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Victor Remizov

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Poches Littérature internation

Volia Volnaïa

Rybatchi, un petit village russe de Sibérie. Ici, tous les habitants sont chasseurs, pêcheurs. Tous sont braconniers. Maintenus dans l'illégalité par une milice corrompue, ils n'ont qu'un rêve : acheter une licence pour vendre légalement le fruit de leurs efforts, sans rien devoir aux autorités. Tout bascule lorsque le braconnier Kobiakov refuse de céder leur dû aux miliciens. Une rébellion s'ébauche et s'enflamme dès l'arrivée d'une unité des forces spéciales venue de Moscou. L'émeute devient fait politique et la chasse à l'ours se transforme en chasse à l'homme. Dès lors un dilemme se pose aux villageois : se soumettre ou partir dans la taiga se refaire une vie, très loin mais enfin libres ?

01/2019

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Poches Littérature internation

Devouchki

Après Volia Volnaïa, Victor Remizov livre un roman initiatique bluffant sur une jeunesse russe en perte de repères. Après le succès de Volia volnaïa, Victor Remizov explore de nouveau les paradoxes d'une Russie à deux vitesses, entre campagne sibérienne et faste moscovite, pour dresser le portrait d'une jeunesse qui cherche à se construire. Aussi glaçante qu'intense, une fresque brillante où s'entremêlent les destins de deux cousines en quête de repères. A Beloretchensk, en plein coeur de l'immense Sibérie, Katia et Nastia, la vingtaine, lasses de voir leur quotidien s'embourber dans la misère, décident de quitter leur province natale pour les lumières de la capitale. Elles rêvent d'avenir, d'argent, d'amour ; elles rêvent d'amitié, de joie, de nouveauté. Mais c'est le Moscou de l'argent sale, du mensonge et de la violence qui les accueille. A peine descendues du train, les voici traquant toit, travail, nourriture, craignant à chaque minute de devoir retourner auprès de leurs familles et assumer un échec. Livrées à elles-mêmes dans une jungle urbaine d'une brutalité inouïe, les deux devouchki se verront contraintes de garder la tête froide pour éviter d'avoir à commettre le pire et de sacrifier ce qu'elles ont de plus cher : l'espoir.

01/2020

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Littérature étrangère

Devouchki

Après le succès de Volia volnaïa, Victor Remizov explore de nouveau les paradoxes d'une Russie à deux vitesses, entre campagne sibérienne et faste moscovite, pour dresser le portrait d'une jeunesse qui cherche à se construire. Aussi glaçante qu'intense, une fresque brillante où s'entremêlent les destins de deux cousines en quête de repères. A Beloretchensk, en plein coeur de l'immense Sibérie, Katia et Nastia, la vingtaine, lasses de voir leur quotidien s'embourber dans la misère, décident de quitter leur province natale pour les lumières de la capitale. Elles rêvent d'avenir, d'argent, d'amour ; elles rêvent d'amitié, de joie, de nouveauté. Mais c'est le Moscou de l'argent sale, du mensonge et de la violence qui les accueille. A peine descendues du train, les voici traquant toit, travail, nourriture, craignant à chaque minute de devoir retourner auprès de leurs familles et assumer un échec. Livrées à elles-mêmes dans une jungle urbaine d'une brutalité inouïe, les deux devouchki se verront contraintes de garder la tête froide pour éviter d'avoir à commettre le pire et de sacrifier ce qu'elles ont de plus cher : l'espoir.

01/2019

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Littérature française

Victor

"Victor" est un récit de famille. Claudie Gallay y écrit l'histoire de son grand-père, abandonné lorsqu'il était enfant, et y dresse, en filigrane et au gré des narrations familiales, le portrait fictif ou réel de son arrière-grand-père, Victor. Le texte interroge ainsi la fiction : nos souvenirs et les anecdotes transmises étant déjà une réécriture de notre propre histoire.

10/2022

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Romans policiers

Victor

Un cold case, un cas d'école comme dit le boss, Plaziat, patron du commissariat de Castéja à Bordeaux. Voilà une affaire qui date d'une vingtaine d'années où il est question de Fred et de son chat, Victor, d'une gardienne d'immeuble portugaise, Constança, d'insolites choix de vie, de gants dépareillés, de roses noires, de divinités romaines et finalement d'un assassin fantôme... en somme une histoire à rendre fou n'importe quel enquêteur ! Mais résolution il y aura, car ce serait mal connaître Anselme Viloc, le Flic de papier, ce savoyard tombé définitivement sous le charme de la presqu'île du Cap-Ferret et de ses habitants, dont la particularité est de ne jamais abandonner et de ne jamais négliger le moindre indice, aussi farfelu soit-il. En outre cette huitième enquête révèle un récit moins léger qu'il n'y paraît de par son côté philosophique à propos du libre arbitre et du déterminisme. Une sacrée énigme aux méandres hallucinants ! Un proverbe persan dit : " A l'hôtel de la décision, les gens dorment bien. Il est bientôt l'heure de payer la nuit et de quitter la chambre.

03/2024

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Littérature étrangère

Les yeux tondus. Nouvelles

L'enfant aux yeux myopes, aux yeux tondus, voit s'ouvrir devant lui le monde. Il s'interroge sur soi-même, sur son destin ; il se sent impuissant et se désespère : ses actes ont des conséquences imprévisibles et lui attirent semonces et reproches. Il sent qu'il inspire autour de lui autant de pitié que d'inquiétude ; il se croit maudit, réprouvé. Quelle faute expie-t-il ? Il l'ignore. Mais bientôt il accepte sa vocation, qui est d'aimer et aussi d'écrire : il découvre alors son vrai nom, celui de l'oiseau remiz qui, de tout, fait un chant. Ce livre de souvenirs, "le plus simple et le plus complet de Remizov, écrit Marcel Arland, la plus fidèle expression qu'il ait donnée de soi", nous apporte le portrait d'un enfant rêveur et une magistrale évocation de Moscou, bruissante du chant de ses milliers de cloches, et où nous voyons vivre l'admirable peuple russe. C'est un monde chatoyant et pur qui nous est donné, un "monde enfantin dont les habitants les plus familiers sortent des livres et des légendes, et dont la réalité même prend une figure fabuleuse". "Quels que soient l'angoisse, les plaintes et les appels de cette oeuvre, écrit Marcel Arland, point d'amertume, je n'y vois rien que de l'amour".

04/1958

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