Recherche

Penser avec Raymond Boudon

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

ActuaLitté

Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

ActuaLitté

Dossier

Montpellier : de la culture en plein air, avec la Comédie du Livre

Depuis 1986, La Comédie du livre créée par des librairies indépendantes fait bouillonner les rues montpelliéraines. Nous voilà donc partis pour 10 jours de manifestations littéraires à Montpellier et dans les territoires avoisinants. Au rendez-vous : rencontres, lectures, musique, ateliers et expositions.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Patrick Modiano

Né le 30 juillet 1945, le discret Patrick Modiano a vu son œuvre célébrée dans le monde entier, et en France avant tout, par de nombreux prix littéraires. Il fait son entrée en littérature après sa rencontre avec Raymond Queneau, qui en fait son protégé, et la publication de son premier roman, Place de l'Étoile, en 1967 chez Gallimard.

ActuaLitté

Dossier

À la découverte de la littérature tchèque

Si l’on résume hâtivement – et maladroitement – la littérature tchèque à Milan Kundera, c’est bien souvent par une méprise culturelle. Michal Fleischmann, ambassadeur de la République tchèque en France, abordait cette question différemment : « La littérature tchèque est une pensée. Une pensée, une voie de la littérature européenne venue de la profondeur d’un peuple au centre de l’Europe. » Voici un large dossier, destiné à parcourir, avec un spectre élargi, les oeuvres et les êtres.

ActuaLitté

Dossier

En route pour l'aventure : des livres pour voyager et s'évader

Sur terre et sur les mers, à la découverte d’horizons inconnus, voici une liste de livres qui vous embarquent vers des destinations folles. Ce sont des récits de voyage, des essais, des textes empreints de poésie, ou des biographies d’aventuriers, comme autant de panoramas de la splendeur de notre planète.

Extraits

ActuaLitté

Sociologie

Penser avec Raymond Boudon

Chef de file de l'individualisme méthodologique en France, Raymond Boudon est l'un des plus importants sociologues français de la seconde partie du XXe siècle et du début du XXIe siècle. L'influence de l'auteur de L'inégalité des changes (1973) et de Croire et savoir (2012) est à la fois primordiale et largement sous-estimée. Robert Leroux met en lumière dans cet ouvrage la richesse du modèle théorique de Raymond Boudon. Directeur de la collection " Sociologies " et de la revue L'Année Sociologique, celui-ci a marqué plusieurs générations de sociologues. Esprit pluridisciplinaire, il a également introduit la sociologie française à la sociologie allemande et américaine. Dans les débats qui ont agité la sociologie française pendant plusieurs décennies, Boudon était le chef de file des " individualistes " qui affrontaient les " structuralistes " menés par Bourdieu, et défendait la liberté et la rationalité des choix des individus contre le déterminisme social notamment marxiste. Robert Leroux nous livre ici les clés de la pensée du sociologue, et éclaire la façon dont elle irrigue la sociologie actuelle.

05/2022

ActuaLitté

Histoire de France

Raymond maufrais. Raymond maufrais

En 1950 disparaissait, dans la forêt de Guyane, un jeune Toulonnais de 23 ans, Raymond Maufrais. Il ne voulait qu'une chose, connaître le monde, l'explorer. Il rongea longtemps son frein, jusqu'au moment où la possibilité lui fut donnée - par chance et par ténacité - de réaliser son rêve : à 20 ans, il était au Mato-Grosso à la découverte des Indiens Karajas et Chavantes. Trois ans plus tard, il s'embarquait pour la Guyane. Voyage sans retour, dont on ne connaîtra les péripéties qu'en retrou-vant ses carnets de route sur le lieu de sa disparition. Son père, Edgar, partit à sa recherche pendant douze ans, persuadé que Raymond vivait toujours, prisonnier parmi des Indiens inconnus. Si la forêt amazonienne a définitivement englouti l'explorateur, son souvenir ne s'est pas pour autant éteint chez celles et ceux qui ont été touchés par son courage et par la ténacité de son père. Geoffroi Crunelle, fasciné dans son enfance par l'histoire des Maufrais, a voulu servir leur double mémoire. Il a rédigé une biographie solide et fouillée qui, pour la première fois, met en lumière la figure extraordinaire-ment émouvante d'un héros des années cinquante. Il est président de l'Association des Amis d'Edgar et Raymond Maufrais depuis 1990 et a été conseiller historique du biopic "La vie pure".

11/2020

ActuaLitté

BD tout public

Raymond

Comment devient-on un champion alors que rien ne nous y prédestine ? Un don, la chance, l'entraînement ? Fan de Marcel Cerdan, 2e meilleur élève de son canton, incapable de se payer ni vélo ni étude secondaire, comment un jeune paysan devient-il une icône du cyclisme mondial ? De la Seconde Guerre mondiale à la guerre d'Algérie, Raymond vous invite à découvrir la jeunesse de Raymond Poulidor, le métayer qui deviendra l'une des légendes du cyclisme. Une histoire de famille, d'abnégation, de rêve, de déceptions, d'ascension sociale. De guerres. Et une touche de sport. Avec le dessinateur Christophe Girard et le scénariste Jean-François Legrand, Raymond Poulidor, pour la première fois, raconte son enfance et ses courses amateurs grâce aux planches d'un roman graphique.

06/2018

ActuaLitté

Sociologie

Durkheim fut-il durkheimien ?

« Durkheim fut-il durkheimien ? » La question, que pose Raymond Boudon en conclusion du colloque organisé par l’Académie des Sciences morales et politiques à l’occasion du 150e anniversaire de la naissance de Durkheim, a de quoi surprendre. Il s’en explique ainsi : « Je me suis souvent demandé quels principes régissaient l’interprétation des textes. À première vue, le cas des textes scientifiques paraît plus simple que celui des textes littéraires. Mais, à tout prendre, je n’en suis pas si sûr et je me sens parfois déconcerté par l’assurance avec laquelle les commentateurs donnent à croire que leurs interprétations présentent la pensée de tel auteur telle qu’elle est supposant par là qu’il est aussi facile de décrire une pensée qu’une chaise ou une pipe. » Si Durkheim et Max Weber, les deux fondateurs de la sociologie, n’ont jamais connu une audience comparable à celle de Marx ou Freud, c’est sans doute que leurs pensées étaient moins aisément susceptibles d’être caricaturées, même si elles le furent. Ainsi on peut s’interroger pour savoir si Durkheim se serait reconnu dans les assertions de certains de ses lecteurs qui assignent à sa pensée un strict « causalisme ». Les deux pères de la sociologie moderne offrent des outils bien plus subtils pour l’analyse des sociétés et des relations entre l’individu et la société. Mais comme c’est le cas de beaucoup de pionniers, ils ont exprimé leurs intuitions novatrices d’une façon qui passe parfois pour incertaine aux yeux du lecteur moderne. C’est donc à une (re)lecture attentive de l’œuvre de Durkheim – ou mieux, des œuvres de Durkheim – que Raymond Boudon a invité 12 universitaires français et étrangers afin de tenter de retrouver la vigueur, la justesse et le caractère novateur de sa pensée. Ont participé à ce volume : Jean Baechler (Académie des Sciences morales et politiques), Pierre Birnbaum (Université Paris I Panthéon-Sorbonne), Raymond Boudon (Académie des Sciences morales et politiques), Massimo Borlandi (Université de Turin), François Chazel (Université Paris-Sorbonne, Paris IV), Mohammed Cherkaoui (CNRS, Université Paris-Sorbonne, Paris IV), Hans Joas (Université de Freiburg-im-Brisgau, Université de Chicago), Steven Lukes (New York University), Philippe Raynaud (Paris II Panthéon-Assas, EHESS), Bertrand Saint-Sernin (Académie des Sciences morales et politiques), François Terré (Académie des Sciences morales et politiques).

09/2011

ActuaLitté

Sociologie

L'art de se persuader des idées fausses, fragiles ou douteuses...

On peut persuader (et se persuader) d'idées douteuses ou fausses par de mauvaises raisons ou par des théories non valides, ou encore parce que l'"esprit est la dupe du coeur". Un troisième cas de figure apparaît comme négligé, malgré son importance, par ceux - moralistes, sociologues, philosophes ou psychologues - qui ont traité de l'art de (se) persuader. En effet, les croyances fausses peuvent aussi provenir des arguments les plus justes. Il suffit pour cela que se mêlent à une argumentation fondée des a priori auxquels on prend d'autant moins garde qu'ils peuvent plus facilement être considérés comme allant de soi. Un Simmel a bien vu que toute argumentation - y compris la plus scientifique - comporte des propositions implicites qui peuvent en altérer la nature et les conclusions. De sorte que le sujet connaissant peut induire son public et s'induire lui-même en erreur à partir de l'argumentation la plus irréprochable. Les dérapages de l'inférence naturelle décrits par la psychologie cognitive suggèrent que l'homme moderne ne raisonne pas de façon moins irrationnelle et "magique" que le "primitif" cher à l'anthropologie du début de ce siècle. Or ces ratés de la pensée ordinaire peuvent être interprétés comme l'effet d'une contamination de l'argumentation par des énoncés implicites et inconscients. Mais la pensée scientifique n'a aucune raison d'être immunisée contre ces interférences. De fait, on peut montrer que bien des idées douteuses proviennent de théories irréprochables et que, réciproquement, les idées reçues les plus fragiles s'appuient souvent sur une argumentation valide. Les exemples analysés ici sont empruntés à diverses sciences humaines, mais la philosophie et la sociologie des sciences modernes y occupent une place de choix. D'abord parce que ces disciplines sont aujourd'hui actives et influentes, qu'elles abritent des théories solides et qu'elles donnent une forte impression de convergence et de cumulativité. Mais les conclusions relativistes qu'on en tire - et qui ont fini par prendre la force d'un poncif - ne sont que le résultat de ces effets de contamination de l'explicite par l'implicite.

08/1990

ActuaLitté

Sociologie

La place du désordre. Critique des théories du changement social, 3e édition

" Mon objectif n'est pas du tout de dresser un bilan ou un inventaire des théories du changement social, mais de faire apparaître certains points de méthode et de philosophie de la connaissance. " Par de nombreux exemples, ce livre illustre l'intérêt, pour l'analyse du changement social, de la perspective qualifiée d'" individualisme méthodologique ", selon laquelle les causes ultimes de tout phénomène social résident dans des actes, des croyances ou des attitudes individuelles. Si cette méthode est actuellement assez largement pratiquée et acceptée, elle a dû s'imposer contre des mouvements de pensée qui exercèrent une influence considérable sur les sciences sociales, tels le marxisme et le structuralisme. Outre l'importance de montrer qu le changement social est explicable, Raymond Boudon faisait apparaître, ceci dès1984 date de la première édition de ce livre, qu'il est imprévisible et que " la rigueur scientifique en matière d'analyse du changement social, suppose qu'on accepte de troquer l'ambition de prévoir et de prédire contre celle d'expliquer. "

01/1984

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté