Goncourt, Renaudot, Femina, Interallié, Médicis : les prix littéraires rythment la fin de l'année, qu'on le veuille ou non. Instituées depuis un siècle ou jeunes de quelques années seulement, les récompenses sont légion dans le domaine de la littérature : pour certains, ils sont synonymes de petit landerneau germanopratin, pour d'autres, le signe d'une diversité des voix et des écritures qu'il s'agit de valoriser et de récompenser.
Goncourt, Renaudot, Fémina, Medicis, Interallié... sans compter les prix qui sont créés par des enseignes, Leclerc, Cultura ou Fnac... Les occasions de faire sauter le champagne ne manquent pas.
Depuis la création du prix Goncourt, devenu une véritable référence, et la certitude de multiplier les ventes du roman lauréat en libraires, les prix littéraires animent toutes les passions. En France, les cinq cadors – Goncourt, Femina, Médicis, Renaudot et Interallié – sont les seuls qui semblent avoir une véritable incidence sur les achats.
L'épidémie du coronavirus ne sera pas venue à bout d'une tradition bien française, celle des prix littéraires de la rentrée : les centaines de romans publiés en quelques semaines, entre août et octobre, se retrouveront dans les sélections des jurys des différentes récompenses.
Passée en mode « sobriété » pour cause de hausse des prix du papier et surtout d'une inflation galopante, la rentrée littéraire 2023 reste néanmoins fidèle au rendez-vous. Les prix littéraires qui l'accompagnent également, avec un programme bien connu, entre Prix Goncourt, Interallié, Femina ou encore des Deux Magots...
C’est à Marseille que s’ouvrent ce 30 juin les 5es rencontres de la librairie, occasion de réunir près de 1000 professionnels — dont 200 éditeurs et quelque 600 libraires. Deux journées professionnelles sous le thème « Engagé et sous tension, le libraire en équilibre ».
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