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Wlodzimierz Sobkowiak

Extraits

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Musique, danse

Metaphonology of English Paronomasic Puns

In this book English heterophonous/paronomasic/puns are investigated from a metaphonological perspective. I look into the ways and methods of native speakers' self-conscious metalinguistic manipulation of their phonological system/s/, as exemplified in punning. A phonostatistic analysis of nearly 4000 English puns is attempted in testing a hypothesis that the phonological representations accessed and generated in punning are significantly different from those used in 'ordinary' speech encoding. Comparisons are carried out against phoneme frequency distributions of running speech and those of spontaneous errors.In speech play, competence mechanisms are accessed which differ from structural competence à la Chomsky.

06/1991

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Poches Littérature internation

La Nudité des femmes. Suivi de Le Cirque

Après Une saison à Venise, la trilogie de l'adieu à l'enfance se poursuit avec deux récits d'initiation sexuelle qui se déroulent en 1941, pendant l'occupation nazie en Galicie, avec toute l'ambiguïté du rapprochement entre l'émerveillement de la découverte des plaisirs charnels et l'effroi face à la violence et la mort. Dans chacune des deux longues nouvelles, Marek fait un pas de plus vers la sexualité adulte mais, chaque fois, la guerre et le génocide surgissent. " L'écrivain adopte le regard de Marek, "planté là, étourdi, les veux embués" face aux lieux enchanteurs, à la magie des objets, des costumes, des corps - mais aussi face à la violence et à la terrible balafre de l'innommable. L'émotion reste intacte et la maîtrise littéraire impressionnante. " (Livres Hebdo)

03/2011

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Littérature étrangère

L'ombre du mur. Chroniques du mur de Berlin

L'Ombre du mur est une " géographie personnelle " et littéraire du mur de Berlin tombé il y a vingt ans, vécue, écrite par douze écrivains venus de l'Est. Autant de séquences individuelles où l'Histoire s'imbrique dans une collusion permanente entre passé, présent et avenir. Le " cercle " de Velibor Colié, le Bosniaque, commence à Auschwitz, passe par Srebrenica et l'Espagne républicaine pour se refermer provisoirement à Berlin. L'" étonnement infini " de Bessa Myftiu, l'Albanaise, est né presque imperceptiblement le jour où la statue d'Enver Hoxha est tombée, poussée par une foule transfigurée. " Partir, c'est mourir un peu " pour le transfuge roumain Norman Manea et Berlin devient un lieu de " pèlerinage de la croisée des chemins d'une existence et de tant d'autres ". Lutz Seiler, l'Allemand, parle d'héritage, littéraire avant tout, et son mur se transforme en une mesure du temps. L'homme des frontières, Luan Starova, le Macédonien, évoque les Portes de l'Enfer derrière lesquelles se sont murés, depuis des siècles, les Balkans. Les anges échafaudés du Hongrois Làszlô Garaczi veillent sur Berlin, où tout doit être réappris en permanence. Théodora Dimova, la Bulgare, évoque ses transitions : Tchernobyl, les hivers postcommunistes ou ses propres livres. Katja Lange-Müller, l'Allemande, est témoin des temps où Marina, Marina n'était encore qu'une chanson joyeuse, avant de devenir une margarine bon marché. Le Polonais Wlodzimierz Odojewski se demande si on pouvait entendre à travers le mur les voix de l'autre partie de l'Europe. Le mur de Martin Smaus est celui de Lennon, symbole de résistance à Prague. Pour Anatoli Koroliov, l'enfermement a commencé avec la palissade qui entourait la maison de son enfance. Sous les décombres, Edin, le personnage du jeune Serbe Vladimir Kecmanovié, essaie en vain de retrouver un morceau du mur de Berlin perdu pour toujours... Et ce mur continue de hanter, telle une ombre sur un paravent de pierres qui, hier encore, séparait les hommes.

10/2009

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