chiffre d'affaires édition américaine 2015

Ce mercredi, l'Association of American Publishers a publié son rapport mensuel Statshot, avec des chiffres qui semblent indiquer que l'année 2014 fut plutôt faste en termes de chiffre d'affaires pour l'industrie de l'édition américaine. Sur les 11 premiers mois de l'année, les revenus commerciaux des maisons membres de l'association sont en hausse de 3,7 %, avec un léger recul du format cartonné sur le marché, mais une solide croissance du livre numérique.

L'association des éditeurs américains (Association of American Publishers, AAP) confirme une bonne année 2019 pour l'édition américaine, avec un chiffre d'affaires qui s'établit à 25,93 milliards $, soit 1,1 % de hausse par rapport à 2018. L'organisation professionnelle note une part toujours croissante des ventes réalisées sur internet, au détriment des librairies et autres points de vente.

D’après une analyse comparative réalisée entre les mois de février 2015 et de février 2016 réalisée par l’Association des éditeurs américains (APP, Association of American Publishers), les ventes réalisées par les éditeurs américains sur un an sont en hausse de 4,2 %. En février 2015, elles s’élevaient à 597,4 millions $ (544 millions €) contre 662,2 millions $ (602,8 millions €)  pour cette année. 

Les statistiques de vente de l’année 2018, pour les éditeurs américains, affichent 25,82 milliards $ de chiffre d’affaires, pour 2,71 milliards en volume écoulé. Un léger recul en regard de 2017, qui avait enregistré 26,23 milliards $. Mais surtout, un recul qui se creuse…

L'Association of American Publishers, association des éditeurs américains, qui regroupe plus d'un millier éditeurs, a communiqué son rapport final sur l'état économique du secteur pour l'année 2015. Le chiffre d'affaires de l'édition s'élève à 15,4 milliards $ (environ 13,5 milliards €), en baisse de 2,6 % par rapport à 2014. Les livres jeunesse sont en baisse après une année 2014 très performante, mais les livres adulte rattrapent globalement ce léger tassement.

Le cabinet GfK vient de livrer les résultats de l'industrie du livre en France, pour l'année 2010. Un chiffre d'affaires qui n'est pas vraiment mieux, ni vraiment pire... plutôt un marché breton... p'tet ben qu'oui, p'tet ben qu'non...

La Fédération des éditeurs européens, en se basant sur les rapports de quelque 28 associations nationales de l'Espace économique européen, a mené son enquête statistique sur l'industrie du livre du Vieux Continent en 2013. L'enquête se focalisait principalement sur les chiffres d'affaires nets des éditeurs, sans tenir compte du commerce des détaillants ni des ventes de droits pour la traduction ou pour les adaptations audiovisuelles. 

Le panorama du livre numérique sur l'ensemble de la planète vient d'être établi avec autant de certitude que peut en avoir un cabinet d'analyse. Le Global e-book Market 2014-2018 a été présenté, avec les nouveaux chiffres prévisionnels : si en 2013, le livre numérique pesait pour 11,9 % du marché, il devrait atteindre 26,3 % pour 2018. 

La Fédération des Éditeurs Européens (FEE) est l'association qui représente les intérêts de 27 associations nationales d'éditeurs : en cette fin d'année, elle propose un bilan de l'année 2014, en terme de chiffre d'affaires, pour l'édition. Sans surprise, le chiffre d'affaires global est en baisse, tout comme le nombre de livres inédits, mais l'organisation est relativement optimiste quant à la suite des événements.

L'alerte est rouge du côté de la Fédération des éditeurs espagnols, tout comme les comptes des maisons d'édition du pays. Pour 2013, la baisse est fortement marquée, avec une réduction de 11,7 % du chiffre d'affaires, à 2,18 milliards €. À titre de comparaison, celui des éditeurs français s'arrêtait à 2,77 milliards €, pour la même année.

La Fédération des éditeurs européens, l'année 2017 terminée, fait le bilan de l'année... 2016. À l'aide des chiffres communiqués par les différentes organisations professionnelles des éditeurs dans les pays européens, la FEE établit le chiffre d'affaires des éditeurs, cette année-là, à 22,3 milliards €. Ce qui correspond peu ou prou au chiffre de l'année dernière, grâce aux variations monétaires.

Le groupe Lagardère communique son résultat pour l'année 2015, et se réjouit d'un chiffre d'affaires de 7,193 milliards €, en hausse de 0,3 % en données brutes et 3 % à données comparables par rapport à celui de 2014 (7,17 milliards €). Le résultat opérationnel (Résop) de la filiale Lagardère Publishing est également en légère hausse, à 198 millions €, soit 1 million € supplémentaire par rapport à 2014.

C’est là tout le paradoxe d’un rapport d’activité : l’année 2019 s’est conclue avec une progression de 5 % des ventes, avec 435 millions d’ouvrages vendus. Et tous les segments avaient de belles couleurs – avant que la crise Covid ne sape le moral de toute l’industrie. 

Le groupe allemand de médias Bertelsmann anticipe une croissance de son chiffre d'affaires pour 2013 sans pour autant entrer beaucoup plus avant dans les détails. Le contexte économique restant difficile en Europe, l'équation sera complexe.

Le groupe Lagardère a partagé ce mardi 7 mai ses résultats pour le premier trimestre de l'année 2019 : si le chiffre d'affaires global est en hausse de 8,9 %, c'est grâce aux performances des filiales dédiées au voyage et au sport. L'édition, elle, fait état d'une croissance plus modérée, de 0,9 %, en données comparables.

Pour les neuf premiers mois de l'année 2012, le chiffre d'affaires de l'édition italienne a connu une baisse de 8,7 %, d'après une étude Nielsen rapportée par Publishing Perspectives. La comparaison des chiffres de 2010 à ceux de 2011 montrait déjà une baisse de 4,6 %, signe d'une industrie en apparente mauvaise santé dans le pays.

Au cours de l'assemblée générale du Syndicat aujourd'hui, la situation rocambolesque des ouvrages numériques (même pour les audiobooks) taxés à 19,6 %, selon qu'ils soient dématérialisés, ou à 5,5 % pour ceux placés sur clef USB n'aura pas été oubliée. Mais dans le même temps, on a pu découvrir les chiffres officiels avancés par le SNE concernant la part que l'ebook a pu prendre en France au cours de l'année 2009.

L'association des éditeurs américains (Association of American Publishers, AAP) a publié les résultats 2022 de ses membres. Elle signale une baisse générale de 6,4 %. Seuls les paperbacks et les livres audio dématérialisés vont à l'encontre de cette tendance.

La multinationale allemande Bertelsmann se félicite d'une année 2022 au chiffre d'affaires le plus élevé de son histoire, à 20,2 milliards €. Si l'on considère la seule activité éditoriale de l'entité – Penguin Random House –, le CA reste en hausse, avec 4,2 milliards €, mais les revenus reculent...

Le Syndicat national de l'édition (SNE), organisation patronale du secteur, annonce dans un rapport que le chiffre d'affaires des éditeurs est passé de 3 milliards € en 2021 à 2,9 milliards en 2022 (-5,4 %). Toutefois, le bilan de l'année écoulée reste bien supérieur à celui de 2019, année de référence pré-pandémie.

L’association des éditeurs américains a partagé les résultats financiers du secteur pour le mois d’octobre 2019. Et si l’AAP célèbre une croissance globale de 3,6 % sur la période de janvier à octobre 2019 par rapport à l’année précédente, le seul mois d’octobre est, lui, beaucoup moins réjouissant. D’après les données, le chiffre d’affaires des éditeurs participants est de 1,13 milliard $, soit une légère baisse de 0,8 % par rapport au même mois de l'année 2018.

Ce 12 mai, le groupe Lagardère a diffusé les informations traditionnelles sur les résultats de l’entreprise. Avec un chiffre d’affaires consolidé au 1er trimestre 2016 de 1,586 milliard €, le groupe enregistre une progression de 0,9 % en données consolidées contre -2 % à données comparables. L’année démarre avec une croissance « sans surprise », assure le groupe. 

Les résultats de la dernière étude menée par la Fédération des Centres de Gestion Agréés (FCGA) et la Banque populaire ont de quoi surprendre. Portant sur le chiffre d'affaires réalisé par les TPE sur 2013 à partir d'un échantillon de 15 000 petites entreprises, ce document  place les librairies indépendantes en tête, avec une hausse de 8 %, rapporte Challenges.

L'année 2015 avait été celle de la reprise pour le secteur du livre : l'édition française annonçait ainsi une hausse de 1,7 % des ventes de livres et un retour à la croissance après plusieurs années de dégringolade. Quelques mois plus tard, le Syndicat de la Librairie française confirmait cette embellie, qui semble se prolonger en 2016.

Quelques jours après les 12 coups de 2020, le Syndicat de la Librairie française met à profit son Observatoire de la librairie et évoque une hausse du chiffre d’affaires des librairies françaises estimée à 7,1 %, sur l'ensemble de l'année 2019. Côté meilleures ventes, Sérotonine de Houellebecq (Flammarion) tient la première place, devant La Panthère des Neiges de Sylvain Tesson (Gallimard).

Le groupe Pearson, spécialisé dans les ouvrages scolaires et contenus pédagogiques, et parmi les plus importants éditeurs du monde, annonce un chiffre d'affaires légèrement en baisse pour l'année 2018. Néanmoins, les bénéfices sont en hausse, et la direction promet des performances qui s'améliorent ainsi que des frais liés au groupe réduits.

Ce 7 février, le groupe Lagardère vient de communiquer les résultats trimestriels pour la dernière période de 2012. Assurant d'une « bonne tenue de son activité », avec un chiffre d'affaires de 7,37 milliards €, Lagardère, contre 7,657 milliards € en 2011, les données restent quasi stables. Dans le domaine de l'édition, le chiffre d'affaires fait état de 546 millions €, soit + 1,6 % en données brutes et - 0,8 % à données comparables.

Guillaume Husson, délégué général du Syndicat de la librairie française (SLF), intervenait ce matin sur le Forum professionnel du salon Livre Paris. Et il apportait de bonnes nouvelles : à l'aide de l'observatoire de la librairie, l'outil mis au point et lancé l'an dernier par le Syndicat en collaboration avec Tite-Live, il a fait part d'une hausse du chiffre d'affaires dans les librairies indépendantes en 2015.

L'association des éditeurs américains (Association of American Publishers, AAP) publie un bilan financier des six premiers mois de l'année de l'industrie américaine du livre. Et les statistiques sont plutôt bonnes : le chiffre d'affaires atteint les 6 milliards $, en hausse de 6,9 % par rapport aux six premiers mois de l'année 2018.

Travaillant en coopération avec l’institut GfK, le Börsenverein, syndicat réunissant les libraires et les éditeurs allemands, vient de donner la tendance des ventes d’ebooks sur le premier semestre 2015. La part du chiffre d’affaires issue des ventes numériques, excluant les ventes de manuels scolaires, est de 5,6 %.