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Territoires : pilotes de la transition énergétique face à un nouvel ordre mondial

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La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.

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Prix des lecteurs de la ville de Lausanne 2022 : une récompense mondiale

Du 15 janvier au 15 mars 2022, les cinq romans en lice pour le Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne 2022 vous sont offerts en lecture libre. Découvrez, lisez, votez !
 

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Coronavirus : l'industrie du livre face à l'épidémie

Cela avait commencé avec quelques cas en Chine, mal recensé et des perturbations dans l’économie du pays. Et rapidement, le coronavirus est devenu l’invité tragique de l’année 2020. Les cas se sont multipliés et les décès sont survenus peu après. Avec des conséquences diverses dans l’industrie du livre, à travers le monde.

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Atlas historique mondial : l'histoire de l'humanité vue du 21e sièce

Depuis 40 ans, aucun projet d'atlas historique généraliste n'avait été réalisé. Les Arènes et la revue L'Histoire relèvent ce défi en donnant naissance au premier grand atlas historique mondial, sous la direction de Grantaloup et Patrick Boucheron. A partir de ses 500 cartes inédites, l'l’Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie (APHG) et l'éditeur réaliseront conjointement une série de vidéos autour de thématiques spécifiques. 

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Pour 2023, Un Week-end à l'est invite Tbilissi, capitale de la Géorgie

Après avoir exploré des villes telles que Varsovie, Kyiv, Budapest, Belgrade, Sofia et récemment Odessa en soutien à l'Ukraine, "Un week-end à l'Est" pose ses valises pour sa septième édition à Tbilissi, le cœur de la Géorgie. Cette année, la réalisatrice et auteure Nana Ekvtimishvili en est la marraine, avec Nino Haratischwili comme invitée principale, et un focus spécial sur l'auteur d'origine géorgienne, Emmanuel Carrère.

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Dossier

L'oiseau moqueur de Harper Lee, un chef d'oeuvre à la peau dure

L’histoire que raconte Jean Louise Finch, alors âgée de six ans, est devenue l’un des plus grands classiques de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird, prix Pulitzer Littérature 1961, un an après sa sortie, est réputé pour son humour et sa chaleur, alors qu’il traite de viol et d’inégalité raciale.

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Territoires : pilotes de la transition énergétique face à un nouvel ordre mondial

Nous savons tous désormais que les ressources de la nature ne sont pas inépuisables. Nous savons aussi que l'homme est en passe de devenir le pire ennemi de l'homme. "Nous sommes en danger permanent d'auto-destruction collective" écrivait Hans Jonas, auteur du beau livre : Le principe responsabilité. De fait, face à la mise en danger de l'avenir des enfants de demain, une question dans l'urgence se pose aujourd'hui - la précision des horloges est aussi celle des pensées : adhérons-nous au "principe responsabilité" ou au credo "Après moi le déluge. . ". ? Devant un processus inexorable - et bientôt irréversible - de destruction de la nature, la Fondation E5T fait le pari que "tous, quels que soient nos métiers, nos passions, nos idées politiques ou religieuses, nos origines, nos modes de vie, nous avons le pouvoir, la créativité, la sagesse et sans nul doute l'humilité, pour agir et apporter notre pierre à l'édifice" (Myriam Maestroni, Présidente de la Fondation E5T). Face à une mutation sans précédent, l'ambition est à la fois de mieux caractériser et comprendre l'ensemble des enjeux mais également d'ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et de contribuer à faire émerger des réponses satisfaisantes pour tous. Il s'agit encore de mobiliser dans un format innovant l'intelligence collective autour de cette nouvelle réalité, en faisant appel aux représentants des différents acteurs et parties prenantes du secteur énergétique, saisis comme nous, avec nous, de ce que la philosophe Simone Weil appelle un "sentiment de tendresse poignante pour une chose belle, précieuse, fragile et périssable".

03/2019

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Sociologie

Les territoires de la transition énergétique

Nouveaux territoires, nouveaux bouquets énergétiques, nouveaux modèles économiques, nouvelles citoyennetés, nouveaux acteurs, nouveaux équilibres entre le local et le global, etc. : la transition énergétique n'en finit pas de se négocier au pluriel selon des dimensions politiques, économiques, technologiques, environnementales, climatiques ou encore sociales. Nous avons choisi de témoigner de la diversité et de l'originalité du développement de ces transitions énergétiques en Europe à partir de trois pays européens - Allemagne, France et Royaume Uni - comparables en termes de taille, de population, de développement économique et d'influence politique. Les transitions énergétiques "en cours" sont confrontées à l'histoire des systèmes énergétiques nationaux et aux inerties qui en découlent. Elles se renégocient localement en fonction des contextes nationaux, des possibilités technologiques, y compris financières, des actions des acteurs et des expertises qu'ils mobilisent, avec en arrière fond les enjeux sociétaux actuels. Les expérimentations et les recherches présentées dans ces différents contextes nationaux permettent de prendre du recul tout en accordant une importance déterminante à la question des territoires. Chacun de ces territoires est alors envisagé en introduisant une clé d'analyse différentiant clairement le potentiel énergétique - qui évalue la capacité théorique de production d'un territoire -, l'autosuffisance énergétique réelle - souvent bien inférieure à l'autosuffisance énergétique arithmétique, qui ne prend pas en compte les caractéristiques du territoire réel -, et l'autonomie énergétique - qui renvoie à la capacité politique d'auto-organisation d'un territoire en matière énergétique. Cet ouvrage, point d'orgue d'un programme de recherche international mené pendant deux années à l'Institut d'études avancées de Paris, présente les transitions énergétiques en cours en Europe à partir d'une comparaison originale des recherches et expérimentations menées dans trois contextes nationaux différents. Il constitue en cela un outil précieux pour en saisir les complexités et les difficultés.

01/2019

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Histoire des idées politiques

Le nouvel ordre mondial

"Nous devons réaliser qu'une fédération politique sans une collectivisation économique concomitante est vouée à l'échec. La tâche du pacifiste qui désire vraiment un nouveau monde de paix, consiste en une révolution profonde non seulement politique mais aussi sociale, plus profonde encore que celle entreprise par les communistes en Russie. La Révolution russe a échoué, non par son extrémisme mais par son impatience, sa violent et l'intolérance de ses débuts, du faut d'un manque de vision à long terme et d'insuffisance intellectuelle. La révolution cosmopolite pour un collectivisme mondial, qui est la seule alternative au chaos et à la dégénérescence de l'humanité, doit aller bien plus loin que la révolution russe ; elle se doit d'être plus minutieuse et mieux conçue, et son accomplissement requiert un objectif bien plus héroïque et inébranlable." H.G. Wells, Le Nouvel ordre Mondial, 1940.

02/2021

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Développement durable-Ecologie

Coopération, gouvernance, territoires et transition énergétique

Les nouveaux systèmes énergétiques qui se mettent en place dans le cadre de la transition énergétique nécessitent plus de coopération, plus de partenariats entre des partenaires de statuts plus variés (entreprises publiques, privées, coopératives, ...), et plus de coordination pour une gestion efficace des réseaux. Les collectivités locales y ont un rôle croissant à jouer et se sont d'ailleurs vu déléguer de nouvelles compétences en matière énergétique. Les textes rassemblés dans ce livre analysent les nouvelles configurations technico-institutionnelles qui articulent l'action de nombreuses parties-prenantes, tant au Nord qu'au Sud, et nécessitent de ce fait une gouvernance renouvelée et complexe. Sur tous les territoires, que ce soit en Savoie ou au Sénégal ou à Grenoble, en Europe ou en Afrique, la transition énergétique mobilise des acteurs diversifiés et impose de renouveler les formes d'actions. Ces mutations nécessitent de nouvelles formes de coopération et de gouvernance. Sont tour à tour évoqués le rôle que peuvent jouer les Communes, les Communautés de communes, les Métropoles, mais aussi des coopératives, des ONG, des fondations d'entreprise, etc. et les coordinations qui se mettent en place dans le cadre de PTCE, de SCIC, de PACET, et autres plans d'action. Les contraintes techniques, avec la nécessité de mettre en place des smart grids, contribuent également à cette incontournable redistribution des rôles.

12/2017

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Esotérisme

Le nouvel ordre mondial démasqué

L'expression "Nouvel ordre mondial" voit le jour en 1914, sous la plume de l'écrivain. H.G. Wells. Ce dernier, dans son roman La Destruction libératrice, imagine une guerre planétaire poussant l'humanité à accepter un Etat mondial. Du chaos devait surgir le Nouvel ordre mondial. Ainsi que l'a souligné, le politologue Pierre Hillard, exhumant un autre livre de Wells (Le Nouvel Ordre mondial, paru en 1940), on reconnaît là le concept maçonnique. : "ordo ab chao". Wells s'est révélé prophète. Ou plutôt il a exposé ; à destination des profanes, le plan qui était déjà en cours d'exécution. De fait, chacune des grandes catastrophes que furent les deux guerres mondiales déboucha sur une avancée décisive dû projet mondialiste, avec la Société "des Nations, (1919), puis avec l'Organisation des Nations unies (1945). La Guerre froide (1947-1991) et la menace qu'elle faisait peser servirent à ordonner toujours plus étroitement les nations "libres" au grand dessein supranational. L'effondrement du Bloc Soviétique, loin de provoquer le retour à l'ordre ancien, constitua un nouveau"bond" en avant pour le mondialisme, chaque crise internationale, chaque menace pesant sur la sécurité des biens et des personnes, étant exploitée pour resserrer les liens, ainsi que le président américain George Bush en fit l'aveu en 1991 : "La crise dans le golfe Persique, malgré sa gravité, offre une occasion rare pour s'orienter vers une période historique de coopération. De cette période difficile, notre cinquième objectif, un nouvel ordre mondial, peut voir le jour". Quel est-ce Nouvel Ordre mondial ? C'est la question à laquelle Cyril Leysin répond dans le présent ouvrage. Ce nouvel ordre, qui ne se réduit pas aux structures supranationales visibles édifiées depuis 1919, constitue une. gigantesque entreprise de mainmise sur l'ensemble des activités humaines (économie, information et culture, sciences et techniques) et jusque sur la transmission même de la vie. Ce nouvel ordre, démasqué ici par l'auteur, est en réalité le grand oeuvre sur lequel planchent depuis longtemps les sociétés secrètes, qui ont progressivement mis la main sur toutes les instances de pouvoir et travaillent à l'édification d'une gouvernance universelle pour le "fils de perdition".

12/2019

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Sciences politiques

Le déluge 1916-1931. Un nouvel ordre mondial

Dans ce nouvel opus, Adam Tooze décrit et analyse les changements essentiels survenus pendant et après la Première Guerre mondiale - le plus important, qui constitue le thème principal du livre, étant l'accession des Etats-Unis à une position de suprématie économique, politique et morale sans précédent. Première économie mondiale, l'Amérique devient à partir de 1916 le "banquier" de la guerre, animée, selon l'auteur, par le dessein très clair d'exercer son hégémonie financière sur les pays de l'Entente devenus dépendants de ses prêts. Avec la disparition de ses empires naguère dominants au profit du grand empire américain et de sa prééminence économique et militaire, l'Europe se trouve ravalée au rang de "province" ; en 1918, le Président Wilson est en mesure de jouer le rôle d'arbitre du nouvel ordre mondial auquel il aspirait en imposant la paix au monde entier, avec son projet fétiche et idéaliste de Société des Nations. Pourtant, quand vient le moment d'endosser concrètement sa position de leader mondial, l'Amérique recule : le Congrès américain ne ratifie pas le traité de paix ; Washington n'intègre pas la Société des Nations. Selon l'auteur, les Etats-Unis n'ont pas encore atteint la maturité démocratique nécessaire pour assumer leurs responsabilités. Il faudra attendre une génération, sous les présidences de Roosevelt et Truman, pour que ce soit le cas. Une fois le traité de Versailles signé par l'Allemagne, une seconde guerre était-elle inévitable ? L'insistance des Alliés pour obtenir des réparations (et celle des Etats-Unis pour obtenir le remboursement des dettes de guerre) contribua-t-elle à l'échec de la République de Weimar ? Deux questions essentielles auxquelles l'auteur répond par la négative. A la fin des années 20, les Européens étaient en chemin vers un retour à la normalité, et des hommes d'Etat tels G. Stresemann en Allemagne et A. Briand en France travaillaient patiemment à une consolidation des liens qui déboucherait sur la CEE dans les années 50. Mais alors qu'en 1928, Hitler et Trotski désespéraient de voir un jour la chute de l'ordre capitaliste, l'année suivante, la faillite de Wall Street déclenchera une nouvelle série d'événements qui entraîneront la sortie de la Grande-Bretagne de l'étalon-or en 1931 et plongeront l'Allemagne dans le chaos économique et politique. Ceci étant, Adam Tooze récuse la vision, défendue par certains historiens modernes, de l'entre-deux-guerres comme d'une période où l'Europe renoua avec ses démons passés et rejeta le libéralisme démocratique au profit de l'autocratie et du fascisme. Pour lui, les principales nations d'Europe et d'Asie luttèrent alors pour s'adapter à la modernité et à la géopolitique moderne, s'acheminant tant bien que mal vers la création d'une structure qui garantirait la sécurité internationale - sans parvenir, au final, à couper sur le plan financier, le cordon avec Washington. De manière générale, l'auteur n'hésite d'ailleurs pas à s'inscrire en faux par rapport aux récits conventionnels de la période (il montre aussi que ce n'est pas le traité de Versailles mais celui de Washington, en 1922, qui scella le nouvel ordre mondial régi par la suprématie des Etats-Unis).

10/2015

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