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Extraits

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Policiers

Visa pour Cuba

Luis Miguel Bayamo fit face à Malko. Sa main écarta un pan de sa guayabera et reparut, tenant un gros automatique noir. Il braqua l’arme sur Malko et dit d’une voix blanche : - Hijo de puta, je vais te faire éclater les couilles ! Ses yeux fixaient l’endroit où il allait tirer et son doigt commença à peser sur la détente.

02/2016

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Littérature française (poches)

Planète sans visa

Marseille, 1942 : quelques mois avant l'invasion de la zone libre par les Allemands, la ville en pressent la menace. Le grand port méditerrannéen est devenu cette nasse on sont allés se prendre tous les indésirables pourchassés par Vichy. Affluant des quatre coins de l'Europe, ils fuient la tyrannie. l'oppression et la guerre, et espèrent décrocher le précieux sésame qui leur permettra d'embarquer vers une terre de liberté et de paix : un visa vers l'improbable Amérique. Entre descriptions réalistes et évocations lyriques, Jean Malaquais brosse un terrible tableau de l'époque et de la faune bigarrée du Vieux-Port. Où les proscrits, de tout poil côtoient, saris s'en méfier assez, mouchards et délateurs zélés...

10/2009

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Récits de voyage

Visa pour Venise

JAMES MORRIS Visa pour Venise James Morris a vécu deux ans à Venise. Il en parle ici comme d'une ville, presque d'une personne, qu'il a passionnément aimée, et dont le charme, à distance, avec le recul pourtant, continue d'opérer. Tour à tour lyrique, débraillé, érudit, superstitieux, goguenard, toujours lucide, il est le plus versatile et le plus constant des amants de Venise. La Cité de Carpaccio et du Titien, la séductrice de Byron et de Thomas Mann, la ville touristique et la ville réelle, d'aujourd'hui, où les femmes avancent avec des grâces de navire... James Morris évoque toutes les facettes de Venise, ranime son odeur de vase, d'encens, de crasse et de velours, le doux clapotement de ses canaux, la mélancolie de la vaste lagune qui l'entoure. Ranime Venise, l'Inoubliable.

06/1989

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BD tout public

Visa Transit Tome 1

"Je dois partir et vivre, ou rester et mourir" écrit Shakespeare, repris par Nicolas Bouvier en exergue de "L'usage du monde" . A l'été 1986, quelques mois après l'accident nucléaire de Tchernobyl, Nicolas de Crécy et son cousin ont à peine 20 ans quand ils récupèrent une Citröen Visa moribonde. Ils remplissent la voiture de livres, qu'ils ne liront pas, ajoutent deux sacs de couchage, des cigarettes... et embarquent pour un voyage qui n'a pas de destination, mais doit les mener le plus loin possible. Ils traversent le nord de l'Italie, la Yougoslavie, la Bulgarie et descendent en Turquie, dans un périple qui les confronte au monde autant qu'à eux-mêmes.

09/2019

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Romans graphiques

Visa Transit Tome 3

Fin juillet 1986. Après avoir traversé l'Italie, la Yougoslavie, la Bulgarie et découvert Istanbul, Nicolas de Crecy et son cousin poursuivent l'aventure à bord de leur vieille Citroën Visa... Jusqu'à un village anatolien, "eden perdu", qui marque l'aboutissement de leur périple. Dans un tome plus sombre mais non dénué d'humour, l'auteur nous livre la dernière partie de son odyssée intime. Il raconte la découverte d'un mal qui ne dit pas son nom, l'angoisse de la décrépitude, l'errance médicale... convoque ses souvenirs d'enfance -et interroge par là-même les fascinants ressorts de la mémoire.

09/2021

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Littérature française

Visa pour l'éternité

En 1939, Ewa fuit la Pologne envahie pour trouver asile en Lituanie. Leib, médecin, a assisté impuissant à l'anéantissement de Varsovie. Dans ce petit état balte, les réfugiés juifs tentent de reconstruire leur vie. Mais la menace d'une invasion plane et il faut repartir. Toutes les ambassades ont fermé leurs portes. Sauf une : celle du Japon, où le consul Sugihara, agent de renseignement et diplomate, délivre des visas. Ewa, Leib et leurs amis du groupe des écrivains yiddishs doivent affronter les officiers de sécurité russes et la menace du goulag avant de pouvoir traverser le continent et la mer jusqu'au Pays du Soleil Levant. De là, destination Shangai, alors sous contrôle japonais, où, dans un ghetto sordide, ils survivent en espérant la libération et une nouvelle terre d'accueil... A travers cette incroyable odyssée fondée sur des faits réels, le roman de Laurence Couquiaud, l'auteure de La Mémoire sous les vagues (Prix Femme actuelle) dévoile un pan ignoré de l'exil d'une partie de la communauté juive en Asie, évoquant la violence du déracinement mais aussi l'entraide aux confins du monde, ainsi qu'une poignante histoire d'amour, de résilience et d'émancipation. En toile de fond, le portrait du "Schindler japonais" , Chiune Sugihara, qui paya cher son geste généreux.

09/2021

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