Russie économie criminali

« L'année 2012, proclamée Année «France-Russie 2012, Langues et littérature» sera-t-elle celle de la disparition d'une des dernières librairies russes de France ? » La question est durement posée, mais la librairie du Globe est aujourd'hui dans une situation particulièrement inconfortable. 

Ansel Elgort et Chloë Grace Moretz incarnent les deux têtes d'affiche de November Criminals, une adaptation du roman de Sam Munson, publié en France par Hachette Romans dans une traduction de Noam Cochin. Réalisé par Sacha Gervasi, le film sera disponible en DVD le 17 janvier prochain.

UkraineUnderAttack – Après le début de la guerre en Ukraine, le PEN international publiait une lettre signée par plus de 1000 auteurs condamnant l’invasion de la Russie. Au début du mois de mars, l’Institut du livre ukrainien lançait un appel clair sur les réseaux sociaux, intitulé « Boycott total des livres venant de Russie à travers le monde ». Quelques semaines plus tard, Eksmo, l’un des plus gros acteurs du livre russe tire cependant la sonnette d’alarme dans une lettre ouverte. 

Amazon a commandé une série adaptée du comics Criminal pour son service de streaming Prime Vidéo. Les créateurs de la bande-dessinée, Ed Brubaker (scénariste) et Sean Phillips (illustrateurs), en seront les producteurs exécutifs. Le premier a aussi participé à l'écriture de l'épisode pilote et co-dirigera la série avec l'auteur Jordan Harper.

Depuis quelques mois, les créateurs de comics, outre-Atlantique, se tournent vers Substack : cette plateforme donne la possibilité de créer sa lettre d'information payante, de manière simple et rapide. Plusieurs auteurs y ont désormais recours, proposant des bandes dessinées, en feuilleton, et reprenant ainsi le contrôle sur une partie de leur diffusion. Chip Zdarsky leur emboîte désormais le pas.

ESSAI – Génie ou visionnaire, ou tout bonnement pourfendeur des temps modernes, sans pour autant se prévaloir de la figure mythique du héros ; le personnage demeure inclassable à bien des égards, voire parfois irritant et dérangeant. Il est partout, là où on l’attend le moins en agitant comme une fée de bon augure sa sempiternelle baguette magique.

À l’heure où les relations avec la Russie se tendent, sous fond de crise ukrainienne, l’homme de théâtre Jean Winiger évoque le pays sous forme d’une fiction documentée. Histoire d’une passion amoureuse malheureuse, le livre décrit également un pays morcelé, fracturé. Par Étienne Ruhaud.

Depuis 2010, le Prix lycéen « Lire l'Économie » vient récompenser un ouvrage d'économie parmi ceux parus au cours de l'année civile. Pour l’édition 2015, trois livres ont été sélectionnés : Les ennemis de l'emploi, de Pierre Cahuc et André Zylberberg (Flammarion), Un nouveau monde économique - Mesurer le bien-être et la soutenabilité au XXIème siècle, d’Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux (Odile Jacob) et Les clés de la puissance, de Jean-Louis Beffa (Seuil).

« Wow », « bang », « crash », les onomatopées à l'anglaise sont « antipatriotiques » et devraient être évitées dans les bandes dessinées russes. Un groupe de traducteurs à l'origine de cette déclaration a ainsi contacté l'Institut de langue russe Vinogradov, et a élaboré une liste d'onomatopées pour pallier ce gênant problème de traduction.

Dans son ouvrage le plus récent, Christian Garcin nous livre le récit de ses pérégrinations en Russie. L'auteur a entrepris de suivre le cours du fleuve Ienisseï, de Krasnoïarsk à son embouchure dans l'Arctique. Au programme : d'anciens goulags, des cités minières, des villes-usine. Un panorama de l'ennui, de l'abandon et de la monotonie qui règnent. Mais quelques moments de grâce aussi parsèment Ienisseï (Verdier) : un concert imprévu à Ienisseïsk par exemple. 

Les grands chefs d'État ne passent pas tous leur temps à se muscler le périnée. Certains consultent également des voyants, marabouts et autres devins. La chose n'est cependant pas réservée aux politiques : le vulgum pecus aime aussi consulter des voyants.

L'Université Paris-Dauphine vient de publier la dixième édition de son baromètre trimestriel de l'économie numérique, réalisé avec Médiamétrie, sur les attentes et comportements des Français dans le domaine de l'économie numérique. Cette dixième édition porte tout particulièrement sur l'enseignement numérique réalisé à l'appui des nouvelles technologies, en classe ou à distance.

A l’origine, il y a l’association plutôt curieuse entre Yoram Bauman, économiste américain adepte du stand-up, et l’illustrateur Grady Klein. Il en est ressorti deux albums BD pour expliquer l’économie, dans sa dimension microéconomique pour le tome 1, et dans la dimension macroéconomique dans le tome 2.

Du jeudi 13 au samedi 15 novembre 2014 se dérouleront les Journées de l’économie à Lyon. Pour cette nouvelle édition, « Le progrès social a-t-il un avenir ? » est la problématique qui a été retenue pour alimenter les débats.

La 15e Journée du Livre d'Economie aura lieu au Ministère de l'Economie et des Finances le jeudi 12 décembre 2012. Organisée par l'Association Lire l'Economie, présidée par Luce Perrot, en partenariat avec le ministère de l'Economie et des Finances, cette journée est un lieu de rencontres et de débats ; cette année, autour du thème Quelle croissance demain ?

De plus en plus de transactions se font de façon dématérialisée. C’est parfois assez déconcertant, surtout pour les anciennes générations, qui n’ont pas été habituées à un univers où la virtualité est largement plébiscitée. Il convient alors de se documenter, aussi, pour mieux comprendre quelles évolutions majeures sont en train de se jouer sous nos yeux.

BONNES FEUILLES - Dans une démarche philosophique qu'il a entamée depuis trois décennies, Rémi Brague explore le rapport complexe entre Dieu et le monde selon la vision chrétienne. En résumé, cette relation entre le Créateur et sa création est marquée par le concept de « providence », selon lequel Dieu fournirait à chaque être les moyens de se débrouiller de façon autonome. 

Rencontres / Débats - Jeudi 1 mars 2012 à 20h00 - A la librairie

La 3ème édition des Journées européennes du livre russe et des littérature russophones de cette année se tiendront à l'espace André-Maigné du Kremlin-Bicêtre, le 28 janvier de 10h à 20h.

L'action ne provient pas d'un mouvement Anonymous georgien, mais cela pourrait bien y ressembler. En effet, le site Wikipédia a fermé sa version russe mardi dernier pour protester contre le projet de loi russe liberticide examiné le même jour au parlement. 

Aujourd’hui, le marché de l’édition en Russie est particulièrement dynamique, grâce à une période de restructuration interne qui lui a été très favorable et a permis un élargissement de sa présence à l’étranger. (via Publishers weekly)

Après les tracasseries financières que Plastic Logic a pu connaître au cours de ces derniers mois, une bonne nouvelle vient d'arriver, avec un apport de fonds d'une société russe.

Une écorce sculptée retrouvée en Russie

En présence du président de la République Valery Giscard d'Estaing et du ministre de l'Économie, Emmanuel Macron, le ministère du même nom accueillait hier la remise du prix du livre d'Économie. Une circonstance épatante, puisque le premier fut nommé ministre de l'Économie, à l'âge de 36 ans, celui, précisément de l'actuel ministre.

A Athènes, les rues sont désormais emplies de spectres, Florange, la cité minière est orpheline de ses usines et El Quiñon, ville nouvelle conçue pour accueillir des milliers d'habitants reste déserte. Christos Chryssopoulos, Jean Portante et Anthony Poiraudeau, invités du festival Littérature et Journalisme, ont en commun d'aborder la crise européenne à travers les traces qu'elle laisse dans les villes ou comment l'économie libérale ravage le paysage….

AVANT-PARUTION – Édouard Dumortier, fondateur de la start-up nantaise AlloVoisins, revient à travers son premier ouvrage Le futur de l’économie collaborative, sur les limites de notre modèle économique traditionnel. Il évoque aussi l’accélération de l’économie collaborative à l’heure de la crise sanitaire et économique. 

La formule de Marc Andreessen a fait des ravages : « Pourquoi les logiciels ont mangé le monde ? » Concise, fulgurante, cette conclusion observait tout simplement le mouvement en cours. Les start-ups montées sur internet dévorent littéralement la toile, et notre quotidien. Dévorent, ou facilitent, c’est selon, mais explorent la Share Economy, l’économie du partage. Sauf que, qui partage quoi ? 

Cette année, le Forum d'Avignon s'intéresse aux pouvoirs de la culture, et, indéniablement, la collecte et l'exploitation des données personnelles et autres data est devenu une activité indispensable à un commerce culturel couronné de succès. Une étude du cabinet EY étudie la façon dont ces données sont collectées, et pourquoi les « worthy data », autrement dit les données culturelles, valent de l'or.