Terminus Garabit

BONNES FEUILLES - « Ce roman en trois mouvements fait suite aux Amours Diplomatiques, qu’il complète et termine. Les deux livres et les six récits qui les composent n’en constituent, idéalement, qu’un seul. 

Rencontre avec
Emmanuel Grand

à l’occasion de la sortie de son premier roman
Terminus Belz
(éditions Liana Levi)

La librairie parisienne Terminus Polar a diffusé un appel à ses clients les plus fidèles et aux amateurs de littérature noire plus généralement. Cet établissement propose «  livres pour adultes, ados et enfants, des bandes dessinées, des revues spécialisées ». Située dans le XIe arrondissement, est la première à ne se consacrer qu'à ce genre, après un déménagement, l'an passé.

Jean-Luc BizienJustin Case – Terminus New York City

Emmanuel Grandl'île bretonne de Belz.Groix

Le prix SNCF du polar (catégorie roman) a été attribué à Emmanuel Grand pour son roman Terminus Belz. Le livre, au départ publié chez Liana Levi en 2014, a eu une seconde vie puisqu’il est maintenant présenté aux éditions Points. Ce n’est pas le seul à avoir été récompensé. Après 32.000 votes comptabilisés, trois lauréats sont sortis du lot : l’écrivain Emmanuel Grand, donc, l’auteur BD Fabcaro (catégorie BD) et le réalisateur Greg Ash (catégorie court-métrage). Ce prix est remis depuis 2000. 

La saga familiale connaîtra son ultime rebondissement : entamée en 1985 avec Au bonheur des orgres, l'histoire des Malaussène – la mère et ses enfants – se conclura en janvier 2023 avec un titre sans équivoque, Terminus Malaussène. Sauf à considérer que la tribu se soit lancée dans le rail ou les arrêts de bus...

La mauvaise foi allemande taillée par l'ironie

Les Éditions Liana Levi sillonnent le Grand Ouest et mettent à l'honneur, dans le cadre de la prochaine rentrée littéraire, à la fois un polar et un premier roman, Terminus Belz d'Emmanuel Grand. 

L'écrivain Antoine Volodine a remporté, mardi, le prix Médicis avec son roman Terminus radieux (Seuil, 616 pages, 22 €), rapporte l'AFP. Cette fresque post-apocalyptique a su retenir l'attention du jury qui couronne ainsi un auteur dont les livres ne brillent pas souvent par leur optimisme.

De nombreux manuscrits de Jack Kerouac ont été perdus, ou non terminés et parmi eux, The Sea is My Brother, un inédit écrit durant ses années de marine marchande, un peu avant la Seconde Guerre mondiale.

L'éditeur Le Tripode, qui a publié 6 de ses livres et fera paraitre Terminus Berlin le 14 février 2019, annonce la mort de l'écrivain Edgar Hilsenrath, né en Allemagne en 1926. À l'origine d'une œuvre fascinante, extrêmement drôle malgré son tragique, Hilsenrath écrivait « pour se débarrasser l’âme » : « L’écriture est une libération pour moi », estimait-il.

Pendant les vacances, il est toujours difficile de faire réviser efficacement ses enfants. Les bons vieux cahiers de vacances sont souvent commencés mais rarement terminés. Pour arriver à dépasser les réticences des plus jeunes, il faut proposer un ouvrage où le ludique ait la part belle.

Soirée faste hier à l'hôtel d'Aubusson, où les éditions du Seuil célèbraient l'obtention plus tôt dans la journée du Goncourt 2014, remis à Lydie Salvayre. Une auteure fidèle de la maison depuis 1993, et un ouvrage, Pas Pleurer, qui vient couronner une carrière, selon l'avis de tous. L'année fut plutôt riche en prix pour la maison du groupe La Martinière, puisque, quelques jours auparavant, Antoine Volodine recevait le Médicis pour Terminus Radieux.

Apple vient d'annoncer le lancement de nouvelles options sur l'iBookstore afin de permettre aux éditeurs de rechercher des solutions à leurs problèmes. Parmi elles, un numéro est mis à disposition pour appeler directement un standard. Ainsi, terminés les formulaires tout prêts et les attentes sans fin aux questions, Apple a décidé de prendre soin de la qualité des futurs livres publiés.

Eindstation Auschwitz : Mijn verhaal vanuit het kamp (1943-1945) a été écrit par Eddy de Wind, un juif hollandais déporté à Auschwitz. Considéré comme le seul témoignage complet écrit entre les murs du plus grand camp d’extermination, l’ouvrage vient d’être publié pour la première fois dans plus d’une dizaine de langues. En France, le livre est sorti le 9 janvier 2020 sous le titre de Terminus Auschwitz d’après la traduction de Marie Hooghe chez Michel Lafon. 

Après la houle de l’océan atlantique et les pêcheurs désenchantés et usés d’une petite île bretonne (Terminus Belz), voici Wollaing, ancienne ville industrielle du nord de la France autrefois prospère, aujourd’hui décatie et en friches, sinistrée par le chômage, les trafics en tous genres, l’alcool et l’ennui. « Des grappes de toits bruns, des haies de thuyas taillées au cordeau, des barrières blanches rappelaient que des hommes vivaient là, parce qu’il faut bien vivre quelque part. »

Odile Cornuz explore l’écriture sous diverses formes : radiophonique, théâtrale, narrative, poétique, performative, analytique… et mêle les genres avec allégresse. Elle propose des lectures de ses propres textes et participe à divers dispositifs de lectures interactives (Bal littéraire, Jukebox littéraire). À ce jour sont publiés Ma ralentie (2018), Pourquoi veux-tu que ça rime ? (2014) et Biseaux (2009) chez d’autre part ainsi que Terminus et Onze voix de plus (2013) à L’Âge d’Homme. Fusil est son premier roman.

Commencée en 2013, la rénovation du musée Arthur Rimbaud est terminée. Il a réouvert le 20 octobre, date anniversaire de la naissance de Rimbaud. Il avait déjà réouvert fin juin, mais les travaux n'étaient pas encore tout à fait terminés. Depuis fin octobre, on peut de nouveau visiter les locaux de l'ancien moulin de la cité ducale, qui abrite le musée Arthur Rimbaud depuis 1969. 

Parfois, un auteur juge qu'il est bon que son livre adopte la forme la plus proche du sujet qu'il évoque : une approche qui ne recule parfois devant rien... Le photographe Gábor Kasza, basé à Budapest, a travaillé sur les immeubles de béton qui n'ont jamais été terminés, et restent comme des géants blessés dans le paysage... Son livre de photographies se présente ainsi avec une couverture en béton.

C'est connu : lire permet de vivre plusieurs vies, à travers les aventures des personnages de romans. Mais une étude menée par des chercheurs de la Yale University’s School of Public Health assure que la lecture permet aussi de vivre plus longtemps, tout simplement. En moyenne, 30 minutes de lecture quotidienne permettraient de gagner 2 ans de vie. Pour finir tous ces livres jamais terminés qui traînent sur les étagères ?

Les débats autour des répercussions de l'affaire Weinstein et de la libération de la parole des femmes sur les réseaux sociaux sont loin d'être terminés. Margaret Atwood, auteure de La servante écarlate, publié en 1987, mais redevenu un succès d'édition récemment, a signé une tribune pour s'interroger sur l'appellation « Mauvaise féministe ». Sur les réseaux sociaux, Atwood a été qualifiée ainsi après avoir commenté une affaire de dénonciation calomnieuse.

Lettre ouverte à celui que l'on croyait un peu éternel

Depuis le Festival d'Angoulême, l'auteur Jean-Yves Ferri et l'illustrateur Didier Conrad ont annoncé la publication du prochain album d'Astérix. Le scénario et et le crayonné des dessins sont terminés, et la BD devrait paraître le 22 octobre 2015 en librairies. La trame n'en a pas encore été dévoilée si ce n'est que ces aventures se déroulent en Gaule, dans un célèbre village d'Armorique qui n'a jamais véritablement cédé face à l'expansion romaine.

Le Prix de la Page 111, récompense créée en 2011 par l'équipe de l'émission littéraire « Nova Book Box » de Richard Gaitet, est un prix un peu spécial. Il couronne un livre de la rentrée littéraire sur sa seule page 111, ce qui facilite, et en même temps complique, le travail des jurés. Antoine Volodine a gagné un agrandissement de sa page, une résidence permanente tout au long de l'année dans l'émission, ainsi que 111 bisous.

A dix mètres de moi, il y avait sur le trottoir une vieille dame aux cheveux gris et frisés; le visage épaissi d'une mauvaise graisse très blanche. Ses lunettes étaient bordées de fer et lui donnaient, ce fut mon impression immédiate, la figure d'une vieille des années soixante, d'une vieille concierge plus exactement, vivant chichement dans sa loge, curieuse de tout et mauvaise langue. Elle venait d'embrasser sa fille âgée d'une quarantaine d'années, blonde, cheveux filasse qui, sitôt les adieux terminés, s'est éloignée d'un pas pressé.

Ils seront donc 10 à concourir pour le Grand Prix du roman, récompense littéraire qui sera remise le 30 octobre prochain. Dix titres, dont certains se retrouvent dans d'autres listes, comme le roman d'Adrien Bosc, qui fera un tour sur le plateau de Laurent Ruquier ce week-end. Retenu pour le prix de Flore, il fait figure de petit chouchou de la presse, et a déjà reçu le prix jeunes talents de Cultura.

La valse des prix se poursuit avec la sélection Médicis, qui présente cette année 13 romans français et 15 ouvrages étrangers, dont deux seulement seront retenus pour le 4 novembre. La prochaine sélection sera présentée le 9 octobre, et l'on attendra le 28 octobre pour découvrir la sélection des essais. 

Six oeuvres ont été retenues pour le prix 2014 des Maisons de la Presse, qui sera remis le 21 mai au Centre national du livre. Son président, Philippe Labro, écrivain, réalisateurs et homme de médias autant que de chansons aura la lourde tâche de sélectionner, avec son jury, l'une des six oeuvres. Et les oeuvres retenues sont les suivantes : 

Les éditions Emmanuel Proust ont publié ces derniers temps Do Androids Dream of Electric Sheep en cinq volumes. Cette adaptation de l'oeuvre de Philip K. Dick a été découpée en plusieurs parutions dont la dernière est sortie le 21 mars dernier. Rappelons également, pour les plus jeunes et les autres, que c'est de ce roman qu'a été tiré le film Blade Runner...