L’accès à la littérature ou à la documentation dans les établissements pénitentiaires s’avère difficile. Outre la censure de nombreux titres dans les bibliothèques des prisons, les détenus se voient également souvent interdire de recevoir des livres, sous prétexte que ces expéditions alimentent le trafic de drogue ou la livraison d’armes.
Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »
A l'approche de son vingtième anniversaire, Lettres du Monde poursuit sa mission de rayonnement culturel en Nouvelle-Aquitaine en invitant des auteurs et autrices du monde entier à rencontrer des lecteurs, lectrices et futurs passionnés de littérature.
Qu’il s’agisse de fictions par lesquelles le réel se revisite, d’approches analytiques explorant les détails et aspects de notre société humaine ou encore d’instantanés saisissant la lumière – et faisant jour ! – sur notre monde, nous demeurons pris dans notre environnement. Humains, trop humains, certainement, avec pour prisme premier notre regard sur cette Terre et ce que nous en avons fait, ce que nous en faisons… et ce que nous en ferons.
Fondée en 1975, la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse se consacre à la défense des écrivains, tant dans leurs créations que dans leurs droits. L’association compte plus de 1000 membres, dont l’activité éditoriale représente 1500 ouvrages publiés chaque année.
Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».
Cinéma
01/1993
Théâtre - Essais
04/2023
Policier-Espionnage
05/2022
Policiers
07/2013
Littérature érotique et sentim
05/2019
Actualité et médias
10/2018