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Valdas Papievis

Extraits

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Littérature étrangère

Un morceau de ciel sur terre

"Il aurait voulu être comme un brouillard planant sur les gens et les choses." Suite à une rupture amoureuse, un journaliste lituanien, se sentant étranger à lui-même, quitte Paris, ville prise par l'engourdissement de l'été, et décide de prendre un train pour s'enfoncer en Provence. Là-bas, logé dans un petit village, il entreprend des marches au long cours, se fond tour à tour dans la plénitude des paysages et des êtres, habité parle sentiment que "la beauté touche à sa fin", vers un chemin "où il n'avait jamais été".
Une célébration mélancolique de la nature, en quête de l'émotion originelle et du sens du grand Mystère.

02/2020

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Littérature balte

Eko

"Ces nuits-là justement la ville n'existe plus, seul un état de rêve demeure sans temps ni espace". Paris est vide. Il n'y a plus l'agitation habituelle. Une ville qui s'effondre - une métaphore de notre effondrement intérieur qui a déjà débuté. Il semble qu'en peu de temps la nature ait réussi à reprendre ses droits. Comment se repérer dans ce monde apocalyptique ? En vagabond solitaire, le narrateur croise Eko - un chien aussi solitaire que lui - rappel vivant de sa vie passée. Ensemble, ces héros se lancent à l'aventure des rues et immeubles désertés. Au gré de leurs rencontres avec ceux qui semblent "rescapés" se dessine l'espoir d'une arche de Noé... Avec mélancolie et joie, dans une suite de miroirs, la phrase de Valdas Papievis danse et fait surgir une histoire extraordinaire sur les échos du passé et d'une mémoire collective, nous menant au plus profond de nous-mêmes.

05/2023

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Histoire régionale

Valras, je t'aime

Dès 2021, Valras devient une belle nonagénaire ! Si l'histoire officielle de la commune date d'une loi de 1931, le village de pêcheurs existe depuis la période romaine, période pendant laquelle la VIIe légion romaine a fortement marqué le territoire régional par la culture de la vigne et des céréales. Le temps et l'Histoire ont fait le reste. Michel Cassan prend la plume afin d'évoquer la naissance et l'évolution de son petit village. Véritable Valrassien par ses origines et sa naissance, l'auteur relate non seulement la transformation de Valras mais également des anecdotes qui révèlent les mentalités. Avec la sincérité qui est la sienne, depuis l'intérieur de la vie valrassienne, Michel Cassan expose les raisons de son amour pour Valras-Plage qu'il souhaite partager avec le lecteur afin que celui-ci puisse également s'approprier ce titre "Valras, je t'aime".

04/2021

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Policiers

Une valda pour Cendrillon

"Cindy... Cindy doit connaître la cachette" avait murmuré le mourant. Et celui qui avait recueilli ces paroles ne rêva plus qu'à Cindy. Il ignorait si elle était jeune et belle, mais il savait qu'elle seule pouvait le conduire à l'endroit où dormaient les 60 000 dollars.

01/1985

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Critique littéraire

Georges Haldas. L'invisible au quotidien

La lecture du dossier " politique " de Georges Haldas conservé aux Archives fédérales à Berne, point de départ de cet ouvrage, a fait ressortir par contraste à l'interlocuteur de ces entretiens la vraie présence de l'écrivain. Les rapports des inspecteurs, plus il s'y plongeait, plus vain, inconsistant, lui apparaissait leur contenu. Les raisons de cette surveillance sur plus d'une quarantaine d'années ne transpiraient jamais dans les documents "officiels", qui les avait commandés, qui les supervisait?, et leur utilisation éventuelle restait inconnue. Seul régnait, reflété dans la première partie de cet ouvrage, état de meurtre, un climat de lourde suspicion à l'endroit de celui qui était considéré comme trop à gauche, donc dangereux, pendant la période de chasse aux sorcières communistes qui avait caractérisé l'après-guerre. Mais comment lui reprocher, sans tomber dans le ridicule, ses déclarations politiques qui encourageaient les hommes à se consacrer à la paix? A travers les propos rapportés par les fonctionnaires scribouillards, apparaissent avant tout les traits d'un personnage enclin à témoigner sa sympathie pour les plus défavorisés. Georges Haldas, en définitive, n'a jamais été un homme d'action mais, tout simplement, "un homme qui écrit", selon l'expression qu'il affectionne. Quelles actions retenir dès lors contre cet être inoffensif ? Par contrecoup, ce fichage absurde conduisit l'interlocuteur insensiblement à se nourrir d'éléments bien plus essentiels, abordés dans ses conversations avec Haldas. Une eau précieuse irrigua soudain le désert des lignes fixées dans les classeurs fédéraux. Elle portait la voix d'un écrivain habité par la graine qui illumine sa vie quotidienne, cherchant à créer un pont entre le dedans et le dehors des êtres rencontrés en transcrivant le plus fidèlement possible leurs résonances en lui. Ainsi se précisa peu à peu son cheminement vers l'écriture, depuis ses premiers balbutiements à la sortie du collège jusqu'à ses formes les plus abouties et qui dessinèrent les contours, sujet de la deuxième partie, état de poésie, auquel lui est indissolublement attachée la fraternité obscure des vivants. Une parole démarquée d'une surveillance policière, libre alors de ses mouvements, se développa, toute d'inspiration, de nature à rendre l'homme plus ouvert à son intériorité, à mille lieues du monde matériel qui écrase notre société assoiffée de biens de consommation. Elle prit son envol dans état de résurrection, troisième et dernière partie, pour devenir nourricière, christique, traduisant les questions fondamentales de la vie, de la mort, etc., et d'où germèrent, bien plus tard, ces entretiens, accompagnés d'extraits de textes souvent inédits, dédiés à tous ceux pour qui l'imprévisible, l'infini, l'invisible gardent un sens. Comme l'écho du miracle que constitue chaque jour pour nous tous le simple fait d'exister, sur cette planète, sans savoir pourquoi.

11/2012

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Littérature étrangère

Bel oiseau du petit matin

Deux vieux Cubains, Arsenio, un exilé proche de Batista, et son ami Elbio, qui n'a jamais quitté sa campagne cubaine, se retrouvent après de longues années de séparation. Alors qu'Arsenio a commencé à recueillir des témoignages pour étayer la thèse de sa petite-fille, consacrée à l'histoire de l'île, il vient chez Elbio continuer ce travail de mémoire collective. Les deux amis, tout en évoquant leurs propres souvenirs, s'en vont à la rencontre des Cubains, les écouter, leur rendre la parole, dans la campagne environnante, puis, poursuivant leur voyage intérieur par un périple géographique, jusqu'à La Havane. A travers ces destins et au fil des dialogues, c'est toute la mémoire cubaine que fait revivre ce livre. Traduction de l'espagnol (Cuba) par Aymeric Rollet.

11/2019

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