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Renée Massip

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Memento mori : pour 2024, les Imaginales invoquent la vie et la mort

Nichée dans le massif des Vosges, la Cité des Images d'Épinal mène des projets de plus en plus ambitieux pour promouvoir l'image populaire et ses manifestations contemporaines sur son territoire. Parmi les événements phares, le festival des Imaginales, associé depuis l'année dernière à la Fête des Images, occupe une place centrale.

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Dossier

Les libraires font l'actu, l'information par les livres

Rendre aux libraires la parole, rappeler qu’ils sont au cœur des livres quand il s’agit de conseils de lectures, voici tout l’objet de notre dossier. Menée en collaboration avec Kube, producteur de box littéraires, qui sont réalisées en partenariat avec des libraires, cette rubrique entend apporter un double éclairage.

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Dossier

Banquet pour tout le monde : Astérix et Obélix ont 60 ans

Les deux Gaulois les plus célèbres du 9e art fêtent, en 2019, leur 60e anniversaire : le 29 octobre 1959, le scénariste René Goscinny et le dessinateur Albert Uderzo présentent au monde un petit Gaulois, accompagné par son ami, plus... enveloppé. Rapidement, les deux héros deviennent les figures majeures du journal Pilote.

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

Le Prix Interallié

Créé en 1930, le Prix Interallié fait partie des fameux prix de la rentrée littéraire : il est remis chaque année, au cours de l'automne, à un roman français. Le prix n'est pas doté financièrement, et il est décerné au sein du Cercle de l'Union interalliée, cercle social parisien fondé en 1917.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Boris Vian

Né le 10 mars 1920, Boris Vian fut un artiste touche-à-tout, dont la variété des modes d'expression n'est égalée que par le nombre de ses pseudonymes : Vernon Sullivan, Bison Ravi, Odile Legrillon, Gilles Safran, Boriso Viana ou encore Claude Varnier. Outre ses romans, comme J'irai cracher sur vos tombes ou L'Écume des jours, a signé des poèmes, des essais, des scénarios de films et a même enregistré des chansons.

Extraits

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Littérature française

Belle à jamais...

Une jeune femme prénommée Victoire est appelée auprès d'une tante parce que celle-ci va mourir et que, dans le hameau où elle habite, elle n'a pour tout secours que son mari, vieil homme désemparé. Ce couple a pourtant des enfants : une fille, Claire, mais elle vit à Vancouver, autant dire au bout du monde, et on n'a d'elle que des nouvelles intermittentes, un fils qui serait peut-être plus attentif, mais on est brouillé avec lui depuis son mariage. On se gardera donc de l'appeler auprès de sa mère, madame Lauzerte, qui souffre et ne réclame rien. Alors que le temps se modèle sur le rythme de la maladie, de l'agonie, une méditation s'impose à Victoire, à la narratrice, et à chaque lecteur. Qu'est-ce que la mort ? Qu'est-ce qu'une famille ? Quelles allures étranges l'amour prend-il chez des êtres formés aux disciplines du devoir, de la pudeur, de la discrétion ? Victoire est forte de sa foi. Madame Lauzerte s'est déclarée incroyante. Entre elles s'établit un dialogue secret dans lequel chacune pressent les intentions de l'autre et n'insiste pas. Ce livre, très simple, ouvert aux évocations et aux rêves, reste volontairement dans le domaine de l'affectif. Au-delà de la dernière représentation que se donne une famille lorsqu'un de ses membres va mourir, apparaît un autre univers, le seul vrai, celui de l'amour.

11/1979

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Littérature française

La petite anglaise

"Viens. Elles sont là, je veux dire Lady Pryer et sa fille. En les voyant tu perdras tes craintes." C'est ainsi qu'Antoine Malivais lance innocemment à Julie Gendre l'invitation au malheur. Car Julie redoutait le jour où apparaîtrait, dans la vie du jeune homme qu'elle aimait, cette petite Anglaise, justement celle-là : Cecilia Pryer. Elle la redoutait à la manière des amoureuses inquiètes qui ont besoin de donner un prénom à leur appétit de jalousie. La petite Anglaise a tous les charmes, et l'extrême jeunesse. L'habileté d'une mère est à son service. Elle va vivre des semaines d'été dans l'intimité délicieuse du domaine des Malivais. Et Julie se perd avec une ardeur désespérée. Cette amoureuse prononce alors beaucoup de paroles fâcheuses. Comme dit Dostoïevski, l'auteur préféré d'Antoine Malivais : "Il faut toujours pardonner les paroles fâcheuses, elles consolent l'âme, sans elles la douleur serait insupportable". Le roman de Renée Massip est un miroir qui se promène sur la vie protégée d'une bourgeoisie de province. Les gens de ce milieu ont apparemment tous les bonheurs et même le luxe de la discrétion. Rien n'y est dit, tout se devine, les rapports humains y ont la grâce cotonneuse des évolutions de nuages. Il n'y a aucune intention, ni sociale ni moralisatrice. C'est un roman d'amour que le lecteur, le livre refermé, peut reconstruire à sa guise en lui donnant le dénouement que son tempérament préfère. La petite Anglaise, elle, a reçu le gâteau qu'elle désirait.

08/1956

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Littérature française

La vie absente

Ce roman est celui d'un combat avec l'Ange, c'est-à-dire le combat de la méfiance et de l'amour. La narratrice, Catherine, qui n'a pas eu d'enfants, reconnaît en une jeune fille de vingt ans la fille qu'elle aurait souhaité avoir. Son mari s'attache à elle. Comment la trop lucide Catherine va-t-elle accepter une situation qu'elle ressent si violemment ? Parviendra-t-elle au cours de ce combat dans les ténèbres à discerner entre les fantasmes d'une imagination alarmée et la réalité ? Ce roman sur l'amour conjugal, écrit avec franchise et pudeur par l'auteur de La Régente, concerne tous les vrais couples.

05/1973

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Littérature française

Douce lumière

Bernard a de graves ennuis de la vue. Et pourtant son métier est de lire. Justement il doit relire Une Anglaise en été, roman déjà oublié, dont l'auteur, Christine Custodiat, lui était très proche. Il se reconnaît même dans l'un des personnages. A la faveur de cette lecture, c'est l'image de Christine, l'histoire de sa vie, sa mort brutale qui nous sont peu à peu révélées. Une jeunesse en Pologne, où elle s'est fiancée avec un imposteur. La guerre, la Résistance, le journalisme et la littérature. Un amour discret, presque secret, avec un garçon plus jeune qu'elle. Puis la solitude. Et cette mort stupide, sur un glacier. Mais l'important, c'est la qualité d'âme des personnages que fait vivre ici Renée Massip. Leur spiritualité, leur confiance dans la vie, malgré les coups durs, leur foi qui semble aller de soi. Christine, telle que la peint Bernard, est un de ses êtres humains dont la seule existence vous rend meilleur.

05/1985

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Littérature française (poches)

Les Déesses

Victor Valeur, dans son cours d'éducation physique, enseigne aux femmes à rester belles, et même à le devenir. Les élèves de son cours supérieur sont appelées les " dames supérieures ", ce qui donne en abrégé les " déesses ". Trois fois par semaine, en petite tenue, elles se découvrent chez Valeur. Là, elles se disent tout. Ce tout forme la matière de ce roman cocasse, tendre vrai.

10/1977

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Littérature française (poches)

Le Rire de Sara

"Pourquoi vas-tu à Lourdes?" "As-tu vu des miracles?": telles sont les questions que pose à l'auteur une amie fraternelle, témoin de sa jeunesse, et restée sereine sur les rives de l'incroyance. Cette amie représente le destin que l'auteur a, plus ou moins volontairement, esquivé. L'auteur répond. Elle va à Lourdes chaque année au service des malades. Elle ne tentera ni le reportage de cette "petite semaine" passée au service de ceux qui souffrent, ni le dialogue de sourds qu'est le plus souvent, même lorsque beaucoup d'affection s'en mêle, celui du croyant et de l'incroyant. Renée Massip n'a pas vu de miracles. Elle le dit dans confusion car elle a découvert celui dont on ne lui a avait jamais parlé, et qui est permanent à Lourdes, bien que pour beaucoup il passe inaperçu: le miracle de la charité.

10/1975

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