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Pascaline Lepeltier

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Sculpteurs

Odette Lepeltier

Parmi les grandes figures féminines de la céramique du XXe siècle, Odette Lepeltier (1914-2006) reste une référence encore peu connue. Elle fait pourtant partie avec Colette Guéden, Louise-Edmée Chevallier ou encore Guidette Carbonell des femmes artistes qui ont contribué après-guerre au renouveau de la céramique artistique en renouant avec la ronde-bosse et la couleur ; les deux maternités en faïence émaillée déposées par le Centre national des arts plastiques à La Piscine sont très emblématiques de son travail qui fait de la femme son motif de prédilection. En 2011, l'atelier d'Odette Lepeltier a fait l'objet d'une dispersion presque complète en vente publique. Tant pour la mémoire de l'artiste que pour l'intérêt de ce fonds pour le récit exemplaire d'une céramiste associée à la diffusion commerciale qui s'élabore dès l'aube du XXe siècle, il a paru nécessaire de préserver cette mémoire qui aurait été définitivement dispersée si le marché de l'art s'en était emparé. Cette formidable matière biographique et artistique a trouvé tout naturellement sa place dans le cabinet d'arts graphiques du musée de La Piscine. En lien avec sa collection de céramique moderne, c'est un florilège des plus belles feuilles de ce fonds riche de 69 carnets et de plus de 2500 feuilles que le musée présente à travers une exposition. Née à Paris en 1914 Odette Lepeltier, née Pouget, entre en 1934 à l'Ecole des Beaux-arts de Paris. C'est dans l'atelier de Paul-Albert Laurens, alors qu'elle y suivait un enseignement classique en peinture et en sculpture, qu'elle rencontre Robert Lepeltier, qu'elle épousera en 1938. Alors qu'elle travaille depuis 1937 pour Primavera, l'atelier de création des magasins du Printemps dirigé par la décoratrice Colette Guéden (1905-2000), elle décide en 1938 d'être indépendante et elle installe son propre atelier à La Varenne-Saint-Hilaire. Présente en 1938 au Salon des Artistes décorateurs, puis en 1942 au Salon de l'Imagerie, elle est remarquée par André Arbus et Rémy Hétreau qui lui passent commande de fontaines et bas-reliefs décoratifs. Entre 1945 et 1962 elle ouvre un magasin de décoration

03/2023

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Vins et savoirs

Mille vignes. Inventer le vin de demain

La vigne meurt-elle d'être cultivée ? Les terroirs existent-ils ? Le vin n'est-il que du jus de raisin fermenté ? Les AOC ne protègent-elles que l'origine ? Les accords vins et mets ont-ils une réalité historique ? La dégustation n'a-t-elle pas standardisée le vin ? N'est-il pas paradoxal de parler de vins naturels ? Mille vignes décrypte la vigne, les paysages et le vin en proposant des cléfs de lecture pour comprendre les liens entre la bouteille, la dégustation et les hommes, les terroirs et les vignobles qui les ont engendrés. Pour Pascaline Lepeltier, Meilleure Ouvrière de France, le vin et la vigne sont multiples : impossible de comprendre l'un sans l'autre. A travers les connaissances scientifiques les plus récentes en botanique, géographie, climatologie, anthropologie ou encore neuro-physiologie... et des expériences contemporaines dans les vignobles du monde entier, elle dépoussière les idées reçues sur la vigne, invitant à déguster le vin de demain. Mais quel boulot ! Pascaline Lepeltier s'attaque à une montagne jamais domptée, passe les écueils en toute digestibilité et nous décante en douceur tout ce qu'on voulait savoir du vin. Sylvie Augereau, vigneronne et journaliste Entre physiologie végétale, histoire des terroirs et philosophie gustative, Pascaline nous offre une ode vibrante dédiée à l'univers du vin. Philippe Faure Brac, Meilleure Sommelier du Monde 1992 Je découvre ce livre et suis sincèrement ébloui par autant de sagacité de culture. C'est d'ores et déjà un livre de référence sur le vin. François-Régis Gaudry, journaliste gastronomique Ce livre conte avec talent cet improbable chemin qui mène de la vigne au verre. Marc-André Selosse, professeur au Muséum national d'histoire naturelle

11/2022

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Policiers

L'affaire Lepellier

La petite industrie provençale doit se renouveler d'urgence ou disparaître. Mais les réformes nécessaires font trop peur : il est difficile de faire du neuf avec du vieux. Chez les Lepellier, un assassinat se produit. Bien d'autres entreprises ont disparu ou ont eu de très grosses difficultés à s'adapter. On pourrait en décrire des cas jusqu'à la capitale, où la mécanique et l'article de Paris ont disparu avec la création de la TVA et les conditions créées par l'U.E. Le scénario policier est une pure fiction. Hôtel Polaris décrit la ville et les environs de Bourg-Saint-Maurice tels qu'on pouvait les voir en 1951. Basée sur un rêve, cette nouvelle joint à un petit coté coquin une mini-énigme policière

07/2015

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Critique littéraire

Les configurations de l'imaginaire pascalien

Cette recherche est une approche systémique de l'imaginaire pascalien, qui établit une correspondance entre les stratégies de l'imaginaire et les stratégies d'écriture, en essayant d'ouvrir la voie pour la confrontation des imaginaires et en proposant de considérer l'imaginaire pascalien comme un imaginaire de frontière.

04/2019

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Littérature française

Le tapis volant de Patrick Deville. Entretien sur l'écriture avec Pascaline David

Ce que peut la littérature, c'est, en une phrase, en quelques phrases, opérer une accélération folle à partir d'un même endroit. Je sais que tous les écrivains ne travaillent pas de cette manière, mais je plonge la planète en permanence dans le temps. Patrick Deville Un long entretien approfondi pour parcourir l'oeuvre de Patrick Deville, des premiers romans parus aux Editions de Minuit au vaste déploiement au Seuil d' " Abracadabra ", suite de douze romans, dont huit ont déjà paru, qui sillonnent la planète en deux cycles de voyages. Patrick Deville se livre avec détail et précision, de son désir initial d'écrire alors qu'enfant il est immobilisé par la maladie jusqu'à l'esquisse des livres à venir, tout en dévoilant bien des éléments de la " fabrique du texte ", pour reprendre l'expression de Francis Ponge.

08/2021

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Histoire et Philosophiesophie

L'univers existe-t-il ?

L'univers peut-il être un objet scientifique ? La question s'est souvent posée. Ne représente-t-il pas un objet singulier parmi tous ceux que les scientifiques étudient ? Il est unique, inobservable dans sa totalité et constitue le cadre au sein duquel se situent tous les autres objets. A la suite de la consécration du modèle du big bang, au milieu des années 1960, la cosmologie a quand même fini par être considérée, par la plupart des chercheurs, comme une discipline scientifique à part entière. Mais cette reconnaissance n'a pas éliminé toutes les interrogations à son sujet. En outre, dès le début des années 1980, le concept d'univers a reperdu un peu de sa clarté avec l'introduction du celui de multivers qui est, quant à lui, resté relativement obscur. Aussi est-on en droit de s'interroger sur le statut de ces deux concepts d'univers et de multivers. Représentent-ils des objets qui existent ? Ou sont-ils uniquement des fictions heuristiques qui nous permettent de donner du sens à nos observations du ciel ?

01/2021

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