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Littérature étrangère

La Filiale

Le narrateur, Dalmatov, est un journaliste russe émigré à New-York qui travaille à la station de radio russe antisoviétique : "Troisième vague" en référence à la troisième vague d'émigrés russes. Il est marié et a deux enfants. Un jour, il est envoyé comme correspondant à Los-Angeles où a lieu un congrès de dissidents intitulé "La Nouvelle Russie" qu'il observe avec beaucoup d'ironie. Il y retrouve Tassia, sa première femme, qui décide de squatter sa chambre d'hôtel. Dalmatov se souvient de leurs premières amours à Leningrad. Le congrès élit un nouveau gouvernement russe et choisit Tassia comme leader de l'opposition. Tassia offre un chiot à Dalmatov, puis le plaque comme elle l'a déjà fait il y a bien des années, durant son service militaire. Un récit doux-amer en petites touches qui mêle anecdotes, réflexions et souvenirs de jeunesse, le tout d'inspiration autobiographique comme toujours chez Dovlatov. Et comme toujours chez cet auteur qui, dans la grande tradition de la littérature russe, manie à merveille l'autodérision, le rire perce à travers les larmes et les larmes à travers le rire. Un roman très drôle, très triste et très touchant, qui incite à la réflexion et dont le thème essentiel est l'absurdité de l'existence.

05/2019

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Littérature française

Piété filiale

Les textes de ce livre étaient destinés à une autobiographie, plusieurs fois commencée, plusieurs fois abandonnée. Par paresse sans doute, mais surtout parce que, voulant retracer mon itinéraire intellectuel et politique, je retombais dans la rumination d'un drame familial dont je ne comptais pas parler : la séparation tumultueuse de mes parents en 1934. Beaucoup d'autres que moi ont subi les conséquences toujours douloureuses et parfois comiques d'une telle rupture. Il se trouve qu'elle m'a marqué au point que je m'en inquiète encore aujourd'hui. Au risque de me répéter, j'ai essayé à trois reprises de la raconter. Ce sont ces récits, publiés et échelonnés sur plusieurs années que je réunis ici, avec quelques pages romanesques sur le thème du retour au père et l'adieu final. Sartre a écrit qu'une vie n'était rien d'autre qu'"une enfance mise à toutes les sauces". Voici comment j'ai accommodé la mienne.

08/2018

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Religion

Le livre de la piété filiale

" La Piété filiale n'est pas seulement le sentiment naturel des devoirs des enfants envers les parents ; c'est ce sentiment cultivé, réglé, canalisé dans son expression, et étendu à toute la vie morale. Il y a un code de la Piété filiale qui impose strictement certains actes envers les parents vivants ou morts, mais ce n'est pas l'essentiel ; l'essentiel est que tous les actes du fils pieux, l'action de la Piété filiale dépasse l'horizon de la famille dans tous les sens : elle s'étend aux relations des inférieurs avec les supérieurs, des sujets avec le souverain et même en général des hommes entre eux [...] ; elle atteint son point suprême dans le perfectionnement de soi-même. "

07/1998

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Policiers

Mon nom est Person

Alors qu'une tempête d'apocalypse s'apprête à frapper Brest, Jean Person, militant de la cause des sans-papiers, disparaît. Léo se retrouve plongé dans un cauchemar mystique... et climatique.

04/2010

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Littérature étrangère

Amour filial. Légendes chinoises

Le texte de cet ouvrage a été établi d'après les différentes versions anciennes du recueil intitulé : Les Vingt-quatre Exemples de Piété filiale. Les caractères chinois ont été tracés au pinceau par M. Mien Tcheng. La chanson figure dans une édition moderne imprimée à Canton. Les originaux des vingt-quatre peintures sur soie qui accompagnent ces légendes sont de M. Wang Chaoki. Les copies ont été exécutées à Pékin par des peintres appartenant à la même école.

10/2005

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Littérature étrangère

La Filiale de l'enfer. Ecrits de l'émigration

Dès juin 1932, au café Manipe à Berlin, Joseph Roth déclare à un ami : " Il est temps de partir. Ils brûleront nos livres et c'est nous qui serons visés. Quiconque répond au nom de Wassermann, Döblin ou Roth ne doit plus tarder. Il nous faut partir afin que seuls nos livres soient la proie des flammes. " Le 30 janvier 1933, jour où Hitler est nommé chancelier du Reich. Roth s'exile définitivement à Paris. Les six années qui lui restent à vivre seront particulièrement fécondes, tant dans le domaine romanesque que journalistique. La Filiale de l'enfer réunit vingt-six écrits parus entre juillet 1933 et mai 1939 dans les journaux destinés aux émigrants germanophones vivant en France. Depuis son exil parisien, Joseph Roth observe avec une rage impuissante le rattachement de son ancienne patrie autrichienne au Troisième Reich et tente de combattre l'indifférence, qu'il considère comme le pire des maux. Avec une acuité impitoyable et une rare clairvoyance, sous-tendues par une verve brillante, à la fois mélancolique et drôle, il dénonce les effets pervers du national-socialisme et les grossiers mensonges de sa propagande. C'est " l'instauration de la barbarie et le règne de l'enfer ". Seul le Verbe vrai pourra sauver l'époque en tenant lieu de patrie à ceux qui n'en ont plus.

11/2005

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