Recherche

Rachèle Bevilacqua

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Revues

Portrait N° 4, printemps 2016 : L'autre c'est vous

Ce nouveau numéro de la revue Portrait prolonge la réflexion du précédent autour des géographies intérieures. Mais cette fois-ci, le point de vue change : les auteurs ne parcourent plus les mondes habités des personnes rencontrées, ils s'installent à leurs côtés et questionnent le rôle que joue l'autre dans leurs existences. Il semblait probable qu'à travers ces autres, fictifs ou réels, les portraiturés de la revue, reliés par le désir de penser différemment, révèleraient quelque chose de leur propre travail. L'intuition s'est vérifiée. Agnès Desarthe, dont l'écriture emprunte à la grammaire de la musique, déroule le fil de sa longue et parfois difficile relation à cet art, qui fait écho à sa rencontre avec le jazzman René Urtreger. Michel Lebris, fondateur du festival Etonnants Voyageurs, confie son émerveillement persistant face à la magie des visages, à la manière dont certains d'entre eux relient encore sa vie au réel. Anne Landois, scénariste en chef de la série télé Engrenages, ne cesse, elle, de scruter avec empathie l'autre face à son drame, tandis que l'auteure Caroline Boidé poursuit sa quête intime de liens historiques entre Arabes et juifs, dans une nouvelle inédite : Si j'étais Amina. Pauline Guéna nous dévoile le carnet de bord qu'elle a tenu en marge de ses entretiens littéraires parus dans l'Amérique des écrivains, co-signé avec Guillaume Binet. Enfin, la revue Portrait publie deux portfolios : l'un extrait de Hang on de Neak Sophal, présenté par l'élégant Christian Caujolle, et l'autre, tiré d'Angel de Ronan Guillou, dont les images, dit Wim Wenders, sont précédées par un moment magique : le passage d'un ange...

04/2016

ActuaLitté

Revues

Portrait N° 3, Hiver 2015 : Les géographies intérieures

En 2015, Portrait va à la rencontre de personnes dont les vies sont traversées par plusieurs cultures. Certaines, pour des raisons économiques, politiques, changent de pays depuis des générations, d'autres se penchent sur leur histoire familiale et découvrent des mondes insoupçonnés. Sortir du monde que l'on connaît n'est jamais chose simple, loin s'en faut, mais il semblerait qu'il n'y ait pas meilleur chemin pour entrer dans le sien. Celui où sont installées nos singularités. L'ethnopsychiatre Tobie Nathan s'intéresse à l'invisible : "On dit "cinglé". On a perdu l'invisible qui vous cingle. Ce qui m'intéresse est cet invisible qu'on ne reconnaît qu'aux manifestations extérieures". Elias Sanbar, ambassadeur auprès de l'Unesco, se bat depuis quarante ans pour que la Palestine, le pays où il est né mais n'a jamais vécu, ne soit pas effacée des cartes géographiques. Gladys Marivat, elle, voyage pour s'extraire de sa vie et la rendre ainsi plus riche. Elle partage cette expérience dans son carnet de bord de Berlin au Ladakh. Henriette Walter, professeure émérite de linguistique, tombée, très jeune, en amour pour les mots et les langues, continue, à 80 ans passés, d'être émerveillée par le monde. Enfin dans le portfolio, extrait de Fifty Shrinks, Sebastian Zimmermann, montre, chose rarissime, des psys, ces explorateurs des mondes intérieurs, dans l'intimité de leur cabinet.

01/2015

ActuaLitté

Revues

Portrait N° 1, printemps 2014 : La rencontre

Nouveau magbook, Portrait se lance, avec son équipe et son regard documentaire et poétique, à la rencontre d'artistes, de scientifiques, de philosophes, d'historiens, de politiques, de religieux... Ces femmes et ces hommes interrogent l'existence et proposent, au détour de leurs questions, de nouvelles façons de l'aborder. Ils partagent tous une curiosité débordante pour la vie et une capacité à surmonter l'adversité. Leurs parcours insolites et réjouissants montrent que chacun a le pouvoir de rendre son existence meilleure et, par ricochet, d'agir sur le monde.

04/2014

ActuaLitté

Revues

Portrait N° 5, automne 2018 : Etats-Unis : identités rebelles

A l'occasion du festival America, et de l'ouverture à Chicago (USA) du premier musée consacré aux auteurs américains, des auteurs français rencontrent des auteurs américains et leurs conversations convergent vers l'identité, les identités. Elles sont toutes rebelles car elles sont toutes singulières même si elles sont traversées par une même culture.

10/2018

ActuaLitté

Revues

Portrait N° 2, Automne 2014 : Le hasard débusqué

Dans ce numéro, Portrait interroge le hasard. Quelle place occupe-t-il et quel rôle joue-t-il dans nos vies ? Pour certains, il est la réponse aux questions qui demeurent suspendues. Pour d'autres, le hasard porte des clés de compréhension. libraire iconoclaste interviewé dans un portrait chinois, confie : "Le hasard permet de faire des écarts ou des choix qui mènent là où on doit aller." Jean-Claude Ameisen, psychiatre et président du Comité d'éthique, laisse planer l'ombre de Spinoza sur son entretien, convaincu que "le hasard est d'abord un asile de l'ignorance". Les auteurs de Portrait se sont glissés là où le "hasard" agit sur une vie et lui donne une tournure nouvelle. Pacôme Thiellement décode, dans la Correspondance imaginaire, la face sombre de Donny Hataway, figure de la soul music, alors que Laure Albernhe, journaliste à TSF Jazz, dresse un portrait musical sensible de Jean-Claude Zylberstein, avocat-éditeur. Gaëlle Josse, elle, ausculte avec les manques qui ont poussé cette ex-rédactrice en chef du Vogue Espagne à s'établir au Ghana pour se consacrer aux enfants abandonnés. De son côté, Geneviève Flaven, fondatrice d'une agence en conseil, s'est installée à Shanghai et raconte, dans Carnet de bord, son autre vie, celle d'un écrivain. Enfin, Elsa Lepoivre, sociétaire à la Comédie-Française, révèle en quatre séquences son féminisme né sur les planches et Richard Renaldi dévoile, dans le Portfolio, des extraits de sa série d'images Touching Strangers.

10/2014

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Rachel

Professeur d'université vieillissant, Sviatoslav Semionovitch Kaufman - de père juif et de mère russe, ce qui est déjà un problème - s'est marié trois fois. D'abord avec Liouba ("sa" Rachel) quand, doctorant spécialiste de Scott Fitzgerald, il travaillait comme infirmier dans un hôpital psychiatrique et vivait pleinement les mythiques années 1960. C'est à cette époque, où les Soviétiques découvraient le jazz, le rock et Hemingway, qu'il a rencontré Véra, la mère de son fils. Bien plus tard, la jeune Natalia lui a fait perdre la tête avant de lui préférer un agent du KGB... Déprimé, cardiaque, et toujours un peu à côté de la plaque, notre professeur ressasse et rouspète sous l'oeil volontiers goguenard de sa belle-fille, voleuse à l'étalage délurée qui veille sur lui. Réflexions sur les affres de la vieillesse et les ratés de la jeunesse se mêlent aux références bibliques, au drame familial et à l'histoire russe du XXe siècle pour composer un roman à la tonalité aussi nostalgique que fantasque.

11/2016

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté