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Origines et histoire de l'Empire Byzantin

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Dossier

Samurai Origines : l'enfance de l'art

Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.

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Dossier

Nota Bene : visiter et apprendre l'Histoire, autrement

NotaBene – « L'histoire est devenue ma passion quand j'ai créé ma chaîne Youtube », explique Benjamin Brillaud, fondateur de Nota Bene. Ses émissions, qui recensent aujourd’hui 2,16 millions d’abonnés, travaille à rendre l’Histoire plus abordable. Une approche pédagogique et ludique qui devait, assez logiquement, conduire à puiser dans d’autres supports comment rendre le sujet plus populaire encore.

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Peuples et civilisations : histoires en majuscule

Les Magyars sont-ils les descendants d’Attila ? Napoléon est-il le descendant d’Apollon ? Le récit des peuples et des civilisations se construit sur des mythes fédérateurs et galvanisants. L’Histoire c’est autre chose : c’est le « Je me souviens » du groupe. Comme tous retours vers le passé, c’est autant une nécessité qu’un danger. Comment raconter l’Histoire de Venise ou de l’armée italienne ? À travers ses hauts faits ou la réalité quotidienne ? Tous ces historiens nous éclairent grâce à un patient et rigoureux travail dans les sources. 

 

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Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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Atlas historique mondial : l'histoire de l'humanité vue du 21e sièce

Depuis 40 ans, aucun projet d'atlas historique généraliste n'avait été réalisé. Les Arènes et la revue L'Histoire relèvent ce défi en donnant naissance au premier grand atlas historique mondial, sous la direction de Grantaloup et Patrick Boucheron. A partir de ses 500 cartes inédites, l'l’Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie (APHG) et l'éditeur réaliseront conjointement une série de vidéos autour de thématiques spécifiques. 

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Dossier

Des romans pour adolescents qui explorent l'Histoire

Dès ses premières publications jeunesse en 2010, Scrineo a proposé des romans mêlant histoire et fantastique, en lien avec l’ADN de la maison “Le savoir et l’imaginaire”. C’est le cas de la série Les Haut Conteurs, des romans fantastiques médiévaux à succès, et de la série Via Temporis, autour d’une machine à remonter le temps pour explorer plusieurs époques. Comment comprendre le présent sans les notions indispensables sur le passé ? C'est pourquoi la maison a construit plusieurs collections historiques, pour mieux donner vie à cette mémoire. 

Extraits

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Byzance

Origines et histoire de l'Empire Byzantin

Les véritables historiens se reconnaissent à ce signe, qu'ils proclament dignes d'étude tous les âges et tous les peuples. Naguère nos érudits eux-mêmes avaient pour certaines époques un profond dédain. C'est le bas-empire qui de tout temps a eu le privilège d'éveiller la haine et le mépris dans les coeurs les plus généreux. Il est de bon ton encore aujourd'hui de l'injurier et de ne l'étudier point. Ces répugnances, on le reconnaîtra un jour, sont en grande partie injustes. Pour les atténuer, constatons les services rendus à notre civilisation par le bas-empire. C'est le bas-empire qui a divisé, arrêté, retardé ou limité les invasions germanique, arabe et tartare. Quatre siècles avant que l'Occident, plongé dans le chaos de ces invasions, pût oublier les querelles de race qui le déchiraient, l'Orient, le bas-empire avait organisé une croisade perpétuelle où le feu grégeois et la diplomatie, habilement combinés, accomplissaient des merveilles. Jusqu'à Mahomet (632), Constantinople fut la capitale de la plus vaste domination de l'univers. Jusqu'à Charlemagne (800), elle fut le centre de la civilisation. Jusqu'au schisme d'Orient (1057), elle disputa la suprématie religieuse à Rome. Jusqu'à la croisade vénitienne (1204), elle demeura l'entrepôt général du monde... Pour comprendre le bas-empire, il faut le considérer en quelque sorte comme la synthèse de l'antiquité. La Grèce et Rome, l'Orient et l'Occident, le despotisme et l'administration, le polythéisme et le christianisme, la philosophie et le droit, la rhétorique et la science, s'y sont, à doses inégales, mélangés et combinés. Le produit de cet amalgame, c'est Byzance. Pour présenter une image moins flatteuse, mais plus exacte peut-être, on pourrait dire que Byzance est le résidu qui s'est trouvé au fond du creuset où tant d'éléments divers s'étaient précipités. Cette idée générale admise, - et on ne peut pas ne pas l'admettre, - l'empire byzantin cesse d'être une énigme : il apparaît comme un phénomène que la science a le devoir d'expliquer. Suivre dans son évolution continue la civilisation ancienne, c'est expliquer en réalité les origines et la formation du bas-empire. On remonte ainsi à la source des idées, des moeurs, des institutions, dont le bas-empire a été précisément la résultante... La société byzantine était européenne par ses institutions familiales, par son attachement aux traditions antiques, comme le culte des morts, par sa langue et sa culture helléniques...

05/2022

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Histoire ancienne

La grande stratégie de l'empire byzantin

Pourquoi Byzance a-t-elle survécu deux fois plus longtemps que Rome, son équivalent d'Occident ? Cette endurance extraordinaire est d'autant plus remarquable qu'elle n'était favorisée ni par la géographie ni par une prépondérance militaire. Selon Edward N. Luttwak, cette performance est due à l'habileté de ses souverains qui ont su s'adapter aux circonstances et inventer de nouveaux moyens de faire face à leurs ennemis successifs. La stratégie reposait donc moins sur la force militaire que sur la persuasion. Et, même au combat, les Byzantins étaient moins portés à détruire leurs adversaires qu'à les contenir. Apparue au Ve siècle face à la formidable menace représentée par les Huns d'Attila, vaincus avec un minimum de forces, cette méthode a continué à s'affiner au fil des siècles. Edward N. Luttwak analyse avec une extraordinaire précision tous les aspects de cet incomparable art de la guerre, étudiant aussi bien la religion et le pouvoir à Byzance que sa diplomatie, ses pratiques dynastiques, ses armes, sa tactique, son système fiscal ou encore ses méthodes d'espionnage. La "résilience" de Byzance : une leçon pour les grandes puissances de demain ?

09/2010

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Byzance

La Documentation photographique N° 8148 : L'empire byzantin. L'Empereur, l'Empire, l'État

Documentation photographique HISTOIRE byzance. l'empereur, l'emprire, l'état Longtemps, il a été difficile de situer Byzance dans le champ de la discipline historique. Histoire ancienne ou médiévale ? Occidentale ou orientale ? L'Empire byzantin partage avec le monde oriental et musulman de nombreux caractères : la ville est au centre de l'organisation de la société, et l'empereur a pour mission d'établir un pouvoir universel. Au même titre que les royaumes occidentaux du haut Moyen Age, il assume un héritage romano-chrétien et le transforme, mais il se singularise par le maintien d'un Etat fort, incarné par l'empereur. ERIC LIMOUSIN Maître de conférences en histoire médiévale à l'Université Bretagne Sud UMR 8167 Monde Byzantin 03 La mise en place de l'Empire romain chrétien 05 La reconquête : réussites et échecs 09 Les Macédoniens 12 Quelle crise au XIe ? siècle ? 14 Byzance face à l'Occident L'empereur Un pouvoir romain Un pouvoir chrétien La représentation impériale L'impératrice L'empereur et les aristocrates L'empereur et la révolte La cour impériale L'empire Le patriarche de Constantinople Constantinople L'empereur et la population de Constantinople Le Grand Palais Les provinces Les relations avec l'étranger Byzance et les villes italiennes L'Etat L'armée L'Eglise L'administration La monnaie L'économie de Constantinople Les villages La fiscalité La culture Postérité Après 1453

09/2022

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Histoire ancienne

LES BYZANTINS. Histoire et culture

1453 : prise de Constantinople par les Turcs. A part cette date fatidique, tirée de la chronologie obligée de " l'honnête homme ", que savons-nous des Byzantins ? Le mot pris comme adjectif se rapporte à des raffinements, à des spéculations creuses, voire à des brutalités barbares. Pourtant, la civilisation byzantine - qui fait le lien entre l'Emprire romain et notre Moyen Age renaissant - a été un grand millénaire de l'histoire universelle, dont l'influence reste prégnante sur de nombreux pays.

07/2006

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Histoire internationale

Histoire de l'Empire ottoman

Des sultans sanguinaires, ou vivant dans la débauche, qui n'imposèrent leur domination que par la force de leurs armées et grâce à un islam intolérant ? Les Ottomans ont longtemps été accusés de tous les excès, de toutes les tares. Or leur empire a occupé pendant des siècles la première place parmi les puissances du Vieux Monde, et son histoire est d'abord celle de la construction d'un Etat, avec des lois et une administration remarquable. C'est aussi celle d'une culture originale qui dans la littérature et dans l'art a laissé des témoignages encore visibles. Né en Asie Mineure, au début du XIVe siècle, sur les ruines de l'Empire byzantin et du sultanat seldjoukide, l'Empire ottoman s'étend deux siècles et demi plus tard des portes de Vienne au Yémen, de l'Algérie à l'Irak. Dans cet immense domaine, l'autorité du sultan ne souffre pas de contestation. Mais, à côté de la charia, la loi musulmane, se met en place un système politique qui s'efforce de garder ou d'adapter les traditions des peuples soumis. Dans les provinces chrétiennes, les Grecs, les Bulgares, les Serbes peuvent pratiquer leur religion et leur langue. Dans les provinces arabes, les populations conquises conservent souvent leurs cadres. Il ne faut pas oublier cette tolérance des Ottomans : c'est chez eux que se réfugièrent les juifs d'Espagne et d'Europe centrale. Après le long règne de Soliman le Magnifique, symbole de la grandeur des Ottomans, l'Etat commence à se lézarder et l'agitation gagne les provinces. Ces premiers troubles sont le prélude au lent déclin du XIXe siècle. Plusieurs dirigeants tentent alors de promouvoir des réformes, les Tanzimat, mais le jeu des grandes puissances limite leur portée. L'Empire ottoman devient l'" homme malade de l'Europe ", que les Occidentaux vont s'empresser de faire mourir.

12/1989

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Histoire internationale

Histoire de l'Empire mongol

L'histoire de l'Empire mongol est bien l'épopée la plus prodigieuse et sans doute la plus inexplicable que le monde ait connue. Comment, à la suite de Gengis Khan et de ses successeurs, quelques dizaines de milliers de cavaliers nomades purent-ils installer en trois quarts de siècle un empire sur des terres de grandes civilisations ? Après avoir fait l'unité de ce qui allait devenir la Mongolie, ces peuples de la haute Asie imaginèrent d'établir une monarchie universelle. Pour y parvenir, ils se lancèrent à la conquête du monde, faisant trembler l'Orient et l'Occident. On les vit mener campagne en Sibérie, en Chine, en Corée, en Indochine, en Birmanie, en Iran, en Irak, en Asie Mineure, en Russie, en Pologne, en Hongrie, dans les Balkans. Ils tentèrent même des débarquements au Japon et en Indonésie, et cherchèrent à nouer des relations avec les papes, les rois de France et d'Angleterre. S'ils ne réussirent pas à dominer tous les peuples, leur empire n'en fut pas moins démesuré. Plus stupéfiants encore que leurs succès militaires, les Mongols surent rallier à eux les populations asservies si bien que celles-ci devaient garder de la pax Mongolorum un souvenir presque égal à celui de la pax Romana. Le fracas des armes ne doit pas faire oublier que les Mongols édifièrent les bases d'une civilisation remarquable par sa tolérance religieuse, son sens de l'administration, son souci de promouvoir le commerce et de mettre en relation des cultures jusque-là séparées. Dès la fin du XIIIe siècle et surtout au XVe siècle, il y eut tant en Chine qu'au Proche-Orient un renouveau culturel et un formidable brassage de populations : jamais autant de gens n'avaient traversé l'Asie.

06/1995

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