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Pierre-Robert Leclercq

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Romans, essais, actualités : tout sur Roberto Saviano

Roberto Saviano est un écrivain, journaliste et essayiste italien né le 22 septembre 1979 à Naples, en Italie. Il est surtout connu pour son travail d'investigation sur la Camorra, la mafia napolitaine, qui est le sujet central de son livre le plus célèbre, Gomorra, publié en 2006. 

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Dossier

Les prix littéraires de la rentrée

Goncourt, Renaudot, Fémina, Medicis, Interallié... sans compter les prix qui sont créés par des enseignes, Leclerc, Cultura ou Fnac... Les occasions de faire sauter le champagne ne manquent pas.

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Dossier

Une loi pour entériner les missions des bibliothèques

Déposée auprès de la présidence du Sénat en février dernier, la proposition de loi de la sénatrice d'Ille-et-Vilaine Sylvie Robert relative aux bibliothèques et à la lecture publique a pour ambition d'inscrire les missions des bibliothèques dans la loi.

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

Extraits

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Histoire de France

Leclerc

Leclerc, c'est un parcours, un destin et une légende. Jean-Christophe Notin est parti sur ses traces. Au lieu de l'image d'Epinal du génie ou du visionnaire, l'action du général en Afrique prend plus d'ampleur, son commandement de la 2e division blindée apparaît dans toute sa complexité, son rôle dans la décolonisation est réexaminé. La description de ses relations avec l'armée, de Gaulle et sa famille achève le portrait d'un homme qui lutta contre les ennemis de la France, mais aussi contre ses propres faiblesses. Avec le même souci de clarification, l'auteur s'est attelé à élucider les circonstances de l'accident aérien fatal au général et qui, depuis 1947, a été l'objet de toutes les controverses.

05/2010

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Critique littéraire

André Gill. Les dessins de presse et la censure

"A dix-huit ans, Louis Alexandre Gosset de Guines, a décidé qu'il serait dessinateur. Il rencontre Gaspard Félix Tournachon, connu sous le nom de Nadar. Ce dernier l'encourage et lui conseille de prendre un pseudonyme. Le jeune homme, qui admire le Gilles de Watteau, a un ami prénommé André. Ce sera André Gill. Nadar le recommande à Charles Philipon, dessinateur de presse qui fut condamné à six mois de prison pour avoir fait, du visage de Louis-Philippe, une poire. Il est intéressé par le talent du débutant et, le 12 mars 1859, le premier dessin de Gill paraît dans Le Journal amusant. Fondé en 1848, il disparaîtra en 1933 après avoir accueilli plus de cent caricaturistes. Pour Gill, c'est le début d'une carrière, en bien des points prodigieuse. Elle prendra fin en 1885 par la mort de celui qui, dans la lignée de Daumier, a fait du dessin de presse une oeuvre d'art. OEuvre qui n'est pas sans péril quand on est l'ami de Jules Vallès, quand on s'en prend aux grands noms de la politique, quand quelques coups de crayon en disent plus qu'une longue chronique, quand on passe sa vie d'artiste sous le joug de la censure qui condamne les journaux qui vous font vivre ou leur interdit de publier vos dessins. La vie du grand Gill, c'est l'histoire de la lutte entre la liberté sous toutes ses formes et toutes les formes d'interdits qui l'empêchent de se manifester". P-R Leclercq

06/2015

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Musique, danse

Soixante-dix ans de café-concert. 1848-1918

Héritier des goguettes, ces débits de boisson où l'on chantait en choeur, le café-concert a célébré 1848 à sa façon. Tandis qu'une Révolution annonce la Deuxième République, dans de nombreux cafés une révolution s'organise en instaurant une conception de la chanson qui a toujours cours aujourd'hui. En peu de temps, elle devient un produit, et le chanteur, le compositeur, le parolier, ont des statuts de professionnels. Du Bon roi Dagobert à Ne pleure pas Jeannette, les rengaines n'ont pas manqué mais c'est avec le café-concert que la chanson dite populaire est née, illustrée pendant soixante-dix ans par des Thérésa et des Aristide Bruant, des Yvette Guilbert et des Félix Mayol. Très vite, les enseignes se multiplient, aussi bien dans les quartiers ouvriers que dans les quartiers bourgeois, chacun ayant son répertoire et son décor. Le Caf'Conc' devient une sorte d'industrie, avec ses directeurs, ses artistes, la vente des partitions, la création de produits dérivés, le débit des consommations, leurs prix et leur succès - la popularité de la bière doit beaucoup aux cafés-concerts. Ils ont en même temps d'autres effets, comme l'apparition des idoles et de leurs fans. En donnant, avec des chansons aux sujets sociaux et politiques, une nouvelle et large audience à la critique du Pouvoir, le café-concert n'est pas sans influence sur la vie de la cité, ce qui entraîne un regain de la censure. Par son succès et son extension en province, il a aussi son rôle dans l'économie par les milliers d'emplois qu'il génère. A l'orée du XXe siècle, suivant la mode anglaise, le café-concert cède sa renommée, ses vedettes et ses lieux au music-hall. Né avec une Révolution, il connaît sa fin avec celle d'une guerre. 1848-1918. Soixante-dix ans d'une carrière qui fait de la chanson plus qu'une chansonnette.

02/2014

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Littérature française

Mes catins

Réanimées aux retrouvailles de lettres oubliées, ravivées par le souvenir d'une rencontre, émues par une scène de coin de rue, ces catins, en deux pages ou une ligne, vivent un instant de l'enfance, naviguent dans un cocktail littéraire, font un brin de satire politique, correspondent avec Montherlant, Jacques Maritain, Jules Isaac... rencontrent Jean Vilar, Marcel Jouhandeau, Michel Bouquet, Hervé Bazin, Éric L. osfeld... égratignent quelques statues argileuses, s'attendrissent sur des choses vues... et s'offrent au partage ou au rejet de leurs sourires, colères, tristesses, révoltes, enthousiasmes, dégoûts, admirations, indignations, détestation, amours...

05/2005

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Actualité et médias

Où est passé l'esprit critique ?

Pas d'homme libre sans esprit critique. Mais, sans doute parce qu'il est l'ennemi de tous les pouvoirs - politique, financier, judiciaire, médiatique et même artistique -, cet esprit-là n'est plus guère encouragé aujourd'hui. Langue de bois des politiciens, médiocrité des programmes télévisés, embrigadement dans des festivités sur mesure, torrents d'informations dont il ne reste rien, dévoiement des valeurs qui est le tremplin des dictatures... les entreprises visant à l'anesthésier ne manquent pas. Certaines sautent aux yeux et aux oreilles, d'autres sont plus subtiles. Les dénoncer est œuvre de salubrité et de salut public... A condition de le faire, comme l'auteur, avec assez d'esprit critique pour reconnaître que, si nous sommes les victimes de ceux qui l'étouffent, nous en sommes souvent les complices.

02/2001

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Critique littéraire

George Sand. Les années Aurore

Descendant du maréchal de Saxe par son père et d'un oiselier parisien par sa mère, Aurore Dupin voit le jour à Paris le 1er juillet 1804. Trop tôt privée de la présence paternelle, la future George Sand partage son enfance entre sa mère et sa grand-mère, deux femmes qui ne s'aimeront jamais. Ces premières années sont jalonnées d'événements douloureux, avec la mort du petit frère, et d'images traumatisantes comme celles du Dos de Mayo lors d'un voyage en Espagne, en 1808. Mais c'est aussi la découverte de Nohant, où Aurore développe un amour des animaux et de la nature qui ne la quittera plus, et de fréquents séjours à Paris. C'est là, au couvent des Anglaises et sous l'œil vigilant d'une abbesse intrépide, que la jeune effrontée lie ses premières amitiés féminines, s'adonne au théâtre et... rencontre Dieu. En 1822, après, avoir éconduit nombre de prétendants, elle épouse François Dudevant dit Casimir, dont elle aura deux enfants. Loin de s'assagir, elle revendique son indépendance et au travers de ses liaisons, supposées ou avérées, et de sa collaboration avec Jules Sandeau, affiche son goût de la transgression et de la liberté. Des années de jeunesse tumultueuses où, de Paris à Nohant, se croisent précepteurs, archevêques, hommes politiques, journalistes et soupirants, préfigurant ce que sera la destinée de George, née le 2 mai 1832, date à laquelle s'achèvent ces Années Aurore.

02/2004

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