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Niele Toroni

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Art contemporain

Niele Toroni

Que le quatrième volume des Cahiers de la Collection Lambert soit consacré à Niele Toroni est une évidence tant la relation entre Yvon Lambert et l'artiste est forte depuis sa première exposition à la galerie en 1970. Début 2021, la Collection Lambert présentera les oeuvres du peintre conservées à Avignon, en mettant à l'honneur les deux oeuvres in situ réalisées à l'occasion de l'ouverture du musée en 2000, les peintures sur papier, papier calque, toile libre, bois ou encore sur un tableau d'écolier. L'ouvrage reproduira des vues de l'exposition ainsi qu'un entretien inédit entre Niele Toroni et Yvon Lambert.

06/2021

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Ecrits sur l'art

Embrassons les chevaux

Editer les "choses écrites, parues (ou pas)" de Niele Toroni, est un paradoxe. Car Niele Toroni se revendique essentiellement comme peintre, et non comme artiste, encore moins comme un écrivain. Les textes, notes, lettres et entretiens rassemblés ici ne permettent pas de comprendre sa peinture. Ils constituent néanmoins à la fois le hors-champs et le contrechamps de sa pratique ; ils doivent, à ce titre, être considérés. Le verve et l'humour qui les caractérisent pour la plupart, le jeu récurrent entre la langue française et la langue italienne, contribuent à favoriser l'esprit foncièrement libertaire de la pensée du peintre, avec, ici ou là, des accents pasoliniens, gramsciens, voire léopardiens. Cet ensemble a pour seule ambition de mettre au jour la dimension humaine, trop humaine d'une pensée de la vie et du monde qui s'exprime à l'insu du peintre, le plus souvent à son corps défendant.

02/2021

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Art contemporain

La couleur en fugue. Sam Gilliam, Katharina Grosse, Steven Parrino, Megan Rooney, Niele Toroni

Publié à l'occasion de l'exposition "La couleur en fugue" présentée à la Fondation Louis Vuitton, cet ouvrage témoigne de l'importance, au sein de l'abstraction contemporaine, des oeuvres de cinq peintres d'origines et de générations différentes : Sam Gilliam (Etats-Unis, 1933), Katharina Grosse (Allemagne, 1961), Steven Parrino (Etats-Unis, 1958-2005), Megan Rooney (Afrique du Sud, 1985) et Niele Toroni (Suisse, 1937). Ces artistes transforment le rapport couleur-surface en s'affranchissant des cadres traditionnels. La peinture en libre expansion qu'ils proposent se déploie alors dans l'espace et entre en dialogue étroit avec l'architecture. Ce catalogue réunit les contributions de Jonathan P. Binstock, Claudia Buizza, Philippe Dagen, Ludovic Delalande, Frank Gehry, Hans Ulrich Obrist, Nathalie Ogé, Florence Ostende, Suzanne Pagé, Ludger Schwarte, Nancy Spector, Claire Staebler et Marc-Olivier Wahler.

05/2022

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BD tout public

Gran café Tortoni

Un jeune danseur débarque à Buenos Aires dans l'espoir de devenir l'élève du mythique maestro qui vit reclus dans son appartement jouxtant le Gran Café Tortoni. Une proie rêvée pour la Mina, en quête d'un nouveau faire-valoir qui relancerait sa carrière déclinante. Hélas, tango et innocence ne font guère bon ménage. Pour briller, un tanguero doit s'être frotté à la passion et au désespoir amoureux, à la poésie et au théâtre, au sublime comme à l'insignifiant... Mais surtout, il doit avoir contemplé ses propres démons pour espérer tutoyer un jour les anges de la danse. Les habitués du Gran Café Tortoni ont connu tout cela et adorent en parler.

01/2018

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Monographies

Connaissance des Arts Hors-série N° 978 : Simon Hantaï. L'exposition du centenaire

Deux expositions à la Fondation Louis Vuitton : Simon Hantaï, le génie des pliages et une exploration de la couleur dans l'art contemporain avec des oeuvres de Niele Toroni à Katharina Grosse.

06/2022

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Littérature française

Nièce

"Deux sous de complément biographique, pas plus, la quatrième de couverture exigible : L'auteur, employé de bureau inscrit au tableau d'avancement des sous-chefs de Service, a dû respecter l'obligation de réserve à laquelle il est statutairement tenu. Il a cependant cru ne pas y manquer en se proposant de raconter, sans autres précisions, la demi-heure qu'auraient pu vivre, à leur sortie du bureau le vingt-quatre juin dernier, certains collègues de sa connaissance. S'autorisant de lectures passées, il a pensé que l'observation d'un fait divers par un fonctionnaire préoccupé par ses états de service, donc fabulateur, et par des amours très au-dessus de sa condition pouvait donner lieu à des perturbations touchant à la composition, au rythme et à la langue d'un récit. - Dauvergne dixit. Dont acte. "A rencontré son sauveur. Stop. Signé : Nole" suffisait pour une nécrologie qui, de toutes les façons, serait réécrite par l'un des Parfaits du Temple. Et pourtant le printemps, le printemps usait sa chanson jusqu'à la rengaine, et l'âme avec. Mille feuilles encocardées s'apprêtaient à accueillir l'été, vitalité en gracieuses retombées, des heures échauffées emperlant images au chapelet des caresses - et l'énorme effarement des blêmes et des blets, tombée de la nuit, des paroles pâles et les pétards mouillés. Et l'intense intrépide bombance - des villes, autour : spectacle sous l'oeil noir, la tragédie toujours remise d'un porteur de lunettes pour de mirobolantes lunes. Malveillances de marbre, orbite creuse, passé le pont un jardin s'organise en allées ; des coupe-gorge suffisamment éclairés pour entretenir la peur. La colère aussi, cet autre refuge. Qu'il suffise de passer le pont". Jean-Pierre Dauphin.

02/1990

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