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Robin Renucci, Bernard Stiegler

Dossiers

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Bernard Minier

Bernard Minier est un auteur de thrillers et de romans policiers français né en 1960 à Béziers (Hérault), dont les romans sont caractérisés par des intrigues sombres et complexes, une grande précision dans la description des environnements naturels et des personnages qui explorent les recoins les plus sombres de leur âme. 

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Dossier

L’Assassin royal : la fantastique saga de Robin Hobb

Pour George RR Martin, elle imagine « de la fantasy, telle qu’elle devrait toujours être écrite ». Écrivain majeur, Robin Hobb a démontré la richesse de son univers, de ses personnages et, surtout, a révolutionné un genre ronronnant depuis Tolkien. Suffisait-il de se débarrasser des elfes et autres trolls ?

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Dossier

Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Dossier

Les livres et poèmes de Christian Bobin

Christian Bobin est un écrivain et poète français né le 24 avril 1951 à Le Creusot, en Saône-et-Loire. Il est particulièrement connu pour son style d'écriture poétique et méditatif, qui explore souvent des thèmes tels que la nature, l'amour, la beauté, et la spiritualité.

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Dossier

Terres de Paroles 2024 : “Dans le bain du monde”

« Rien de tel qu’un enfant pour vous mettre dans le bain du monde », écrivait Christian Bobin, dans son recueil Tout le monde est occupé (éd. Mercure de France, 1999). Pour cette nouvelle édition itinérante en Seine-Maritime, le festival Terres de Paroles renoue avec littérature, théâtre, cinéma ou encore musique. 

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Dossier

La Foire du Livre de Londres 2023, au croisement des secteurs culturels

Rendez-vous annuel du secteur du livre, la Foire de Londres renoue définitivement, en 2023, avec les réunions, rencontres et autres conférences « en présentiel ». L'événement entend aussi renforcer la place des autres industries culturelles, pour favoriser les échanges et les transactions.

Extraits

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Ouvrages généraux

Amitiés de Bernard Stiegler

Bernard Stiegler écrit : "Ce que j'aime, je l'aime sans limites, sans condition : je ne peux l'aimer que de manière (fantasmatiquement) illimitée. Ce que j'aime et ceux que j'aime, vous, c'est-à-dire nous en tant que nous sommes susceptibles de former un nous, tout cela je l'aime et je les aime et je vous aime infiniment [...] faute de quoi il n'y a pas de nous possible." Ici sont rassemblés douze témoignages d'amitié, sans aucune exhaustivité ni exclusivité, sans brevets de compétence ni d'expertise. Non pas des travaux sur l'oeuvre mais des réponses à celui qui intitulait une conférence : Veux-tu être mon ami ? parce que cette question signifiait pour lui le début de ce qu'il nommait "l'avenir du nous."

04/2021

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Théâtre

S'élever, d'urgence !

Jusqu'à quand le dogme libéral consumériste peut-il conduire l'humanité dans l'impasse ? Là où la civilisation grecque avait affirmé la capacité de l'homme à être auteur de soi, de ses actes, de son destin, le capitalisme l'a ramené à ses pulsions animales. Et a peu à peu détruit la plus haute faculté de l'homme, celle de symboliser. La vive conversation que mènent l'acteur Robin Renucci et le philosophe Bernard Stiegler, nourrie des échanges soutenus qu'ils entretiennent depuis plusieurs années, fait cheminer l'histoire occidentale des idées, du récit grec fondateur au récit libéral porté sur les fonts baptismaux par Adam Smith. Ils en appellent à une nouvelle économie des échanges par le partage des savoirs et à l'urgence de renouer avec l'élévation de l'individu, par la maîtrise d'une langue productrice de symboles. Ils réhabilitent des notions essentielles : l'amateur, l'auteur, la singularité, la transmission, l'artisan...

06/2014

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Théâtre

Bâtisseurs & artisans. Jean Vilar et Antoine Vitez, Jack Ralite et Robin Renucci

Deux figures pionnières du théâtre public, Jean Vilar et Antoine Vitez, un héritier, Robin Renucci, un homme politique complice, Jack Halite. Quatre hommes des XXe et XXIe siècles, un engagement commun : celui du théâtre public, d'un théâtre populaire et exigeant. Bâtisseurs et artisans, chacun à leur époque, chacun à leur manière. Partant de son adaptation théâtrale pour Robin Renucci de l'ouvrage écrit par Jack Halite (Complicités avec Jean Vilar et Antoine Vitez) et de conversations menées en 2013 avec Jack Halite et Robin Renucci, Evelyne Loew livre un texte alliant théâtre et récit, témoignage et analyse. Viennent s'entrecroiser des moments de l'histoire du Théâtre National Populaire, de la Comédie-Française, du Théâtre de la Commune d'Aubervilliers, des états généraux de la culture, de l'ARIA en Corse, des Tréteaux de France. Aventures nourricières dans lesquelles se dessinent le rôle du théâtre dans la société, l'implication des artistes, la place de l'imaginaire dans nos vies. Une touche d'impossible, selon la belle expression de Jack Halite.

07/2013

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Revues

Etudes digitales N° 9, 2020-1 : Capitalocène et plateformes. Hommage à Bernard Stiegler

Contributeurs : Julien Bellanger, Philippe Béraud, Annie Blandin, Armel Campagne, Fabien Colombo, Franck Cormerais, Gérard Dubey, Fabrice Flipo, Jean-Paul Fourmentraux, Michal Krzykawski, Gerald Moore, Jason W. Moore, Jean-Max Noyer, Maxime Ouellet, Marc-Antoine Pencolé, Vincent Puig et Paolo Vignola.

05/2021

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Philosophie

La technique et le temps. La faute d'Epiméthée ; La désorientation ; Le temps du cinéma et la question du mal-être suivi de Le nouveau conflit des facultés et des fonctions dans l'Anthropocène

L'objet de cet ouvrage est la technique appréhendée comme horizon de toute possibilité à venir et de toute possibilité d'avenir. La technique constitue ce que l'on a pris l'habitude d'appeler l'humanité — et cependant, tout aussi bien et tout aussi constamment, la technique destitue cette humanité "trop humaine", ne lui donnant son temps qu'en le lui retirant. Cette question paraissait encore seconde lorsque Bernard Stiegler en esquissa les premières formulations à l'aube des années 1980. Aujourd'hui, elle traverse tous les débats qui se tiennent anxieusement dans l'Anthropocène, quant au changement climatique, quant au transhumanisme, etc. Son énormité s'impose à tous. Le temps présent est emporté dans les tourbillons de processus dont les principes dynamiques et les tendances demeurent obscurs, et qu'il faut s'efforcer de rendre intelligibles — en vue aussi d'une "nouvelle sensibilité". L'emportement du temps est d'autant plus paradoxal que, tandis qu'il devrait ouvrir à l'évidence d'un avenir, jamais l'imminence d'une impossibilité à venir n'a semblé si grande. Le système technique mondial repose désormais intégralement sur les technologies numériques, qui marquent une immense rupture — et rouvrent la question de l'ubris : celle de la démesure — en ce que ces technologies permettent une exploitation systématique de la mémoire, des comportements, des processus de décision, bref de la conscience individuelle et collective. Le fait historique qu'il s'agit de penser est celui de l'industrialisation de l'esprit. C'est à introduire une pensée nouvelle de ces transformations — inspirée autant par l'archéologie et l'histoire des techniques que par la phénoménologie et sa dé-construction — qu'auront été consacrés les trois premiers tomes de La technique et le temps. Penser la technique est une tâche de longue haleine, dont il faut avertir de la difficulté et de la nécessité : à son origine même et jusqu'à maintenant, la philosophie a refoulé la technique comme objet de pensée. La technique est l'impensé. Penser la technique, c'est requalifier le projet philosophique en son entier, et par voie de conséquence, les rapports à la technique de toutes les formes de savoirs. De La technique et le temps, Jacques Derrida avait annoncé : "Voici une thèse qui fera date."

10/2018

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Philosophie

La télécratie contre la démocratie. Lettre ouverte aux représentants politiques

La télécratie qui règne désormais en France comme dans la plupart des pays industriels ruine la démocratie: elle remplace l'opinion publique par les audiences, court-circuite les appareils politiques et détruit la citoyenneté. La télévision et l'appareil technologique qui la prolonge à travers les réseaux numériques de télécommunication sont en cela devenus le premier enjeu politique. A travers ce que l'on appelle les industries de programmes, c'est la relation politique elle-même qui est devenue un nouveau marché, et ce marketing confine aujourd'hui à la misère politique: au cours de la dernière décennie, l'appareil télécratique a développé un populisme industriel qui engendre à droite comme à gauche une politique pulsionnelle, et qui semble conduire inéluctablement au pire. Ce devenir infernal n'est pourtant pas une fatalité. La philosophie se constitua à son origine même contre la sophistique: celle-ci, par une appropriation abusive de l'écriture, développait une gangrène qui menaçait de guerre civile la cité athénienne. De cette lutte contre les tendances démagogiques de la démocratie grecque résultèrent les formes de savoirs qui caractérisent l'Occident. Prônant un nouveau modèle de civilisation industrielle, cet ouvrage affirme qu'un sursaut démocratique contre les abus de la télécratie est possible, et appelle l'opinion publique française et européenne à se mobiliser contre la dictature des audiences.

10/2008

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