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En série ou en film, les adaptations de livres crèvent l'écran

Le Parrain, Les Dents de la merRaisons et sentiments, Le Seigneur des Anneaux, la saga Harry Potter, Le Nom de la Rose, Orange mécaniqueVol au-dessus d'un nid de coucou, Le GuépardLettre d'une inconnue... Tous ces films ont un point commun, celui d'être des adaptations de romans ou de sagas littéraires...

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Livres, actualités : tout sur Virginie Despentes

Née le 13 juin 1969 à Nancy, Virginie Despentes fait une entrée fracassante en littérature avec Baise-moi, un premier roman écrit en quelques semaines, provocateur et dérangeant, qui devient, grâce au bouche-à-oreille et à une exposition médiatique inattendue, un succès. Après deux autres romans, l'adaptation cinématographique de son premier livre, réalisée avec Coralie Trinh Thi, termine d'asseoir sa réputation d'auteure féministe et jusqu'au-boutiste.

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La servante écarlate de Margaret Atwood : la dystopie fantastique

Depuis 1985 que ce roman a été publié, l’explosion qu’il a connue avec l’adaptation pour la chaîne Hulu — première diffusion en avril 2017 — c’est devenu l’œuvre incontournable. Et finalement, Margaret Atwood, aux anges, reçoit enfin les lauriers pour cette œuvre majeure.

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Romans, nouveautés : les livres de Laetitia Colombani

Cinéaste, scénariste, comédienne et romancière, Laetitia Colombani s’apprête à réaliser au cinéma le film tiré de son premier roman La Tresse (Grasset, 2017), co-production internationale dont la sortie est prévue en 2022. Elle est également l’auteure des Victorieuses, best-seller en cours d’adaptation en série. L’album jeunesse Les Victorieuses, ou le palais de Blanche est également publié chez Grasset en juin 2021.

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Netflix : quand les livres inspirent films et séries

Fondée en 1997, la société Netflix est devenue le symbole même d’une nouvelle approche de la vidéo sur internet. Son service de streaming, déployé sur une vingtaine filiales, réparties sur 190 pays dans le monde a conquis les utilisateurs. Séries, films, documentaires, on y retrouve une offre qui se diversifie. Et les livres y trouvent de plus en plus leur place.

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Le Prix du roman Fnac

Créé en 2002 par la chaine de magasins spécialisés dans la culture Fnac, le Prix du roman Fnac fait partie des premiers prix de la rentrée littéraire. Pendant l’été, 400 adhérents et autant de libraires Fnac s’immergent dans les centaines de romans de la rentrée littéraire, qu’ils apprécient en toute indépendance, contribuant ainsi à une première sélection de 30 ouvrages.

Extraits

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Littérature française

Mélancolie vandale. Roman rose

Dans Berlin réunifiée, Kornelia Sumpf, cinquante-trois ans, (“fruit débile des amours d’une charogne et d’un fossoyeur”) condamnée à rester à jamais “une empotée de l’Est”, travaille comme interprète à la prison de Moabit où le détenu est souvent basané et insuffisamment germanophone. Elle est désormais la compagne, prétendument comblée, d’un homme plus jeune qu’elle, Ali, son ultime conquête, qui a été élevé, dans ce qui fut Berlin-Ouest, par une mère turque, richissime et foutraque, prénommée Utkügul, dont la fortune permet à son aboulique de fils de passer son temps en tête-à-tête avec l’écran de son ordinateur (et les vidéos pornos afférentes). Bien avant de rencontrer Ali, l’homme aux “lèvres-saucisses”, Kornelia a adopté la petite Viorica, d’origine roumaine (on dira “Rom”, sous peu), devenue une pré-adolescente paumée, d’humeur aussi maussade que le temps qui sévit à Berlin, en cet hiver 2010, et dont la fascination pour la société de consommation triomphante entraîne des échanges aussi fréquents qu’embarrassants avec la puissante caste que forment les vigiles de supermarchés. Afin d’échapper à la suffocante emprise de la dévoratrice Utkügul, restée “à l’Ouest”, le couple turco-germanique, fier de sa mixité, vit dans le modeste (et peu amène) pavillon familial de l’ancien Berlin-Est dans le quartier de Lichtenberg, où, cloué sur un fauteuil roulant, le père de Kornelia, dit “petit-papa”, achève son existence dans la hargne et ce mutisme aussi “réflexe” que tactique auquel l’a rompu sa longue expérience de communiste impénitent et de délateur professionnel aux temps “heureux” de la stasi. A son corps défendant, et comme à son insu, sa fille Kornelia, quand elle a terminé sa journée de “traductrice du malheur” à la prison de Moabit, semble passer son temps à traverser dans les deux sens un Mur qui n’existe plus, comme si ce dernier faisait défaut à l’ordre bénéfique naguère providentiellement assigné à l’univers. En proie à des nostalgies bancales et à des haines confuses, cette femme de devoir, au sourire (socialiste) inoxydable mais dont la jeunesse s’enfuit inexorablement, l’est en effet aussi à des désirs, désordonnés et violents, sur lesquels elle n’est pas en mesure de mettre un nom, sinon celui de sexe (par provocation, impuissance et manque d’imagination réunis) ou de consommation (activité enfin autorisée, sinon prescrite). Mais, dressée par la rda, une Kornelia Sumpf ne peut rêver de posséder une Audi que juchée sur la selle de son vélo, prolétaire symbole d’une liberté de circulation qui s’étend désormais jusqu’à la célèbre Alexanderplatz (oncques immortalisée par Döblin et à présent livrée aux promoteurs). Sur son vélo, Kornelia roule, dérape dans la neige, tombe, se blesse, rencontre le parcours d’un marathon en folie où des vieillards cacochymes repoussent leurs limites au risque de leur vie, fait des rencontres, assiste à des accidents, se trompe de chemin, se met en retard, nouvelle Alice déjantée au pays sans merveilles, se cherche un avenir, une histoire qui serait enfin à elle et comblerait le manque, souffrant, sans le comprendre, du temps qui passe, de l’inassouvissement, de la solitude harassante qui règne dans une ville qui, pour avoir fait de la notion de communauté retrouvée son nouvel étendard, fièrement brandi à la face du monde, n’a, à l’instar de l’Europe dite unie, réussi à se fonder en transmission d’aucune sorte. Aussi mal à l’aise vis-à-vis d’un passé familial caviardé que frustrée par le morne présent qui lui est dévolu, cette “femme gauchère” porte sur ce qui l’entoure un regard tour à tour exalté et agressif, qui, tout en “scannant” avec trop d’ironie une vie sans espoir et des destinées sans grandeur (vieillards en déshérence ou “actifs” aliénés s’entassant dans l’enfer du métro), lamine les mythologies de la défunte rda comme les illusions de l’Allemagne nouvelle. Dans le décor chaotique d’une modernité violente placée sous le signe du marché libéral qui a pris ses quartiers en des lieux où, hier encore, sévissaient de tout autres mœurs et pratiques, sous les cieux plombés d’une ville immense dont la division fut l’un des symboles majeurs du xxe siècle, se déploie, tel un plan crypté (et cruellement poétique), l’impitoyable cartographie d’un monde aussi interdit d’authentique mémoire qu’il est assujetti au “devoir” de célébrer sans trêve cette dernière, quitte à la soumettre à une marchandisation aussi décomplexée que florissante. Ecrit à “l’impersonnel” (au “on”), Mélancolie vandale (non sans dérision sous-titré : roman rose) propose avec cet hommage paradoxal et désabusé rendu à une ville emblématique, une vision de nos temps contemporains aussi désespérée que lucide. Tant il est vrai que, avec ce roman puissamment baroque, aussi tragique que farcesque, Jean-Yves Cendrey, en avatar de Jérôme Bosch (ou en passager sidéré embarqué sur quelque nef des fous), semble ici sonner l’alerte sur la renaissance possible de la “bête immonde”, ce monstre familier aux multiples visages si prompt à prospérer, en temps de paix, sur tous les territoires abandonnés à sa férocité vorace.

01/2012

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Théâtre

Candide. Adaptation radiophonique du roman de Voltaire

Voici que nous revient, après plus de soixante ans, un précieux enregistrement d'une pièce radiophonique de Jean Tardieu : son Candide, adapté de Voltaire, créé en 1944 et rediffusé en 1946. La pièce n'est plus connue aujourd'hui que des historiens de la littérature et de la radio et des spécialistes de ce "théâtre pour l'oreille" des années 1940, dont elle illustrait si brillamment l'esprit, l'art et l'ambition. Intégré par Tardieu lui-même à ses oeuvres en 1975, ce Candide a rejoint le mystérieux trésor du théâtre à lire. Le retour inespéré d'une archive sonore nous restitue, à côté du texte imprimé, l'évidence d'une forme totale et de son jeu idéal : une scène invisible, immatérielle, mais incarnée, hantée, enchantée par des voix et des bruitages - et même ici par une musique qui, tenant à l'histoire de l'oeuvre, ajoute au plaisir de la retrouver. Conçu d'emblée pour la radio, écrit pour la radio, d'une traite semble-t-il, en septembre 1944, le Candide de Tardieu fut mis en ondes par la Radiodiffusion française le 2 décembre suivant, dans les conditions de direct habituelles à l'époque : une simple lecture de comédiens réunis autour du micro - cette première n'a laissé de trace que sa distribution et quelques annonces dans la presse du temps. La rediffusion de 1946 fut donnée dans une nouvelle distribution et avec des accompagnements musicaux de Claude Arrieu, collaboratrice et amie de Jean Tardieu : c'est cette seconde version, enregistrée en studio pour les besoins du montage et conservée à l'INA jusqu'à sa redécouverte récente, qu'on présente à l'écoute des amateurs et des curieux. Vous avez tourné le bouton de la TSF : c'est l'heure de votre "émission dramatique" . Une petite boîte à musique, mi-rêveuse et mi-narquoise, en égrène l'indicatif. La présentatrice va détacher d'une voix solaire le générique d'entrée : "Mesdames, Messieurs, nous vous prions d'écouter le Candide de Voltaire dans une adaptation de Jean Tardieu. ". . - vous aviez naturellement repéré ce Candide dans la rubrique "Choix" du Radio de la semaine. Nous sommes le 10 septembre 1946, un mardi : il est 21 heures.

04/2010

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Littérature française

Rose de mai, roman inédit

Rose de mai : roman inédit / Armand Silvestre Date de l'édition originale : 1888 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Critique littéraire

Le roman de la rose

Le Roman de la Rose est un récit codé de l'initiation amoureuse. A I'âge où "Amour prélève son péage sur les jeunes gens", le poète rêve qu'il entre dans le verger de Plaisir et s'éprend d'un bouton de rose. Malgré tous les obstacles, il parviendra à le cueillir et à le déflorer avant de s'éveiller. Le songe allégorique est ici un moyen d'investigation des mouvements obscurs de l'âme et de l'éveil des sens. Laissé en suspens par Guiflaume de Lorris, le poème est achevé par Jean de Meun vers 1270. Le premier met en récit les motifs du lyrisme courtois. Le second, tout en abordant les grands mes philosophiques, scientifiques, moraux et sociaux temps, élabore une théorie provocante de l'amour et de la sexualité. A eux deux, ils proposent une somme poétique, amoureuse et intellectuelle d'une ampleur et d'une vigueur inégalées. La présente édition et la traduction qui l'accompagne sont entièrement nouvelles. Pour la première fois le lecteur dispose en un seul volume du texte intégral du Roman de la Rose et de sa traduction en français moderne.

01/1992

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Contes et nouvelles

Reinhart Fuchs. Adaptation alsacienne du Roman de Renart

Cette adaptation alsacienne du Roman de Renart date de la fin du xiie siècle ou du début du XIIIe siècle. On y retrouve de nombreux épisodes empruntés à l'oeuvre française, comme Renart et les anguilles ou la pêche au seau, mais ils sont réagencés dans une perspective nouvelle. Tandis que la première partie du récit demeure assez proche de l'esprit ludique et facétieux des branches françaises dont elle s'inspire et présente un renard qui tente, avec plus au moins de succès, de piéger d'autres animaux, le deuxième mouvement se veut beaucoup plus acerbe et se distingue par son originalité. L'auteur alsacien y décrit un monde à l'envers où la malhonnêteté et la ruse l'emportent sur toutes les autres valeurs. A travers cette critique de la société contemporaine, Henri dit le Sournois vise également le pouvoir impérial, dénonçant la tyrannie et le manque de loyauté des Hohenstaufen. Cette édition présente le texte moyen haut-allemand établi d'après le manuscrit 341 de la bibliothèque universitaire de Heidelberg et intègre le fragment de Cassel qui constitue la version la plus ancienne du récit dont nous disposions. Le texte alsacien est accompagné d'une introduction, d'une traduction française et de nombreuses notes permettant de le situer dans son contexte social et historique.

05/2022

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Littérature française

Roma/Roman

Héroïne d'un film unique et néanmoins mythique, Ariane est invitée à Rome pour célébrer dans une demeure de prestige le vingtième anniversaire de ce chef-d'oeuvre cinématographique. Angoissée à l'idée d'entrevoir dans les veux de son partenaire d'antan l'ombre de l'âge sur son propre visage, cette femme rayonnante de beauté se retrouve soudain projetée au coeur de la ville antique. Jim, son amant à l'écran, a lui aussi quitté sans regret cet univers du paraître. Quant à Adrien, réalisateur vieillissant de ce fameux film culte, il ambitionne de replonger ses comédiens dans le scénario amoureux qu'il a immortalisé à l'écran. Trois personnages pour un jeu ambigu avec le temps, l'image et la mémoire - mais c'est compter sans l'emprise de Rome, dont l'éblouissante présence va les livrer à l'enchantement, au sortilège et au génie du lieu.

02/2013

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