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Pourquoi la fiction ?

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Dossier

Cinq livres à offrir pour Noël

« Sans les cadeaux, Noël ne serait pas Noël. » On ne peut qu’être d’accord avec la romancière Louisa May Alcott, c’est pourquoi on vous propose nos conseils de lecture, avec Actes Sud, afin de gâter vos proches, et pourquoi pas, de leur donner des idées...

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Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

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Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

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Editions du Portrait : 10 années à renverser la table

Livre après livre, la maison publie le récit incarné d’un combat contre le sexisme, le racisme. Ces livres, traversés par une pulsion de vie, transmettent l’histoire d’un individu et de son cheminement vers l’émancipation pour sortir des cases qui lui ont été assignées. La maison publie de la fiction et non fiction, mêlant écriture poétique et documentaire.

 

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Dossier

Thorgal : Voyage à travers mythes, étoiles et vikings

La bande dessinée belge Thorgal fusionne habilement l'heroic fantasy et la science-fiction, le tout ancré dans la riche mythologie scandinave. 

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Dossier

Vois Lis, Voix Là : le podcast de ActuaLitté

Avec le développement fulgurant du livre lu, c’est toute une dimension audio qui se développe désormais dans le monde du livre. Ce qui devait pousser la rédaction à diversifier ses approches, avec la création d’un podcast dédié. Des livres, des auteurs, des lectures, des chroniques, et bien d’autres choses encore.

Extraits

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Critique littéraire

Pourquoi la fiction ?

Jamais l'humanité n'a consommé autant de fictions que de nos jours, et jamais elle n'a disposé d'autant de techniques différentes pour étancher cette soif d'univers imaginaires. En même temps, comme en témoignent les débats autour des " réalités virtuelles ", nous continuons à vivre à l'ombre du soupçon platonicien : la mimèsis n'est-elle pas au mieux une vaine apparence, au pire un leurre dangereux ? Pour répondre au soupçon antimimétique et mieux comprendre l'attrait universel des fictions, il faut remonter au fondement anthropologique du dispositif fictionnel. On découvre alors que la fiction est une conquête culturelle indissociable de l'humanisation, et que la compétence fictionnelle joue un rôle indispensable dans l'économie de nos représentations mentales. Quant aux univers fictifs, loin d'être des apparences illusoires ou des constructions mensongères, ils sont une des faces majeures de notre rapport au réel. Et cela vaut pour toute fiction. Les œuvres d'art mimétiques ne s'opposent donc pas aux formes quotidiennes plus humbles de l'activité fictionnelle : elles en sont le prolongement naturel.

08/1999

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Critique littéraire

Fiction et diction

Théorie des genres et des œuvres, statut de la fiction, variance des régimes narratifs, fonction sémiotique du style : par ces voies diverses mais convergentes, les études de poétiques ici réunies s'efforcent de définir à nouveau frais ce que l'on a appelé, voici déjà quelques décennies, la littérarité - c'est-à-dire la dimension artistique des textes, quels que soient leur mode de présentation ou leur critère d'admission au rang des " œuvres " par une instance de lecture, individuelle ou collective. Où l'on voit la question rituelle Qu'est-ce que la littérature ? se dissoudre, et peut-être se résoudre, en celle-ci : Qu'est-ce qui fait d'un texte un objet esthétique ?

01/2004

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Critique littéraire

Délit de fiction. La littérature, pourquoi ?

Jamais notre quotidien n'a été à ce point saturé d'histoires : qui, raconte sa vie sur un trottoir, qui, sur un plateau de télévision, qui, dans le journal, qui, dans un livre, qui, sur un blog. Jamais notre monde ne s'est rendu autant disponible à l'écoute des histoires de chacun, leur assurant par la technologie une diffusion qui peut être immédiatement planétaire. Or ces histoires-là, courtes, longues, fragmentaires, sont "vraies", puisqu'elles sont immédiatement identifiées à la réalité du "sujet" qui les raconte. L'adéquation du vécu au narré constitue l'identité de l'auteur en même temps qu'elle le constitue et l'"authentifie" comme sujet. Pourquoi faut-il, dès lors, marginaliser et faire taire la littérature en la parquant dans l'espace exclu et réservé de la "fiction", alors qu'elle est précisément l'invention la plus haute et la plus exigeante d'une forme écrite de l'action et du temps humain ? Probablement parce que la littérature s'attache, au travers des histoires imaginées, inventées, extraites ou non de la réalité, à penser les questions fondamentales dont les "histoires vraies" font l'économie. La littérature est une force imprévisible de propositions inattendues quant à la question du sujet, et il est toujours plus urgent de la cerner dans cet espace livresque de la "fiction", que l'on parcourt en ses heures perdues de loisir et de distraction, où l'on s'accorde précisément à perdre son temps avec ce qui n'est que... littérature.

10/2011

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Sociologie politique

Hyperjeu. Niveau 1. Petit précis de performativité

L'Hyperjeu est un texte situationniste autour des figures du Spectateur, du Joueur et de l'Hyperjoueur, et, subséquemment, autour de la question de l'action et des pratiques illégalistes. Ce texte relève du genre de la politique-fiction à courte échéance et enchâsse sans différence ni hiérarchie le réel et l'imaginaire, les faux et les vrais témoignages, le théorique et le trivial, les actions véritables et fantasmées, l'humour et la philo, les citations attribuées et apocryphes. Le livre est accompagné de quelques cartes, photos et tags.

01/2024

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Critique littéraire

Pouvoirs de la fiction. Pourquoi aime-t-on les histoires ?

Qu'est-ce qui nous pousse à ouvrir la première page d'un livre ? à entrer dans une salle de cinéma ? à entamer le visionnage d'une série ? Plus encore : une fois établi le premier contact avec le récit, pourquoi, dans la plupart des cas, avons-nous tant de mal à le lâcher ? Et comment expliquer ce sentiment de vague tristesse qui nous saisit parfois au dénouement, quand nous sommes obligés d'abandonner un monde et des personnages ? En un mot, pourquoi aimons-nous tant les histoires ? Tous supports confondus, les récits de fiction n'ont jamais été aussi nombreux, et leur succès public transcende les barrières générationnelles et sociales. Cette force d'attraction du narratif, qu'il s'agisse de romans, de films ou de séries télévisées, est l'objet du présent essai. Elle ne sera pas envisagée d'un point de vue culturel - qu'est-ce qui fait qu'à telle époque et dans tel milieu on s'intéresse tel type de fictions ? - mais sur le plan, risquons le mot, "anthropologique" : comment expliquer cette attirance universelle pour le récit ? Qu'y recherche-t-on et qu'y trouve-t-on ?

09/2019

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Critique littéraire

La fiction

"Bovarysme" : affection dont est atteinte l'héroïne de Flaubert, Emma Bovary, qui construit sa vision du monde à partir de ses lectures de romans. Cette version féminine de Don Quichotte symbolise la tension entre univers fictionnel et univers réel. Les fictions, qu'il s'agisse d'oeuvres littéraires, de séries télévisées ou encore de jeux vidéo, sont définies comme des constructions imaginaires indépendantes de la réalité. Pourtant, est-il justifié de refuser à ces productions toute prétention référentielle ? Ne faut-il pas plutôt envisager la fiction comme une manière de penser et d'expérimenter le monde ? Dans ce cas, l'art ne serait-il pas le meilleur outil pour représenter le réel ? Reconnaître un texte comme fictionnel implique un mode de lecture particulier, une "suspension volontaire de l'incrédulité", d'après le mot du poète Coleridge. Flaubert ne prétend pas à ce que je croie sérieusement à l'existence d'Emma Bovary, ni à sa maison, ni à ses rêves. Libre à moi de jouer le jeu et d'entrer dans sa maison comme j'entre dans un livre : en croyant y être tout en sachant que je n'y suis pas. Et vous, comment "entrez"-vous dans la fiction ?

04/2019

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