La dernière édition du salon Livre Paris, qui se tient porte de Versailles, a fermé ses portes le 19 mars. Une édition qui avait débuté sur une vive polémique autour de la rémunération des auteurs, et qui se conclut sur le froid glacial qui a régné durant la manifestation.
ActuaLitté le soulignait : de #PayeTonAuteur, on passe à #PayeTonChauffage. Mais heureusement, quelques beaux moments étaient au rendez-vous. De celles qui parviennent même à vous réchauffer le coeur, quand le corps est transi. #Gniarfffff
Premier roman d’Elena Ferrante, auteure mystérieuse, écrivant sous pseudonyme, L’amie prodigueuse donna son nom à l’ensemble de cette série en quatre tomes. Traduite par Elsa Damien et publiée aux éditions Gallimard, la Saga Geniale, comme l’ont baptisée les Italiens, raconte la vie de deux jeunes filles, dans la ville de Naples.
Ils se compteront encore par centaines, dès la fin du mois d’août, ces romans embarqués entre rapides et récifs, pour la rentrée littéraire. Il y a les livres des grosses pointures, qui roulent déjà des mécaniques, les bouquins inattendus, que l’on attend de découvrir, et toute la horde des sacrifiés sur l’autel du manque de place en librairies, du trop, de l’encore trop. Bref, la rentrée littéraire 2021 s’avance.
Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »
Christian Bobin est un écrivain et poète français né le 24 avril 1951 à Le Creusot, en Saône-et-Loire. Il est particulièrement connu pour son style d'écriture poétique et méditatif, qui explore souvent des thèmes tels que la nature, l'amour, la beauté, et la spiritualité.
Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».
Sports
10/2019
Mer
11/2014
Littérature française
11/2018
Littérature française
01/2024
BD jeunesse
09/2018
Critique littéraire
03/1987