Nordic Council Literature Prize

Il n'y a pas que sous nos latitudes que les prix littéraires font recette : l'Angleterre en accumule peut-être moins, mais quel prix !

Le Nordic Council Literature Prize, ou « petit Nobel », est la plus haute distinction décernée à un écrivain des cinq pays nordiques. Ör est paru en Islande en 2016, chez Zulma en 2017, traduit de l’islandais par Catherine Eyjólfsson, et dans une douzaine d’autres pays, indique la maison française dans un communiqué. 

Le tout dernier prix littéraire du Royaume-Uni, institué comme une alternative au Booker, le Literature Prize, a annoncé avoir obtenu un contrat de sponsoring. Son nouveau partenaire s'engage ainsi à soutenir la récompense annuelle dotée de 40.000 livres, mais l'identité du sponsor ne sera pas révélée avant février 2013.

L'écrivaine nigériane résidente en Belgique, Chika Unigwe, a reçu le Nigeria Prize for Literature (NLNG). L'auteur de On Black Sister's Street empoche, à l'occasion de cette 9e édition, la récompense convoitée de 100.000 dollars. Ayo Banjo, président du jury, a annoncé la grande gagnante, ce jeudi, lors d'une conférence de presse à Lagos.

Le World Literature Today vient d’annoncer la liste des neuf finalistes pour le Neustadt International Prize for Literature de 2020. Emmanuel Carrère, écrivain, scénariste et réalisateur français a été sélectionné pour son récit de non-fiction, L’Adversaire publié en 2000 aux éditions P.O.L. Le gagnant sera annoncé le 16 octobre au Neustadt Lit Fest 2019.

Professeur à l'Université d'Ottawa et fondateur de la maison d'édition francophone Nordir, Robert Yergeau vient de s'éteindre. Agé de 54 ans, cet amoureux des livres et de la langue française avait fondé les Éditions du Nordir, avec Jacques Poirier, à Hearst en 1988.

L'auteure Ayelet Tsabari a remporté l'édition 2015 du prix Sami Rohr, pour son recueil paru chez HarperCollins Canada, The Best Place on Earth: Stories. Créé aux États-Unis, le prix alterne chaque année entre fiction et non-fiction, dans ses récompenses. Cette année, c'est la fiction qui était à l'honneur.

L'Arts Council England's s'explique sur les subventions

European Writer's Council : Sylvestre Clancier au Conseil d'administration

Dans un communiqué, le Syndicat National de l'Edition dit accueillir « très favorablement [l']avancée vers des règles d'utilisation de papiers certifiés FSC tenant mieux compte des spécificités de la production de livre». 

Inaugurée ce 18 octobre, la Foire du Livre de Francfort, un des événements internationaux les plus importants du secteur du livre, se retrouve au cœur des tensions entre Israël, la Palestine et d'autres pays arabes. L'organisation de la manifestation a condamné l'attaque du Hamas, conduisant au retrait de plusieurs pays de la foire.

Un essai refusé durant le rationnement post-guerre

Comme un bon nombre d'universités américaines, celle du Kent propose un cour de Creative Writing, pour apprendre les règles du récit : c'est une péripétie imprévue qui est pourtant venue interférer dans la promotion de la formation. La présentation du cours, et les explications des professeurs ont été prises en grippe par des Twittos, qui ont jugé les propos méprisants vis-à-vis de la littérature jeunesse.

De toute évidence, nous avons affaire ici à un grand chef-d'oeuvre. À condition de croire les critiques et les prix littéraires. Le dernier roman de Hilary Mantel a déjà remporté le Booker, on en fait une pièce de théâtre et tout le monde est relativement unanime. Elle pourra ajouter à son palmarès le Costa Prize, décerné à son Bring Up the Bodies.  

Le prix nommé en souvenir du célèbre poète gallois a été remis au jeune auteur britannico-srilankais Guy Gunaratne pour son roman In Our Mad and Furious City, paru chez Headline l’année dernière. Ce premier roman de l’auteur de 35 ans raconte les 48 heures qui suivent l’assassinat d’un soldat d’un soldat à Londres alors que la ville est en proie aux émeutes. Il décerné par l’université de Swansea est doté de 30.000 livres sterling, soit un peu plus de 34.000 euros.

Comme promis, la liste restreinte des titres en compétition pour l'International Booker Prize 2020 a été publiée ce jeudi 2 avril, sur les réseaux sociaux, en raison des circonstances actuelles liées au coronavirus. 

Hier, nous avons appris le nom du gagnant du célèbre Booker Prize, le Goncourt du monde anglophone. Il s'agit de Hilary Mantel dont la victoire est remarquable à plus d'un titre. Elle est la première femme à obtenir deux fois la récompense, elle est aussi le premier écrivain britannique à faire le doublé et c'est également la première fois qu'un sequel (une suite) est primée dans les 43 ans d'existence Booker. Le premier volume, Wolf Hall, avait remporté le prix en 2009.

Voilà un prix littéraire des plus généreux. Le tout nouveau Windham-Campbell, première édition cette année, est un prix remis par Yale. Et la célèbre université n'est pas avare quand il s'agit de récompenser le talent des écrivains américains et étrangers. 150.000 dollars à la clef tout de même. 

Fin de parcours pour le prix Man Booker Prize, le Goncourt du Royaume-Uni, avec la consécration remise à Julian Barnes, candidat malheureux à trois reprises, qui finalement obtient enfin son titre.

Le Man Booker Prize International, récompense décernée tous les deux ans à un auteur vivant pour des œuvres publiées en langue anglaise ou traduites en anglais, a été remis hier à l'écrivain hongrois László Krasznahorkai. Le prix est doté à hauteur de 60.000 £, et représente une des distinctions les plus prestigieuses du monde littéraire anglophone.

Une récompense à plusieurs niveaux que cet International Booker Prize 2022 : Geetanjali Shree remporte la palme cette année. Et par là même devient la première autrice indienne saluée. Pour sa maison française, les éditions des femmes — Antoinette Fouque, c’est une consécration. C’est aussi la seconde année qu’un auteur représenté par une agence littéraire française l’emporte…

Déclinaison du Booker Prize pour le monde entier, l'International Booker Prize salue chaque année un livre traduit en anglais. Présidé par Leïla Slimani, le jury de cette édition 2023 a sélectionné plusieurs ouvrages pour sa « longlist »... Et la langue française domine.

L'Edinburgh International Book Festival est, comme il se doit, un lieu privilégié de la culture écossaise. C'est ainsi que pour sa première session, l'Edwin Morgan Poetry Prize, qui remplace l'Edwin Morgan International Poetry Competition, y a été décerné à Niall Campbell, poète de 29 ans originaire des îles Hébrides, à l'ouest de l'Écosse. 

Le Booker Prize arabe a été attribué à l'écrivain Ahmed Saadawi pour son livre Frankenstein à Bagdad, rapporte l'AFP. C'est lors de la Foire internationale du livre d'Abou Dhabi que cette récompense a été remise, distinguant ainsi un ouvrage inspiré par la violence qui traverse encore l'Irak.

La lauréate du prix Pulitzer de cette année, Donna Tartt, s'est dite « surprise » par son prix lors d'un entretien téléphonique réalisé par USA Today. Décerné mardi, le prix était donc allé à son roman The Goldfinch, fruit de 11 années de travail.

Le Prix Booker, une des plus fameuses récompenses du monde du livre anglophone, a dévoilé sa sélection réduite, une « shortlist » qui comprend 6 romans, contre les 13 de la sélection précédente. Margaret Atwood, Salman Rushdie et Elif Shafak sont toujours en lice, aux côtés de Lucy Ellmann, Bernardine Evaristo et Chigozie Obioma.

Un prix en hommage à Harold Pinter

Cette deuxième sélection, limitée à 6 ouvrages, fait office de dernière étape avant la remise du prix. La lauréate de cette année 2021 sera révélée le 7 juillet. Elle recevra un chèque de 30.000 £ ainsi qu'une statuette en bronze.  

Lorsqu'il a reçu le Man Booker International Prize en mai dernier, l'écrivain hongrois László Krasznahorkai a souhaité que 15.000 £, sur les 60.000 qu'il a reçus, soient distribués à deux des traducteurs de son oeuvre. Le geste du dernier lauréat en date semble avoir convaincu les organisateurs : désormais, les traducteurs seront directement pris en considération par le jury.

Au rang des dix auteurs sélectionnés par le Man Booker International Prize, complément du Man Booker Prize dont le lauréat sera choisi en mai, on retrouvera l'écrivain franco-congolais Alain Mabanckou ainsi que l'auteure guadeloupéenne Maryse Condé. La liste a été dévoilée ce mardi par les membres du jury, depuis l'université du Cap, Afrique du Sud.