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Dossier

Images, dessins, peintures : quand le regard raconte

Le regard humain est un outil puissant. Il capte, analyse et interprète le monde qui nous entoure. Mais que se passe-t-il lorsque ce regard se pose sur une image, un croquis, une toile ou un texte ? Une véritable alchimie s'opère, tissant des liens profonds entre l'observateur et l'œuvre.

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Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

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Dossier

Femmes et destins : 10 ouvrages qui brisent les carcans

La femme, dans la société, est une entité multidimensionnelle qui joue plusieurs rôles, la plupart du temps de manière simultanée. Cette pluralité, que ce soit dans la réalité quotidienne ou dans la littérature, est à la fois une source d'inspiration et un miroir reflétant la complexité des enjeux sociaux.

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Dossier

Nouvelles têtes : les éditeurs suisses jeunesse et BD la jouent collectif

Nouvelles têtes est un projet porté par trois maisons d’édition suisse, axé sur la bande dessinée et la jeunesse. Considérant que l’union fait la force, Antipodes, Helvetiq et La Salamandre ont sorti de leur catalogue le meilleur de leurs ouvrages. Une mise en lumière inédite, où les textes se répondent, exposant des lignes éditoriales variées où se retrouvent les problématiques contemporaines.

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Fabrice Caro, alias Fabcaro

Né à Montpellier en 1973, Fabrice Caro suit des études scientifiques, envisage de devenir professeur, et entame finalement une carrière d'auteur de bandes dessinées en 1996 : il signe des dessins dans plusieurs revues, dont Tchô !L'Écho des savanes et CQFD.

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

Extraits

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Art contemporain

Kiss. Edition bilingue français-anglais

John Deneuve développe depuis des années un univers plastique protéiforme qui passe par la création de dessins, de situations et de textes généralement mi-distanciés, mi-ironiques. Elle y parodie la plupart du temps les clichés, les néologismes de la communication ou le non sens. Elle adopte une fonctionnalité naïve et directe, en réalisant des dessins au Bic, rudimentaires mais très expressifs en regard de textes poétiques. Le dessin ou le texte prennent alors un sens nouveau. Le lecteur est invité à participer au projet du livre en opérant des rapprochements ludiques et personnels.

09/2023

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Humour

Chers confrères. Dessins et textes satiriques sur le monde de la justice

Une jeune avocate salue un confrère plus âgé dans les couloirs du Palais de justice : "Bonjour, Confrère." "Bonjour, Mademoiselle ! ", lui répond l'intéressé, en toute spontanéité. Du bout de sa mine de crayon affutée, Léna Bojko, avocate au Barreau de Paris et autrice du site Le Dîner de la Cigogne, nous ouvre les coulisses d'une profession encore souvent idéalisée : le métier d'avocat. Elle nous livre, à travers ses dessins, une série d'anecdotes authentiques qui démystifient le quotidien d'une profession se révélant parfois éprouvante. Jeunes avocats collaborateurs malmenés, propos et comportements sexistes, clients peu reconnaissants, confrères désobligeants, tribunaux surchargés, justice expéditive... Un recueil de dessins satiriques rafraîchissant qui dépeint les absurdités et les travers de la profession d'avocat, avec humour et malice.

11/2020

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Littérature française

Lignes de jours

Elle lui écrivit : la ligne cousue forme à elle seule un tracé dans le temps de l'oeuvre - la ligne peinte et continue forme à elle seule un tracé dans le temps de l'oeuvre - le trait haché se répète dans le temps de l'oeuvre - le trait blanc est moins utilisé que le trait noir dans le temps de l'oeuvre - la ligne dans l'espace se repère dans le temps de l'oeuvre - le dessin est une ligne du temps de l'oeuvre... Il lui répondit : ce qui fait temps dans la ligne, c'est peut-être l'alternance de ses pleins et de ses vides. Chaque dessin est une couture d'éclats et de césures, de cernes et de jours. Alors ils firent un livre qui noue images et mots, phrases et traces. Les mots n'y parlent pas vraiment des traces, les images n'ornent pas les phrases. Les textes ne prétendent pas expliquer les desseins des dessins, les dessins ne sont pas là pour rendre visibles les desseins des textes. Ni légende illustrée, ni ratiocination sur. Il n'y a là que des échos, et du sens qui circule par-dessus les blancs demeurés entre pièces dessinées et parcelles écrites. Le lecteur est invité à donner lui-même figures à ces intervalles, à les emplir de présences et d'absences. Il coud les bribes, reprise les morceaux, fait passer du fil pour lier les éclats à son gré. A la fin, c'est lui qui comprend, selon sa propre inclination, les desseins de ces dessins.

11/2010

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Musique, danse

Textes verts et textes divers

" J'ai aimé le bleu comme tout le monde. C'est banal d'aimer le bleu, c'est la première idée des faiseurs de chansonnettes, "le bleu du ciel, de la mer et de tes yeux, mon amour". Assez ! Je ne peux plus le voir en peinture, le bleu, ni dans le ciel ni dans tes yeux, mon amour. Et d'ailleurs, les yeux de mon amour étaient verts. Avec le rouge baiser des femmes d'avant, je veux du vert, anglais, Empire, tilleul (non, pas tilleul, trop fade), du vert des wagons d'avant et de mes sapins d'ici. Tout, sauf le vert pisseux des écolos, ces zozos. Si, comme le prétend Thierry Séchan, le vert est la couleur du diable, alors je suis le diable. Thierry Séchan aime le bleu, mais il n'est pas un homme banal. On dira même qu'il est singulier dans sa façon de voir les choses, de les dire, de les écrire. Ces Textes verts et textes divers feront grincer des dents. Ils sont mûrs, pourtant, à point, délectables. " Pascal Sevran

11/2005

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Critique littéraire

Textes autobiographiques et autres textes

Léopold von Sacher-Masoch (1836-1895) n'a longtemps été connu que par le type de perversion que désigne son nom. Aujourd'hui, il s'agit moins de le revaloriser que de cerner la place singulière qu'il occupe dans l'histoire des formes littéraires. Dans ses Textes autobiographiques, inédits en France, Sacher-Masoch évoque ses souvenirs sur le ton de confidences intimes, expose ses réflexions sur la musique et le théâtre, revient aux contes et légendes qui l'ont nourri. L'érotisme raffiné et spirituel (L'Amour de Platon ou la " perversion idéaliste " d'un amour qui refuse entièrement le corps) côtoie la drôlerie satirique (Diderot se transformant en singe au contact des puissants de ce monde). Platon en amoureux déçu, Diderot en singe, Masoch en petit garçon : autant de figures " blanches " qui attendent leurs contenus pulsionnels, de schémas laissés vides par un texte qui se dit en quelque sorte non à lui-même.

05/2004

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Poésie

Pour parler. 115 sonnets avec des dessins

" Frank Smith écrit. Et dessine aussi. Julien Serve dessine. Et écrit aussi. Tous deux sont constamment inspirés par le monde, par ce qui s'écrit en continu sur lui, par l'information. Pour parler est né de leur rencontre. Frank Smith a écrit 115 sonnets. Il voulait s'attaquer à cette forme, une forme fixée, très précise, et la revisiter, la déconstruire, la détourner. Se contraindre soi-même. Voir comment il pouvait faire des " anti-sonnets ", sans rimes, sans la dimension lyrique, sans faire appel aux sentiments, mais en creusant des questions dans cette forme très fixée, très précise : qu'est-ce que c'est que parler, comment peut-on dire ? Dans ce recueil, le vent du lyrisme classique est remplacé par une tempête de questionnements ; l'expression d'un moi tourmenté par la révélation que la pensée n'existe qu'à travers les mots ; l'effusion par la grammaire, la sublimation des sentiments par une opération chimique pratiquée au cutter sur les brèches et les failles ; la musique par la simplification et Schubert par Feldman. Julien Serve se découvre fasciné par " la capacité de Frank Smith à se saisir d'une réalité au travers du vocabulaire, du langage qu'elle produit. La rejouer, l'amener à un point de lisibilité plus pertinent, plus sensible. J'ai eu envie de lui voler ses écrits. Mais je me suis fais attraper. " Et Julien Serve se met à dessiner, " sur " les sonnets, ou plutôt autour. Plutôt que de parler des sonnets, il dessine. Et pour Serve, la main produit de la pensée. Sa pensée est dans le geste. L'écriture comme le dessin lui semblent des exercices d'équilibriste au dessus du vide. Mais ce qui lie peut-être le plus intimement Julien Serve et Frank Smith, c'est que tous deux, qui par le dessin, qui par les mots, cherchent à reformuler une réalité non admissible. " Je ne voulais pas, écrit Julien Serve, illustrer les sonnets de Frank Smith. Je voulais être en immersion totale. Me perdre dans leurs structures éclatées. Perdre le sonnet. Que les sonnets se lisent sans discontinuer me permettaient de perdre prise. L'imprévu devenait alors envisageable. Je me suis donc contraint à ce dispositif avec des règles simples et strictes : 24 heures de dessins en direct à la lecture d'une voix numérique. " Le nombre de dessins est le résultat de la durée du dispositif mis en place ; il n'y a pas de dessin A pour un sonnet A, ni de nombre de dessins par sonnets. Pour le livre, il y a lieu d'inventer une nouvelle forme. Les sonnets et les dessins, les dessins et les sonnets, oui, mais comment ? Il s'agira d'injecter les dessins dans les sonnets, de fondre textes et images pour échapper à la formule texte/illustration et créer la parfaite co-errance/cohérence que nécessite tout travail en duo. " (Barbara Polla, écrivain-galeriste) Par un habile et original façonnage, textes et dessins sont mêlés, feuille par feuille, dans une superposition transparente, formant des " collisions " et des fusions, qui incite à une lecture aléatoire et diverse, de gauche à droite, de droite à gauche, à l'endroit, à l'envers.

03/2019

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