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Montagne

Rappels

La version non censurée (et augmentée d'inédits) de l'homme qui accompagna Maurice Herzog au sommet de l'Annapurna il y a 70 ans : Louis Lachenal.

10/2020

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Musique, danse

Rappels. Mémoires d'un manager

François Ravard est un électron libre. De la folle aventure Téléphone aux Stades de France des Insus, en passant par les iconiques Marianne Faithfull, Serge Gainsbourg, Jean-Pierre Mocky ou Les Rita Mitsouko, il raconte son incroyable parcours en forme de montagnes russes, avec l'aide de son ami Philippe Manoeuvre. Backstage, je découvre que les quatre fabuleux (Carine, Jean-Louis, Louis et Richard, fout-il le rappeler) ont un succès aussi énorme que mérité, mais aussi un truc plus incroyable encore dans notre petit monde : un manager, le dénommé François Ravard, le cinquième Téléphone. Sanglé dans son Perfecto, François est déjà un garçon fascinant, plus jeune que les musiciens pour qui il se démène. Dans l'ombre, Ravard fait le job, un oeil sur le modèle british, un autre sur le groupe. François était un magicien... Mais voici le point fort de tous ces vieux souvenirs en vrac qui m'assaillent le cortex : Ravard et moi ne nous sommes jamais perdus de vue. Et plus d'une fois, c'en était devenu un gag récurrent lors de nos déjeuners amicaux, Ravard ressortait sa vieille blague des années Téléphone : "De toute façon, un jour, tu écriras ma biographie." Philippe Manoeuvre

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Poches Littérature internation

Appels aux Européens

Inédites en français, ces deux conférences traitent de l'Europe, sujet qui a préoccupé Stefan Zweig une grande partie de sa vie et plus encore au cours de ses dix dernières années. Exilé en Angleterre dès 1934, témoin horrifié de l'annexion de l'Autriche par le Troisième Reich en mars 1938, installé au Brésil où sa seconde épouse et lui-même se donnent la mort le 22 février 1942, il vécut la destruction de la civilisation européenne comme une tragédie personnelle et son dernier chef-d'oeuvre Le Monde d'hier porte le sous-titre "souvenirs d'un Européen". Zweig plaide pour une unification de l'Europe qui passerait également par la culture et l'humanisme. Bien éloignée de la Realpolitik de notre époque eurosceptique, sa vision de l'organisation du continent dérangera ceux qui se moquent de l'idéalisme politique. Mais elle captivera ceux qui cherchent des voies nouvelles pour sortir de l'impasse au bout de laquelle le projet européen arrivera bientôt si rien n'est fait pour le sauver. Parce qu'ils étaient résolument inactuels au moment de leur conception, les appels de Zweig à un sursaut européen sont d'une actualité brûlante. La longue préface de Jacques Le Rider le rappelle avec force.

05/2014

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Théâtre

Appels entrants illimités

Flamboyants et fragiles, trois jeunes qui partagent un appartement tentent de donner un sens au chaos où ils évoluent. L'extérieur les presse frénétiquement de se fondre dans le moule alors qu'ils pleurent sur l'état du monde, se cachent sous des déguisements, cherchent l'amour. Comment s'ouvrir aux autres tout en préservant son intimité ? Au milieu du bourdonnement ambiant, comment faire le tri dans son propre désordre ? Chassé-croisé de situations corrosives et attendries où le réalisme se dissout dans la magie, dans l'improbable et dans le déconstruit.

03/2015

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Littérature étrangère

Rappel à Menphis

Lorsque, trahi par son ami et associé Mr. Lewis Shackleford, le beau George Carver transplanta, dans les années trente, sa femme et ses enfants de Nashville à Memphis, il ignorait sans doute qu'il brisait leur vie et mettait en place les ressorts d'un piège qui, bien longtemps après, se refermerait sur lui. Et pourtant, quand son fils Phillip apprend, dans son appartement lugubre de Manhattan où il se prépare à une vie étriquée de vieux garçon, les projets de remariage qu'à plus de quatre-vingts ans caresse l'élégant vieillard, c'est sans beaucoup hésiter qu'il accourt à Memphis. La fureur vengeresse de ses deux soeurs l'y attend. Elles sont décidées à tout faire pour empêcher ces secondes noces. Pourquoi cette haine ? Pourquoi un simple déménagement d'une petite ville du Sud profond à une autre a-t-il provoqué chez la famille Carver des ravages psychologiques tels qu'un fils en est mort, qu'un autre a raté sa vie et que les deux soeurs quinquagénaires sont prêtes à tout pour s'opposer au bonheur de leur père ? C'est ce que raconte, en maître du récit et en poète, Peter Taylor, dans ce roman tout en subtilités et en litotes qui atteint, par paliers insensibles, à un extraordinaire raffinement de cruauté.

05/1988

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Théâtre

Le dernier rappel

Après Urgence et Parloir, ce dernier opus aura comme toile de fond la société et ses angoisses collectives et pour coeur l'individu aux prises avec ses fragilités... Comment l'écriture peut-elle rendre compte de sujets graves, sans sensiblerie, et donner envie de regarder le monde sous l'angle d'une mythologie contemporaine ? Cette fois, Pépito Matéo interroge le phénomène de sénescence et l'appréhension de son propre vieillissement... comme prologue à une finalité universellement partagée. Comment continuer à rester en phase avec ce qui nous entoure dans une société qui n'envisage l'espérance de vie que sous l'angle du potentiel de consommation ? L'autre question étant pour lui - artiste - d'apprendre à sortir de la lumière sans perdre l'envie de rester en jeu. Son récit s'appuie sur l'un des mythes les plus anciens dont les racines sont en Mésopotamie, un récit en forme d'épopée dont le héros, le roi Gilgamesh, est en quête du secret de la vie éternelle. A partir de témoignages collectés auprès de personnes âgées, Pépito Matéo invente une maison de retraite imaginaire, où le présent et le passé se font écho, en travelling, en zoom arrière et en gros plan, retraçant les étapes de la vie et ses propres souvenirs. Equilibriste improbable de la parole et des mots, Pépito Matéo nous entraîne aux confins de l'âme humaine, à la rencontre de nous-même, jonglant entre mythologie ancestrale et chronique contemporaine avec une jubilation palpable et une émotion teintée d'un humour salvateur.

06/2009

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