort de sa grand-mère, a fini par revenir vers ce qu'elle avait fui. Et elle s'est résolue à entreprendre un nouveau voyage. Cette fois pour se rapprocher de l'événement douloureux qui est à l'origine de leur exil, de cette histoire qui est aussi la sienne. Ce détour, ou ce retour, lui étant soudain apparu comme une étape indispensable pour être enfin libre de s'en aller ailleurs. Le livre est le simple récit de ce voyage en train - l'attente interminable sur les quais de la gare de départ, le voyage lui-même avec ses rencontres, les conversations de compartiment, le séjour dans une ville étrangère qui est pourtant aussi la sienne, celle d'où vient sa famille : Kielce, en Pologne, où eut lieu, un an après la fin de la guerre, en 1946, un terrible pogrom. Mais les petits événements qui émaillent tout voyage dans un pays inconnu dont on ignore la langue sont sans cesse enrichis de toutes les pensées qui assaillent la narratrice, des voix intérieures qui la traversent. Progressant vers ce lieu d'origine, elle ne cesse, à partir des bribes que lui ont transmises ceux qui à force d'oublier pour pouvoir vivre ont fini par tout oublier, de reconstituer ce qu'elle a pu apprendre d'un autre voyage : celui de tous ceux qui tentaient de fuir ce même pays, à l'annonce d'un malheur encore indéfini. Des fantômes surgissent, comme celui de cet oncle qui s'est noyé dans la rivière qui traverse la ville, celui qui aurait voulu être médecin. Dans le train, la rencontre d'une jeune femme qui vit à Oswiecim et n'a pu quitter la ville malgré le poids de l'histoire ne fait que la conforter dans l'idée que le souvenir est le pire poison. Arrivée dans la petite ville, les voix se font encore plus insistantes, comme si elle avait été irrésistiblement entraînée au pays des morts, elle y retrouve la rivière noire et ces eaux sombres, ce Styx au bord duquel un guide mystérieux lui rappelle que les leçons du passé n'ont servi à rien. Elle découvre au cimetière les quelques tombes juives qui ont échappé à la destruction. Une dernière conversation avec l'oncle disparu (car c'était lui qui l'avait guidée) la laisse engourdie de stupeur et de froid, ayant compris que "l'au-revoir" qu'elle cherchait est en réalité impossible. Elle ne peut que repartir et, revenue auprès des siens, décider de se plonger comme eux dans le sommeil de l'oubli. Mémorial était originellement paru en 2005 aux éditions Zulma.

02/2019

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Histoire de France

Des voix sous la cendre. Manuscrits des Sonderkommandos d'Auschwitz-Birkenau

Entre 1942 et novembre 1944, l'Allemagne nazie assassine plus d'un million de personnes, en majorité des juifs européens, dans les chambres à gaz d'Auschwitz-Birkenau. Un Sonderkommando (unité spéciale), constitué de détenus juifs qui se relaient jour et nuit, est contraint d'extraire les cadavres des chambres à gaz, de les brûler dans les crématoires et de disperser les cendres. Quelques hommes ont transcrit cette abomination et enfoui leurs textes dans le sol de Birkenau. Cinq ont été retrouvés après la guerre. Les équipes étant liquidées et remplacées à intervalles réguliers, pas un seul de ces témoins n'a survécu. Ce sont trois de ces manuscrits, dans une nouvelle traduction du yiddish pour partie inédite en français, qui sont présentés ici. S'y ajoutent les dépositions, faites lors du procès de Cracovie en 1946, de trois rescapés des Sonderkommandos - qui confirment, entre autres, le massacre des juifs de Hongrie au printemps 1944 -, des documents d'histoire, des photographies, les archives allemandes.

10/2006

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Sports

Le sport européen à l'épreuve du nazisme. Des JO de Berlin aux JO de Londres (1936-1948)

Les Jeux Olympiques de Berlin de 1936 constituent le plus formidable événement sportif et politique de l'entre-deux-guerres. S'y affrontent les athlètes des démocraties et les sportifs des régimes politiques dont l'idéologie érige la force et la violence en valeurs cardinales (IIIe Reich, Italie de Mussolini, Japon des généraux). Non seulement les campagnes de boycott des Jeux à Berlin échouent, mais en plus le Reich monte sur la plus haute marche du podium. Le sport européen connaît dès lors une décennie tragique. Les rencontres sportives internationales s'effectuent dans un contexte de marche à la guerre. Dans les régimes bruns et dans les pays occupés, les sportifs juifs et tsiganes sont persécutés, tout comme ceux du mouvement sportif ouvrier. L'idéal olympique est dévoyé. Une "Europe nouvelle du sport" est esquissée. Au contraire, le sport a pu servir de dérivatif pour les populations opprimées, de ressourcement psychique pour les prisonniers et pour les résistants. Après la guerre, en 1948, les Jeux de Londres sont placés sous le double signe de l'austérité et de l'espoir.

11/2011

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Histoire de France

La Shoah en France. Volume 4, Le mémorial des enfants juifs déportés de France

Dans cette somme qu'est La Shoah en France, Le Mémorial des enfants juifs déportés de France présente les victimes les plus innocentes : onze mille enfants. Pour chacun d'entre eux, Serge Klarsfeld a établi son état civil : nom, prénom, date et lieu de naissance. Les archives auxquelles il est parvenu à avoir accès lui ont donné la possibilité d'indiquer également une donnée capitale pour la mémoire : l'adresse où l'enfant a été arrêté. Aux listes ainsi dressées s'ajoute plus d'un millier de visages de ces enfants. Serge Klarsfeld aurait voulu rassembler les photos de ces onze mille enfants ; il a déjà pu réunir et publier les visages de trois mille d'entre eux à un âge proche de celui qu'ils avaient quand ils ont été déportés. L'historique du sort de ces enfants permet de constater que l'effort de sauvegarde par leurs familles, par des organisations juives et par l'environnement humain de la population française a épargné des milliers de jeunes vies. De toutes les communautés juives de l'Europe dominée par le Reich, celle de France a connu la proportion la moins forte d'enfants déportés, et ce point doit être souligné. Mais ce mémorial n'est pas celui des enfants cachés et sauvés ; il est celui des enfants perdus qu'il ne faudrait en aucun cas oublier.

10/2001

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